Mais les personnes qui ont reçu le message en question avaient également pu y lire que les responsables étaient en ce moment à la recherche d'une solution pour permettre au service de subsister. Il fallait juste considérer la fermeture comme désormais certaine et se préparer pour le cas où aucune solution n'était trouvée d'ici cette date.
Interrogés par nos confrères de NetEco sur cette solution, l'un des dirigeants de la filiale française de Lycos, groupe auquel appartient le service Caramail, a indiqué ceci : " Caramail est une belle marque et une belle histoire. Nous travaillons sur un plan de reprise avec deux fonds d'investissement spécialisés dans le Web et nous espérons une issue favorable dans les prochains jours. "
Bref, rendez-vous la semaine prochaine pour avoir le fin mot de l'histoire ou, qui sait, le début d'une nouvelle.
