Nous nous souvenons encore très bien de l'affaire opposant Nintendo au  site de distribution import Lik-Sang en décembre dernier. La société nipponne avait obtenu gain de cause auprès de la Cour Suprême de Hong Kong et le site marchand avait dû procéder au retrait des produits destinés au piratage de jeux et au versement de dommages et intérêts.

Nintendo a annoncé officiellement son action menée il y a quelques jours dans les usines Supreme Factory Limited, suite à la demande effectuée à la Cour Suprême de Hong Kong. De nombreuses saisies ont été faites.


Une liaison française
Pendant une période de trois jours, des représentants de Nintendo ont saisi plus de 10.000 appareils destinés au piratage de jeux sur DS, ainsi que des modchips prévus pour la Wii. La recherche au sein des usines a permis de mettre la main sur des documents indiquant une affiliation avec la compagnie française Divineo SARL. La société et son fondateur, Max Louarn, ont été nommés dans l'action judiciaire lancée par Nintendo.

À l'heure actuelle, la Cour Suprême a interdit aux compagnies de continuer la distribution de ces dispositifs et que leurs capitaux soient stoppés en attendant les résultats de l'instance judiciaire.