Des prédateurs sexuels sur Facebook, selon le Connecticut
Le par
Cédric B.
| 7 commentaire(s)

Des enquêteurs du Connecticut, aux Etats-Unis, étudient actuellement " au moins " trois cas d'individus déjà condamnés pour des délits à caractère sexuels et s'étant enregistrés sur le portail FaceBook.

Cette enquête est toujours en cours et des responsables officiels ont demandé à Facebook de supprimer les profils incriminés. Selon les propos du directeur de la sécurité du réseau communautaire, Chris Kelly, il n'est pas au courant de cette affaire mais la compagnie a reçu un certain nombre de retours et supprime en général les profils moins de 72 heures après avoir mené ses propres investigations.
" Nous voulons être un bon partenaire des Etats en essayant de résoudre ce problème de société ", a précisé Kelly, ajoutant : " Nous travaillons avec eux depuis un moment désormais, et nous cherchons à faire perdurer ce partenariat fructueux ".
Facebook n'est pas le seul réseau communautaire à être touché par la prolifération de prédateurs sexuels, puisque MySpace est vivement critiqué sur ce sujet depuis de nombreux mois.
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Complément d'information
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Le réseau social Facebook s'est lancé dans une véritable chasse aux sorcières en ciblant les universitaires et chercheurs menant des études sur la désinformation et le manque de transparence du réseau.
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Dévoilé en 2016 en tant que concept de réseau très haut débit venant épauler les réseaux existants, le Terragraph de Facebook va s'appuyer sur le WiGig 60 GHz de Qualcomm pour se développer.
Vos commentaires
Mais que fait la police ?
htétépé://quefaitlapolice.samizdat.net
Une news de plus pour relayer la paranoïa internet....
De une, il s'agit de délit "purgés" à priori, et je suis pas vraiment pour le fait de condamner à vie une personne, si elle est sortie de prison, et sa peine purgée, elle n'a pas a être considéré comme présumé coupable de ce qu'elle pourrait peut etre éventuellement faire.
Sinon, soit elle devrait être encore prison, soit se faire soigner suivant les cas.
Totalement d'accord avec toi, mais bon cela permet à des pseudo-journalistes de faire leur travail de sensationnalisme qui est si important à leurs yeux (seraient-ils en train de prendre exemple sur leurs ainés télévisuels ???)
Cette masse d'information sans réelle importance ne fait que renforcer le sentiment global d'insécurité qui lui même permet toutes les dérives qui ira jusqu'à nous priver totalement de notre liberté de penser ?
Mais jusqu'où irez vous ?
On a pas du tout les meme definitions. Aux usa, il suffit de coucher avec sa copine un peu trop jeune, selon les etats, pour rentrer dans cette categorie...
A croire que la prison ne fait pas son boulot de re-intégration des déliquants sexuels...