Resident Evil 5 DLC - Image 4 Peut-être à juste titre, le COO de GameStop, J. Paul Raines, considère que les DLC doivent désormais être acceptés de manière plus franche par le détaillant, et ce en éduquant le consommateur de manière à ce que ce dernier maîtrise bien cette pratique encore toute récente.

Lors de la conférence Game Business Law s'étant tenue à l'Université Southern Methodist, l'homme a ainsi expliqué que pour lui, le marché du DLC pourrait incessamment sous peu connaître une croissance considérable. Le problème réside cependant au niveau de la communication, car plus de joueurs qu'on ne le croit n'ont pas connaissance des DLC, ou bien ne savent pas comment y accéder.


Un peu de pédagogie
C'est là que GameStop peut jouer un rôle informatif, et à en juger par la déclaration de J. Paul Raines, il s'agit d'un moyen parmi d'autres de ne pas louper de wagons pour la société :

"Le seul moyen pour qu'une entreprise comme la nôtre survive est d'être dédiée à cette catégorie. Le contenu téléchargeable est une bonne chose car il améliore et prolonge les jeux."

Et oui, certains titres grâce aux DLC peuvent voir leur durée de vie dans les bacs rallongée plus ou moins conséquemment. Pensons par exemple à Resident Evil 5 et sa Gold Edition... ah, on me dit que ce DLC sera vendu avec le jeu original, donc, on parlera presque ici d'une nouvelle sortie. Citons alors GTA : Episodes from Liberty City... Ca ne fonctionne pas non plus car il n'est pas nécessaire de posséder GTA IV pour y jouer. Alors bien sûr, j'ai volontairement pris des contre-exemples pour illustrer le propos de Mr. Raines, mais dans l'ensemble, il a sans doute raison. On n'oubliera cependant pas que dans bien des cas, le DLC a des allures d'arnaque, et ça aussi, les joueurs devront l'assimiler pour ne pas se faire avoir.