La mise en faillite de BenQ Mobile Allemagne n'était que la première étape du sabordage des activités occidentales du taïwanais BenQ.
Lors d'une nouvelle déclaration, le porte-parole de la société a annoncé qu'aucune filiale étrangère ne serait plus alimentée financièrement par la maison-mère et que chacune d'entre elles devrait décider de son sort. C'est ainsi que BenQ Mobile Hollande est directement concernée, de même que les filiales d'Amérique du Sud (Argentine, Paraguay et Uruguay), initialement acquises avec le rachat de la branche téléphonie mobile de Siemens. Un centre de production au Brésil est également concerné.
BenQ n'envisage pas de se retirer du marché de la téléphonie mobile mais s'est déjà séparé de son usine taïwanaise, et ne conserve donc plus qu'un centre en Chine.
"BenQ continue son activité téléphonie mobile. Nous n'avons pas abandonné les marchés européen et d'Amérique latine", affirme Eric Yu, représentant de BenQ.
Mais qui y croit encore ?
Publié le
par Raymond K.
Créateur du site GNT
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