Le territoire privilégié pour des éditeurs de jeux vidéo reste à priori les Etats-Unis, d'autant plus qu'ils en sont pour les plus grands, originaires. Le magazine Next Generation propose aujourd'hui une tentative de classement des meilleurs éditeurs de jeux sur son territoire, en fonction des ventes réalisées.


Limitatif' Un peu.
Selon les critères de classement pour entrer dans ce top, il faut avoir dans les douze derniers mois vendus plus d'un million d'unités de jeux en magasin. Voici probablement le problème auquel ce classement fait face, vu qu'il exclue purement et simplement les ventes de jeux via internet et autres inscriptions à des MMO, dont l'achat de la boîte est de moins en moins indispensable. C'est ainsi un énorme facteur limitatif en terme de pertinence, classant plus facilement ce classement dans la catégorie Consoles, plutôt que PC. Et encore, les consoles Next Gen s'orientant de plus en plus vers le téléchargement, il faudrait penser à changer de méthode. Ou de nom de site...


Le classement :

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  1. C'est Electronic Arts que l'on retrouve à la première place avec pas moins de 2,9 milliards de dollars de recettes totalisées via la vente de jeux.
  2. Suit ensuite Nintendo, récemment revitalisé avec la sortie de sa DS et de la sortie approchante de la Wii.
  3. Puis c'est le tour d'Activision, dont le dernier titre, Gun, s'est vendu relativement peu par rapport au succès estimé de prime abord.
  4. Sony
  5. THQ
  6. Take Two interactive
  7. Ubisoft
  8. LucasArts
  9. Vivendi Universal Games
  10. Konami
  11. Microsoft
  12. Namco/Bandai
  13. Sega
  14. Midway
  15. Atari
  16. Capcom
  17. Buena Vista Games
  18. Eidos
  19. Square Enix
  20. La dernière place est détenue par de nombreux autres éditeurs, que next generation n'ose pas départager. Parmi eux on retrouve Majesco ou encore NCsoft, qui font leur percée en ce moment.

Chaque éditeur parmi ce classement bénéficie d'une courte présentation de la firme et de ses derniers projets, plutôt bien renseignés. A noter la 19ème place de Square Enix, dûe apparemment au faible succès des franchises classiques de Final Fantasy qui s'oriente de plus en plus vers le online et donc moins vers la vente directe.