Horizon Worlds est disponible depuis quelques jours aux USA et au Canada. L'univers virtuel de Meta, la maison mère de Facebook, uniquement accessible via un casque de réalité virtuelle Oculus Quest fait déjà débat.

Horizon worlds

Une utilisatrice dénonce ainsi déjà plusieurs agressions sexuelles qu'aurait subies son avatar sur le service. La bétatesteuse a rapporté les faits aux équipes de Meta, comme l'impliquait les CGU du service et particulièrement le programme de test qui visait à mettre en lumière tous les problèmes que pourraient rencontrer les utilisateurs afin d'anticiper des solutions à proposer.

Oculus Quest 2 — Casque de réalité virtuelle tout-en-un dernière génération — 256 Go
Oculus Quest 2 
449,99€€ sur Amazon* * Prix initial : 449,99€€.

Cette dernière a ainsi rapporté que son personnage s'est fait tripoter et que d'autres personnes ont soutenu le comportement. Des faits qui se seraient déroulés au Plaza, l'équivalent du centre-ville du Metaverse. Elle ajoute que "Le harcèlement sexuel est déjà grave en ligne, mais en réalité virtuelle, cela vient ajouter de l'intensité à ce type d'acte", elle se dit dégoutée du comportement des autres bêtatesteurs.

Meta a confirmé l'incident et déplore un événement "absolument regrettable". La firme précise qu'il est possible de créer son propre espace virtuel au sein d'Horizon Worlds, une safe zone dans laquelle aucune interaction n'est possible... Et sous-entends ainsi que c'est à la victime de s'isoler.

La firme va toutefois continuer à développer son interface pour faciliter le signalement de comportement suspect ou dérangeant.

D'autres testeuses ont rapporté des situations gênantes et globalement le transfert des problèmes se la société réelle vers le metaverse. Meta aura donc du pain sur la planche pour tenir sa promesse d'offrir un monde virtuel sain et sécurisé.