C'est un décorateur qui a révélé les quelques détails qui font l'originalité de l'avion spécialement amménagé pour le bon plaisir des patrons de Google, et surtout de leurs invités.
Une menace pour la sécurité de l'appareil
Ces révélations sont dangereuses pour la sécurité de l'avion, selon l'avocat engagé, Eric Powel. En effet, toujours selon ce dernier, elles pourraient faciliter une prise d'otage ou la pose de micros d'espionnage et ces menaces n'ont rien de théoriques assure-t-il.
Pourtant, si ces révélations sont choquantes, ce n'est pas parce qu'elles sont d'ordre technique, mais bien parce qu'elles ne sont pas conformes aux bonnes moeurs. On apprend ainsi que l'avion est un Boeing 767 spécialement aménagé pour recevoir des fêtes et qu'il était prévu d'installer des hamacs pendus au plafond, et un lit king size dans la suite de Sergey Brin.
Atteinte à la sécurité, ou atteinte à l'image de marque de Google '
Ces révélations entâchent l'immaculée réputation de Google qui jouissait jusqu'à lors d'une aura très positive aux yeux de la population américaine. Mais dans le pays des paradoxes, le jet privé Google fait tâche.
Les motivations du décorateur quant à elles sont liées à un esprit de vengeance puisque l'homme avait été engagé pour faire les aménagements dont il a, par la suite, parlé, mais un désaccord sur son travail a amené à la rupture de son contrat d'une valeur de 340 000 USD.
L'homme s'estime donc lésé et exige 200 000 USD en dédommagement.
Une menace pour la sécurité de l'appareil
Ces révélations sont dangereuses pour la sécurité de l'avion, selon l'avocat engagé, Eric Powel. En effet, toujours selon ce dernier, elles pourraient faciliter une prise d'otage ou la pose de micros d'espionnage et ces menaces n'ont rien de théoriques assure-t-il.
Pourtant, si ces révélations sont choquantes, ce n'est pas parce qu'elles sont d'ordre technique, mais bien parce qu'elles ne sont pas conformes aux bonnes moeurs. On apprend ainsi que l'avion est un Boeing 767 spécialement aménagé pour recevoir des fêtes et qu'il était prévu d'installer des hamacs pendus au plafond, et un lit king size dans la suite de Sergey Brin.
Ces révélations entâchent l'immaculée réputation de Google qui jouissait jusqu'à lors d'une aura très positive aux yeux de la population américaine. Mais dans le pays des paradoxes, le jet privé Google fait tâche.
Les motivations du décorateur quant à elles sont liées à un esprit de vengeance puisque l'homme avait été engagé pour faire les aménagements dont il a, par la suite, parlé, mais un désaccord sur son travail a amené à la rupture de son contrat d'une valeur de 340 000 USD.
L'homme s'estime donc lésé et exige 200 000 USD en dédommagement.
