Le mois dernier, Facebook avait indiqué l'arrivée de son outil de fact-checking en France, après les États-Unis et l'Allemagne. Une vérification par les faits confiée à des tiers qui entre aujourd'hui en action sur le réseau social.

Pour rappel, Facebook travaille avec huit rédactions partenaires : l'AFP, BFMTV, L'Express, France Médias Monde, France Télévisions, Libération, Le Monde et 20 Minutes. Lorsqu'une publication est jugée fausse par deux de ces vérificateurs, elle est identifiée comme étant contestée.

Facebook-fact-checking-alerte

Les informations à vérifier peuvent être signalées par les utilisateurs via le coin supérieur droit d'une publication. Le cas échéant, une fausse information n'est donc pas supprimée mais accompagnée d'une alerte pour limiter le partage. L'auteur ne peut plus en faire la promotion via de la publicité.

Facebook ajoute que " la visibilité de ces publications pourra être réduite dans les fils d'actualité des utilisateurs. " Mardi, c'est la plate-forme collaborative de vérifications par les faits CrossCheck qui a été lancée. Ce sont des expérimentations.