Mais pour un particulier américain qui utilise une imprimante apparemment concernée par cette faille de sécurité, la réponse de Hewlett-Packard et son choix de laisser couler sont simplement inacceptables. Celui-ci accuse par ailleurs le fabricant d’avoir continué à vendre ses appareils, tout en ayant connaissance du problème. Voilà pourquoi il a déposé une plainte, appelant d’autres à la suivre pour une plainte en nom collectif ( ou class action ).
Ça sent clairement le roussi pour HP, surtout quand on sait comment se termine ce genre d’affaires au pays de l’Oncle Sam, c’est-à-dire avec de lourdes amendes à la clé. Sans compter l’impact sur l’image de la marque. Pour l'accusation, il faudra toutefois réussir à prouver que le client a risqué quelque chose en utilisant l’imprimante.