AOL va supprimer 700 postes aux Etats-Unis.
AOL (anciennement America OnLine) s'apprête à supprimer 700 postes aux Etats-Unis, soit 5% de son effectif global, essentiellement dans sa division Internet Bas-Débit, encore active outre-Atlantique, mais en forte perte de vitesse.
Le premier fournisseur d'accès à Internet du monde, qui collabore à concurrence de 20% au chiffre d'affaires de sa maison-mère, Time Warner, poursuit sa remontée après une période de vaches maigres de plusieurs années, au cours desquelles sa clientèle s'est sensiblement errodée.
Le recentrage vers l'Internet Haut-Débit s'opère donc dans la douleur, mais semble être une évolution incontournable. Dans ce cas, il conduira à la fermeture d'un centre d'appel à destination de la clientèle particulière, basé à Orlando, en Floride, et à des restructuration au siège de la compagnie, à Dulles, en Virginie.
L'impact financier attendu de ces changements reste un secret jalousement gardé en interne, et il est difficile de dire si Time Warner effectue ces ajustements pour mieux vendre AOL, ou pour l'aider à se redresser.
Le feuilleton de cet automne (ici, ici et là) autour de son rachat par différentes firmes, n'en finit pas d'alimenter la chronique. On sait en revanche que Time Warner a provisionné les sommes correspondant à ces opérations pour son dernier trimestre fiscal, et que son action en Bourse a, une fois n'est pas coutume en pareil cas, perdu un peu de sa superbe à l'annonce des restructuration d'AOL.
Ce dernier revendiquait au début de l'été quelque 20.8 millions d'abonnés aux Etats-Unis, mais en comptait 6 millions de plus il y a seulement trois ans...
AOL (anciennement America OnLine) s'apprête à supprimer 700 postes aux Etats-Unis, soit 5% de son effectif global, essentiellement dans sa division Internet Bas-Débit, encore active outre-Atlantique, mais en forte perte de vitesse.
Le premier fournisseur d'accès à Internet du monde, qui collabore à concurrence de 20% au chiffre d'affaires de sa maison-mère, Time Warner, poursuit sa remontée après une période de vaches maigres de plusieurs années, au cours desquelles sa clientèle s'est sensiblement errodée.
Le recentrage vers l'Internet Haut-Débit s'opère donc dans la douleur, mais semble être une évolution incontournable. Dans ce cas, il conduira à la fermeture d'un centre d'appel à destination de la clientèle particulière, basé à Orlando, en Floride, et à des restructuration au siège de la compagnie, à Dulles, en Virginie.
L'impact financier attendu de ces changements reste un secret jalousement gardé en interne, et il est difficile de dire si Time Warner effectue ces ajustements pour mieux vendre AOL, ou pour l'aider à se redresser.
Le feuilleton de cet automne (ici, ici et là) autour de son rachat par différentes firmes, n'en finit pas d'alimenter la chronique. On sait en revanche que Time Warner a provisionné les sommes correspondant à ces opérations pour son dernier trimestre fiscal, et que son action en Bourse a, une fois n'est pas coutume en pareil cas, perdu un peu de sa superbe à l'annonce des restructuration d'AOL.
Ce dernier revendiquait au début de l'été quelque 20.8 millions d'abonnés aux Etats-Unis, mais en comptait 6 millions de plus il y a seulement trois ans...
Source :
Yahoo News
