Sur le site pre-plainte-en-ligne.fr, on peut lire que ce système vise " essentiellement à faire gagner du temps " lors d'une présentation ultérieure. Pour que la pré-plainte devienne plainte, la déclaration doit en effet être signée à la gendarmerie ou dans un service de police.
Dans un avis ( rendu le 25 octobre et publié au Journal Officiel du 11 décembre ), la Commission nationale de l'informatique et des libertés indique que la généralisation du système à l'échelle nationale sera précédée d'un élargissement de l'expérimentation à deux autres départements : la Haute-Garonne et le Bas-Rhin.
Selon la CNIL, avec l'expérimentation en Charente-Maritime et dans les Yvelines : " peu de pré-plaintes ont été déposées ", mais " la perception du dispositif par les différents intervenants est très positive ".
À noter que les données enregistrées sont effacées au bout de 30 jours après une déclaration en ligne si la victime ne se présente pas au rendez-vous fixé.
Publié le
par Jérôme G.

Source :
AFP

Journaliste GNT spécialisé en nouvelles technologies
Sur le même sujet
Cette page peut contenir des liens affiliés. Si vous achetez un produit depuis ces liens, le site marchand nous reversera une commission sans que cela n'impacte en rien le montant de votre achat. En savoir plus.