Il s'agit des fameux documents qui avaient été dérobés au studio de cinéma et de télévision en novembre 2014. Une intrusion dans le réseau de Sony Pictures revendiquée par le groupe Guardian of Peace. Les autorités américaines ont mis en cause la Corée du Nord mais des experts en sécurité informatique penchent plutôt pour la piste de hackers russes.
Si les documents dérobés pouvaient être trouvés sans l'aide de WikiLeaks, ce dernier en propose une indexation afin de faciliter la recherche et la navigation. Sony Pictures avait condamné cette indexation. WikiLeaks indique que sa deuxième publication comprend des documents sur une enquête pour corruption.