Les possibles risques sanitaires liés au WiFi sont au coeur d'une vive polémique parisienne depuis la fin de l'année 2007. Sur la base de témoignages d'employés de bibliothèques parisiennes faisant état de divers troubles comme des maux de tête ou autres malaises, au nom du principe de précaution et sous la pression syndicale, le WiFi a été désactivé dans 4 bibliothèques en attendant des mesures du champ électromagnétique.
Dans un communiqué que nous a fait parvenir la mairie de Paris, cette dernière nous informe que ces mesures ont été effectuées par des laboratoires agréés, et qu'il ressort que les niveaux enregistrés pour le champ magnétique sont 80 à 400 fois inférieurs au seuil réglementaire. Des visites médicales ont par ailleurs été effectuées et aucune pathologie n'a été diagnostiquée.
La Marie de Paris a indiqué que les installations Wi-Fi testées sont similaires à celle déployées dans l'ensemble des 59 bibliothèques municipales. Ces informations seront officiellement présentées lors du Comité d'Hygiène et Sécurité de la Direction des Affaires Culturelles du 18 septembre qui sera boycotté par une partie des syndicats.
Une affaire loin d'être réglée
En réponse à la mairie de Paris, les associations Priartém et Agir pour l'Environnement ont dénoncé " l'empressement et l'entêtement avec lequel elle souhaite généraliser une technologie sans fil, dont les conséquences sanitaires demeurent largement inconnues ". Ces associations ont ainsi déploré un protocole de mesures défini pour les fréquences du GSM et non adapté à celles du WiFi.
Dans un communiqué que nous a fait parvenir la mairie de Paris, cette dernière nous informe que ces mesures ont été effectuées par des laboratoires agréés, et qu'il ressort que les niveaux enregistrés pour le champ magnétique sont 80 à 400 fois inférieurs au seuil réglementaire. Des visites médicales ont par ailleurs été effectuées et aucune pathologie n'a été diagnostiquée.
La Marie de Paris a indiqué que les installations Wi-Fi testées sont similaires à celle déployées dans l'ensemble des 59 bibliothèques municipales. Ces informations seront officiellement présentées lors du Comité d'Hygiène et Sécurité de la Direction des Affaires Culturelles du 18 septembre qui sera boycotté par une partie des syndicats.
Une affaire loin d'être réglée
En réponse à la mairie de Paris, les associations Priartém et Agir pour l'Environnement ont dénoncé " l'empressement et l'entêtement avec lequel elle souhaite généraliser une technologie sans fil, dont les conséquences sanitaires demeurent largement inconnues ". Ces associations ont ainsi déploré un protocole de mesures défini pour les fréquences du GSM et non adapté à celles du WiFi.