Une première pour YouTube
C'est en tout cas un canal de diffusion encore peu commun pour un long métrage auquel a consenti Fergusson, déclarant : " J'ai voulu que le film, et les faits sur l'occupation en Irak, soient accessibles au plus grand nombre. Mon souhait est que cela permettra de meilleures décisions en matière de politique étrangère pour aller de l'avant en Irak et ailleurs ".
Rappelons qu'avec sa plate-forme Screening Room, YouTube héberge des films indépendants, et partage les revenus publicitaires générés avec les réalisateurs et producteurs. La durée des films est cependant sans commune mesure avec No End in Sight.
Source :
The New York Times