http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/public/assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galerie_camera_obscura.jpg
Michael Ackerman
On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule. -- Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/public/
assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galerie_camera_ob
scura.jpg Michael Ackerman
On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule.
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, tout s'écroule au premier jour.
Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est visé. Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur au processus. Et puis qu'est-ce-qui ne grandit pas ? Toi, ou lui par rapport à toi ? -- Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
René <jeanpasse@hotmail.com> wrote:
Le vendredi 15 juin 2018 06:59:17 UTC-4, Benoit a écrit :
> Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
>
> > http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/pub
> > lic/assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galerie_c
> > amer a_ob scura.jpg Michael Ackerman
>
> On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule.
>
Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, tout s'écroule au
premier jour.
Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est
visé.
Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne
s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de
qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur au
processus.
Et puis qu'est-ce-qui ne grandit pas ? Toi, ou lui par rapport à toi ?
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, tout s'écroule au premier jour.
Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est visé. Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur au processus. Et puis qu'est-ce-qui ne grandit pas ? Toi, ou lui par rapport à toi ? -- Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
René
Le vendredi 15 juin 2018 16:53:29 UTC-4, Benoit a écrit :
René wrote:
Le vendredi 15 juin 2018 06:59:17 UTC-4, Benoit a écrit : > Alf92 wrote: > > > http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/ pub > > lic/assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galeri e_c > > amer a_ob scura.jpg Michael Ackerman > > On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule. > Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, to ut s'écroule au premier jour.
Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est visé. Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur a u processus.
???? Tu te donnes beaucoup d'importance pour une photo qui n'est ni de toi ni publiée par toi. Soit ma remarque n'était pas très explicite, à l'image de la tienne. Je vois dans la photo de Michael Ackerman une jeune fille peut-être seulement pensive mais selon moi plutôt ennuyée sinon dépressive. Le l ieu est déprimant. Les personnages qui l'habitent peuvent être intér essant pour un photographe mais je crains fort que le sort de la jeune fille ne soit prédestiné par la culture machiste de milieu. Et je passe sur les risques inhérents à la vie d'une jeune et jolie fille...
Et puis qu'est-ce-qui ne grandit pas ? Toi, ou lui par rapport à toi ?
???? René
Le vendredi 15 juin 2018 16:53:29 UTC-4, Benoit a écrit :
René <jeanpasse@hotmail.com> wrote:
> Le vendredi 15 juin 2018 06:59:17 UTC-4, Benoit a écrit :
> > Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
> >
> > > http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/ pub
> > > lic/assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galeri e_c
> > > amer a_ob scura.jpg Michael Ackerman
> >
> > On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule.
> >
>
> Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, to ut s'écroule au
> premier jour.
>
Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est
visé.
Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne
s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de
qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur a u
processus.
????
Tu te donnes beaucoup d'importance pour une photo qui n'est ni de toi ni
publiée par toi.
Soit ma remarque n'était pas très explicite, à l'image de la tienne. Je vois
dans la photo de Michael Ackerman une jeune fille peut-être seulement
pensive mais selon moi plutôt ennuyée sinon dépressive. Le l ieu est
déprimant. Les personnages qui l'habitent peuvent être intér essant pour
un photographe mais je crains fort que le sort de la jeune fille ne soit
prédestiné par la culture machiste de milieu. Et je passe sur les risques
inhérents à la vie d'une jeune et jolie fille...
Et puis qu'est-ce-qui ne grandit pas ? Toi, ou lui par rapport à toi ?
Le vendredi 15 juin 2018 16:53:29 UTC-4, Benoit a écrit :
René wrote:
Le vendredi 15 juin 2018 06:59:17 UTC-4, Benoit a écrit : > Alf92 wrote: > > > http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/ pub > > lic/assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galeri e_c > > amer a_ob scura.jpg Michael Ackerman > > On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule. > Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, to ut s'écroule au premier jour.
Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est visé. Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur a u processus.
???? Tu te donnes beaucoup d'importance pour une photo qui n'est ni de toi ni publiée par toi. Soit ma remarque n'était pas très explicite, à l'image de la tienne. Je vois dans la photo de Michael Ackerman une jeune fille peut-être seulement pensive mais selon moi plutôt ennuyée sinon dépressive. Le l ieu est déprimant. Les personnages qui l'habitent peuvent être intér essant pour un photographe mais je crains fort que le sort de la jeune fille ne soit prédestiné par la culture machiste de milieu. Et je passe sur les risques inhérents à la vie d'une jeune et jolie fille...
Et puis qu'est-ce-qui ne grandit pas ? Toi, ou lui par rapport à toi ?
???? René
benoit
René wrote:
Le vendredi 15 juin 2018 16:53:29 UTC-4, Benoit a écrit :
René wrote: > Le vendredi 15 juin 2018 06:59:17 UTC-4, Benoit a écrit : > > Alf92 wrote: > > > > > http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/pub > > > lic/assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galerie_c > > > amer a_ob scura.jpg Michael Ackerman > > > > On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule. > > > > Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, tout s'écroule au > premier jour. > Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est visé. Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur au processus.
Celui qui est dedans le voit puisqu'il voit grâce aux médias, ou à cause d'eux, un peu à l'extérieur de son « monde ». Celui qui est à l'extérieur le voit aussi, différemment, mais il le voit. Ils ne sont pas fermés et étanches ces mondes, c'est ça qui permet de rêver de son avenir.
Tu te donnes beaucoup d'importance pour une photo qui n'est ni de toi ni publiée par toi.
Je ne lui donne pas d'importance personnelle pour reprendre ton terme. Elle me marque et le regard de la fille semble faux pour moi, pas pour toi. Chacun interprète à sa façon.
Soit ma remarque n'était pas très explicite, à l'image de la tienne. Je vois dans la photo de Michael Ackerman une jeune fille peut-être seulement pensive mais selon moi plutôt ennuyée sinon dépressive. Le lieu est déprimant. Les personnages qui l'habitent peuvent être intéressant pour un photographe mais je crains fort que le sort de la jeune fille ne soit prédestiné par la culture machiste de milieu. Et je passe sur les risques inhérents à la vie d'une jeune et jolie fille...
Ok, mais, pour moi, son regard sent la pause. Je ne sais pas pourquoi. Je me trompe peut-être. Un écran ne donne qu'une première idée, un tirage la définitive. Pour le reste de ce que j'ai dit, excuse-moi, il était tard, très tard. -- Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
René <jeanpasse@hotmail.com> wrote:
Le vendredi 15 juin 2018 16:53:29 UTC-4, Benoit a écrit :
> René <jeanpasse@hotmail.com> wrote:
>
> > Le vendredi 15 juin 2018 06:59:17 UTC-4, Benoit a écrit :
> > > Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
> > >
> > > > http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/pub
> > > > lic/assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galerie_c
> > > > amer a_ob scura.jpg Michael Ackerman
> > >
> > > On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule.
> > >
> >
> > Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, tout s'écroule au
> > premier jour.
> >
> Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est
> visé.
>
> Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne
> s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de
> qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur au
> processus.
>
Celui qui est dedans le voit puisqu'il voit grâce aux médias, ou à cause
d'eux, un peu à l'extérieur de son « monde ». Celui qui est à
l'extérieur le voit aussi, différemment, mais il le voit. Ils ne sont
pas fermés et étanches ces mondes, c'est ça qui permet de rêver de son
avenir.
Tu te donnes beaucoup d'importance pour une photo qui n'est ni de toi ni
publiée par toi.
Je ne lui donne pas d'importance personnelle pour reprendre ton terme.
Elle me marque et le regard de la fille semble faux pour moi, pas pour
toi. Chacun interprète à sa façon.
Soit ma remarque n'était pas très explicite, à l'image de la tienne. Je vois
dans la photo de Michael Ackerman une jeune fille peut-être seulement
pensive mais selon moi plutôt ennuyée sinon dépressive. Le lieu est
déprimant. Les personnages qui l'habitent peuvent être intéressant pour
un photographe mais je crains fort que le sort de la jeune fille ne soit
prédestiné par la culture machiste de milieu. Et je passe sur les risques
inhérents à la vie d'une jeune et jolie fille...
Ok, mais, pour moi, son regard sent la pause. Je ne sais pas pourquoi.
Je me trompe peut-être. Un écran ne donne qu'une première idée, un
tirage la définitive.
Pour le reste de ce que j'ai dit, excuse-moi, il était tard, très tard.
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
Le vendredi 15 juin 2018 16:53:29 UTC-4, Benoit a écrit :
René wrote: > Le vendredi 15 juin 2018 06:59:17 UTC-4, Benoit a écrit : > > Alf92 wrote: > > > > > http://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/pub > > > lic/assets/images/michael_ackerman_cabbagetown_1997_courtesy_galerie_c > > > amer a_ob scura.jpg Michael Ackerman > > > > On dirait que la fille pose et d'un seul coup tout s'écroule. > > > > Quand on naît dans un lieu ou rien ne s'élève... oui, tout s'écroule au > premier jour. > Désolé, mais ta remarque est tellement vague que je ne sais pas qui est visé. Si c'est moi, sache que quand on grandit dans un lieu où rien ne s'élève, on le voit, on le sent et c'est dur. Tout dépend, in fine, de qui juge les hauteurs, celui qui est dedans ou quelqu'un extérieur au processus.
Celui qui est dedans le voit puisqu'il voit grâce aux médias, ou à cause d'eux, un peu à l'extérieur de son « monde ». Celui qui est à l'extérieur le voit aussi, différemment, mais il le voit. Ils ne sont pas fermés et étanches ces mondes, c'est ça qui permet de rêver de son avenir.
Tu te donnes beaucoup d'importance pour une photo qui n'est ni de toi ni publiée par toi.
Je ne lui donne pas d'importance personnelle pour reprendre ton terme. Elle me marque et le regard de la fille semble faux pour moi, pas pour toi. Chacun interprète à sa façon.
Soit ma remarque n'était pas très explicite, à l'image de la tienne. Je vois dans la photo de Michael Ackerman une jeune fille peut-être seulement pensive mais selon moi plutôt ennuyée sinon dépressive. Le lieu est déprimant. Les personnages qui l'habitent peuvent être intéressant pour un photographe mais je crains fort que le sort de la jeune fille ne soit prédestiné par la culture machiste de milieu. Et je passe sur les risques inhérents à la vie d'une jeune et jolie fille...
Ok, mais, pour moi, son regard sent la pause. Je ne sais pas pourquoi. Je me trompe peut-être. Un écran ne donne qu'une première idée, un tirage la définitive. Pour le reste de ce que j'ai dit, excuse-moi, il était tard, très tard. -- Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.