Un inventeur anglais a donné à son vieux magnétoscope une seconde vie. Et à son chat, des repas à heure (d'hiver) fixe.
James Larsson (non, non, ce n'est pas lui, sur la photo ci-contre), sujet de sa Très Gracieuse Majesté, est un inventeur comme on en trouve beaucoup outre-Manche: il est créatif, économe, et soucieux de l'environnement.
Aussi, lorsqu'il s'est agi de recycler son magnétoscope, sans doute devenu inutile après l'achat d'un lecteur de DVD, a-t-il eu l'idée de faire d'une pierre, deux coups: plutôt que de jeter l'appareil, autant récupérer ce qui pouvait l'être, toujours dans l'optique d'un usage domestique. Un coup d'oeil au chat de la famille, qui manifestait bruyamment son appétit, et le tour était joué.
Sans doute pour se motiver, James a donné, avant même d'avoir commencé, un nom à son invention: le "Magnétoscope Programmabol (pour chat)" était --presque-- né. Désormais pourvue d'une identité, la trouvaille ne pouvait décemment plus rester à l'état de simple projet.
James a donc entrepris d'ouvrir le ventre de la bête (pas celui du chat, rassurez-vous). Au milieu de ce fatras d'électronique, notre inventeur a repéré LA pièce susceptible de donner vie à son projet: le moteur d’entraînement –et le train d’engrenages qui lui est associé-- de la tête d’enregistrement et de lecture de son magnétoscope. L’opération de conversion pouvait commencer.
L’étape suivante, tout aussi cruciale, était de découpler la tête de lecture/enregistrement de son moteur, ce qui fut promptement fait. Restait ensuite à refermer le magnétoscope, désormais amputé d’une partie de son contenu, puis à fixer le moteur et le programmateur sur le chassis. Une fois en place, James a confectionné un entonnoir, destiné à contenir la pâté pour chat, et l’a emboîté sur un manchon contenant une vis sans fin, laquelle est commandée par le moteur du magnétoscope, et surtout déclenchée à heure fixe via le programmateur…
Désormais, il suffit à James de penser à remplir l’entonnoir en aliments pour chat, le programmateur se chargeant d’alimenter le félin de la maison selon des horaires établis après négociation entre l’homme et l’animal. L’histoire ne dit pas si ce dernier, en bon Britannique, pousse l’humour jusqu’à déplacer du museau son écuelle afin qu’elle ne se trouve plus sous l’orifice de sortie de ce distributeur automatique de [entrez ici la marque favorite de votre chat].
A moins que l’ingénieux James n’ait anticipé sur la question, et collé le récipient au magnétoscope. Ensuite, notre chat, repu, n'a plus qu'à faire une petite sieste, comme en témoigne le cliché pris sur le vif --et sur le lit-- et dévoilé en tête d'article.
Quelle vie!
James Larsson (non, non, ce n'est pas lui, sur la photo ci-contre), sujet de sa Très Gracieuse Majesté, est un inventeur comme on en trouve beaucoup outre-Manche: il est créatif, économe, et soucieux de l'environnement.
Aussi, lorsqu'il s'est agi de recycler son magnétoscope, sans doute devenu inutile après l'achat d'un lecteur de DVD, a-t-il eu l'idée de faire d'une pierre, deux coups: plutôt que de jeter l'appareil, autant récupérer ce qui pouvait l'être, toujours dans l'optique d'un usage domestique. Un coup d'oeil au chat de la famille, qui manifestait bruyamment son appétit, et le tour était joué.
Sans doute pour se motiver, James a donné, avant même d'avoir commencé, un nom à son invention: le "Magnétoscope Programmabol (pour chat)" était --presque-- né. Désormais pourvue d'une identité, la trouvaille ne pouvait décemment plus rester à l'état de simple projet.
James a donc entrepris d'ouvrir le ventre de la bête (pas celui du chat, rassurez-vous). Au milieu de ce fatras d'électronique, notre inventeur a repéré LA pièce susceptible de donner vie à son projet: le moteur d’entraînement –et le train d’engrenages qui lui est associé-- de la tête d’enregistrement et de lecture de son magnétoscope. L’opération de conversion pouvait commencer.
L’étape suivante, tout aussi cruciale, était de découpler la tête de lecture/enregistrement de son moteur, ce qui fut promptement fait. Restait ensuite à refermer le magnétoscope, désormais amputé d’une partie de son contenu, puis à fixer le moteur et le programmateur sur le chassis. Une fois en place, James a confectionné un entonnoir, destiné à contenir la pâté pour chat, et l’a emboîté sur un manchon contenant une vis sans fin, laquelle est commandée par le moteur du magnétoscope, et surtout déclenchée à heure fixe via le programmateur…
Désormais, il suffit à James de penser à remplir l’entonnoir en aliments pour chat, le programmateur se chargeant d’alimenter le félin de la maison selon des horaires établis après négociation entre l’homme et l’animal. L’histoire ne dit pas si ce dernier, en bon Britannique, pousse l’humour jusqu’à déplacer du museau son écuelle afin qu’elle ne se trouve plus sous l’orifice de sortie de ce distributeur automatique de [entrez ici la marque favorite de votre chat].
A moins que l’ingénieux James n’ait anticipé sur la question, et collé le récipient au magnétoscope. Ensuite, notre chat, repu, n'a plus qu'à faire une petite sieste, comme en témoigne le cliché pris sur le vif --et sur le lit-- et dévoilé en tête d'article.
Quelle vie!
Source :
CNET News
