Organisation indépendante rassemblant près de 500 entreprises liées à l' Internet, l' Electronic Business Group a réuni hier dans le cadre d'une rencontre thématique autour de la vidéo à la demande, plusieurs représentants de ce secteur en France qui n'en est encore qu'à ses premiers balbutiements. Presque tous ont fait part de chiffres encourageants pour la VOD.
Pour Club Internet, FAI qui mise beaucoup sur l'attrait de la VOD en vue d'acquérir de nouveaux abonnés, 82% de ses clients connaissent ce service et le taux d'achat serait de l'ordre de 25% à 35% pour une consommation moyenne de l'ordre de 2,5 vidéos par mois et par client. Autre FAI présent, Orange a indiqué que la consommation de la VOD était 10 fois plus importante qu'au premier trimestre de 2006 avec 300 000 VOD par mois au premier trimestre 2007.
Le représentant de StudioCanal a lui déclaré qu'en 2007, la VOD serait aussi rentable que le DVD étayant ses dires par l'exemple du film Du jour au lendemain avec Benoit Poelevorde qui a enregistré 600 000 entrées salles, et a réalisé 30 000 ventes de DVD et 33 000 actes de location en VOD.
De leur côté, tant MSN que l' Institut National de l' Audiovisuel se sont félicités du trafic Internet important généré par leur service respectif de VOD avec 2,5 et 1,1 millions de visiteurs uniques par mois.
La VOD gratuite populaire mais pas rentable
L' Ina a par ailleurs souligné qu'un rapport de 1 pour 1 000 existait entre la consommation de VOD payantes et de VOD gratuites. Un constat qui a semble-t-il permis au Président de vpod.tv* et ancien Directeur Général de Glowria, de se lancer dans un savant calcul économique démontrant la non rentabilité de la VOD gratuite financée par la publicité : " Le coût de la bande passante, pour 1 000 vidéos de 3 minutes est de 1,56 euro. Il faut ajouter à cela les coûts de la régie, le partage des recettes avec les ayants droit, les invendus publicitaires, ... . Cela représente un coût au mille total de 9,62 euros et même de 16 euros si l'on diffuse en plein écran. Or, pour l'annonceur, le coût publicitaire au mille est de 5 euros. "
* Service de création de chaînes sur Internet et mobiles pour particuliers et entreprises.
Pour Club Internet, FAI qui mise beaucoup sur l'attrait de la VOD en vue d'acquérir de nouveaux abonnés, 82% de ses clients connaissent ce service et le taux d'achat serait de l'ordre de 25% à 35% pour une consommation moyenne de l'ordre de 2,5 vidéos par mois et par client. Autre FAI présent, Orange a indiqué que la consommation de la VOD était 10 fois plus importante qu'au premier trimestre de 2006 avec 300 000 VOD par mois au premier trimestre 2007.
Le représentant de StudioCanal a lui déclaré qu'en 2007, la VOD serait aussi rentable que le DVD étayant ses dires par l'exemple du film Du jour au lendemain avec Benoit Poelevorde qui a enregistré 600 000 entrées salles, et a réalisé 30 000 ventes de DVD et 33 000 actes de location en VOD.
De leur côté, tant MSN que l' Institut National de l' Audiovisuel se sont félicités du trafic Internet important généré par leur service respectif de VOD avec 2,5 et 1,1 millions de visiteurs uniques par mois.
La VOD gratuite populaire mais pas rentable
L' Ina a par ailleurs souligné qu'un rapport de 1 pour 1 000 existait entre la consommation de VOD payantes et de VOD gratuites. Un constat qui a semble-t-il permis au Président de vpod.tv* et ancien Directeur Général de Glowria, de se lancer dans un savant calcul économique démontrant la non rentabilité de la VOD gratuite financée par la publicité : " Le coût de la bande passante, pour 1 000 vidéos de 3 minutes est de 1,56 euro. Il faut ajouter à cela les coûts de la régie, le partage des recettes avec les ayants droit, les invendus publicitaires, ... . Cela représente un coût au mille total de 9,62 euros et même de 16 euros si l'on diffuse en plein écran. Or, pour l'annonceur, le coût publicitaire au mille est de 5 euros. "
* Service de création de chaînes sur Internet et mobiles pour particuliers et entreprises.