Du 20 au 25 juin, l'Algérie a pris une décision plutôt radicale afin d'éviter des fuites et de la triche pendant les examens de fin d'année pour le secondaire. Plus de 700 000 candidats algériens passent actuellement les épreuves du baccalauréat.
L'AFP (Le Monde) a confirmé l'effectivité de coupures pour l'ensemble du pays à partir de mercredi.
Selon l'agence de presse nationale algérienne APS, la ministre algérienne de l'éducation avait estimé que de telles coupures n'affecteraient pas les entreprises sur le plan économique, dans la mesure où elles avaient été informées à l'avance des périodes concernées.
En 2016, des sujets du bac avaient massivement fuité sur les réseaux sociaux avant ou au début des épreuves. L'année dernière et sans véritable succès, les autorités algériennes avaient tenté de couper le seul accès aux réseaux sociaux. Pour cette année, les choses ont été revues à plus grande échelle.