Facebook : le bouton "j'aime pas" en test

C'est une fonctionnalité qui avait été plusieurs fois présentée comme incompatible avec l'ambiance que Facebook souhaitait maintenir sur son réseau social : le bouton "j'aime pas" serait actuellement en test auprès de quelques utilisateurs.
Facebook pourrait prochainement réviser sa position concernant une fonctionnalité demandée de longue date par les utilisateurs, à savoir une façon de faire partager son désaccord avec les autres utilisateurs à travers un bouton "j'aime pas".
Jusqu'ici, Facebook s'était défendu de proposer un tel bouton, évoquant plusieurs raisons. D'un point de vue global, Facebook souhaitait mettre en avant le positivisme à l'état pur sur son réseau, éviter ainsi de voir la critique s'installer trop facilement avec un bouton à la connotation négative, qui pourrait déborder plus largement sur du harcèlement ou du dénigrement.
Une première concession avait été faite par le réseau en ajoutant des émoticônes, et le statut exprimant la compassion, notamment sous l'impulsion des utilisateurs pas franchement ravis de n'avoir pour seule alternative que "d'aimer" les publications les plus tristes de leurs amis...
Selon TechCrunch, Facebook testerait donc actuellement le bouton "J'aime pas" qui ne sera pas véritablement l'équivalent opposé du bouton j'aime. En effet, il se pourrait que la fonction se limite à un émoji représentant simplement un pouce vers le bas.
Pas question donc pour Facebook de proposer de véritable bouton opposé à celui qui a fait son succès.
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La Cour de justice de l'Union européenne estime qu'un site web partage avec Facebook la responsabilité de la collecte de données lors de l'intégration d'un bouton " Jaime. "
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Depuis la création du bouton " j'aime" sur Facebook, une foule d'utilisateurs revendique le droit d'obtenir un bouton " je n'aime pas". Mais le réseau social n'est pas près de céder aux demandes, afin d'éviter la négativité.
Vos commentaires Page 1 / 4
Société de dégénérées...
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D'où l'emoji "triste" qui est apparu
Le bouton "je n'aime pas" est pour moi problématique.
Pour une personne fragile, comme la plupart des adolescents, recevoir un pouce rouge peut être pris personnellement. L'adolescent peut se dire: La personne n'aime pas mon commentaire, alors c'est moi qu'elle n'aime pas.
De plus, le cyber-harcèlement peut être fait de façon plus insidieuse, car ici, il n'y a pas de mots, donc non répréhensible au niveau légal, tout en étant presque aussi fort psychologiquement...
Pour les ados, les sensibles touça, la vrai solution qui n'est pas explorée par papa/maman c'est pas d'internet avant 18 ans, quand tu travailleras et que tu pourras te le payer. Pis offrez un abonnement a un sport collectif ou a un sport tout court a vos mioches que plutôt des moyens de garderie qui vous dispense de vous en occuper
pas de porno pendat l'adolescence, ils vont se suicider les gars !