Présentation de l'interface web d'administration

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Présentation de l'interface (suite)

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet Système

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet Système (suite)

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet Etat

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet Etat (suite)

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet RPVs

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet Pare-feu

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet Réseau

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet Journaux

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Onglet Journaux (suite)

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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Conclusion

  • PARE-FEU :
Transfert de ports :
Il s’agit là du Port Address Translation (PAT, parfois aussi nommé Port Forwarding), qui vous permet de rediriger le flux arrivant sur un port de votre IPCop vers un port d’une machine faisant partie d’une des zones d’IPCop.

Exemple : Un serveur web se trouve derrière l’interface verte d’IPCop. Il vous faut donc rediriger les requêtes HTTP que reçoit votre IPCop vers ce serveur. Vous allez donc choisir les protocoles utilisés par http (ici TCP, il faudra donc créer une règle pour ce protocole) et rediriger les paquets vers l’adresse IP de votre serveur web  (192.168.1.250 par exemple) sur le port HTTP (80 par défaut, 8080 parfois).

Une fois les redirections créées vous pourrez tout à fait les désactiver, modifier, ajouter d’autres adresses ayant l'accès (si vous souhaitez effectuer un filtrage précis en fonction des adresses IP pouvant accéder à votre serveur web), ou tout simplement supprimer cette règle si elle ne vous est plus utile.
La liste des ports en fonction du protocole utilisé est gérée par le IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et est disponible ici.


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Accès externes :
Vous pouvez ouvrir des "brèches" dans le fire-wall pour ouvrir complètement un accès au réseau sur un port, c'est-à-dire que les ports choisis seront complètements ouverts, ceci peut être utile pour autoriser l’accès à l’interface de configuration ou l’accès en SSH à IPCop depuis la zone rouge (Internet par exemple).

Pour sécuriser un petit peu l'ouverture complète de ces ports, on pourra spécifier quelles adresses IP sont autorisées à les utiliser (dans le cas d’un serveur FTP dont on connaît les clients par exemple, ou l’adresse IP de l’administrateur distant).


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Options du firewall :

Dans ce menu vous avez la possibilité de choisir quelle interface répondra ou non au ping. On désactivera le ping pour des raisons de sécurité si on le souhaite (ce qui permet tout de même d’éviter certaines attaques).


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