Dans un communiqué commun adressé à l’Union européenne et aux USA, les agences européennes chargées de la protection des données personnelles, telles que la CNIL pour la France, ont exigé une clarification de la situation. Elles réclament la mise en place d’outils techniques et juridiques pour prendre en compte ce nouveau cadre juridique, lequel concerne d’ailleurs plus de 4 000 entreprises. La date butoir est fixée au 31 janvier 2016. Au-delà, elles s’autorisent des actions coordonnées, incluant notamment des actions répressives.