J'aime beaucoup ces quelques visages tournés vers nous.
ouais... c'est du lourd cette photo
Effectivement, tous ces visages tournés vers l'appareil photo plutôt que vers l'oratrice ont déjà une signification qui nous interpelle particulièrement :" elle, on la connait, on sait qu'elle nous défend, mais c'est ceux de l'extérieur qu'il nous faut convaincre."
"Alf92" a écrit dans le message de groupe de discussion :
podje1$9kd$1@dont-email.me...
J'aime beaucoup ces quelques visages tournés vers nous.
ouais... c'est du lourd cette photo
Effectivement, tous ces visages tournés vers l'appareil photo plutôt que
vers l'oratrice ont déjà une signification qui nous interpelle
particulièrement :" elle, on la connait, on sait qu'elle nous défend, mais
c'est ceux de l'extérieur qu'il nous faut convaincre."
J'aime beaucoup ces quelques visages tournés vers nous.
ouais... c'est du lourd cette photo
Effectivement, tous ces visages tournés vers l'appareil photo plutôt que vers l'oratrice ont déjà une signification qui nous interpelle particulièrement :" elle, on la connait, on sait qu'elle nous défend, mais c'est ceux de l'extérieur qu'il nous faut convaincre."
benoit
René S wrote:
"Alf92" a écrit dans le message de groupe de discussion : podje1$9kd$ Benoit :
J'aime beaucoup ces quelques visages tournés vers nous.
ouais... c'est du lourd cette photo
Effectivement, tous ces visages tournés vers l'appareil photo plutôt que vers l'oratrice ont déjà une signification qui nous interpelle particulièrement :" elle, on la connait, on sait qu'elle nous défend, mais c'est ceux de l'extérieur qu'il nous faut convaincre."
C'est peut-être le contraire : « Je n'ai pas envie qu'on sache que je sois là. » C'est pour cel qu'elle est « lourde » comme dit Alf. Il y a une histoire forte et pleins de détails qui nous permettent de nous promener, de recréer une histoire, la nôtre. Un peu comme ces BD où tu as une foultitude de détails que tu découvres, relectures après relectures. Certains Brueghel jouent aussi avec ça : la première impression n'est pas la dernière impression. Dans le business et la communication on dit le contraire : c'est la dernière. Compréhensible dans cet environnement où tu n'as le droit qu'à quelques secondes sur une vue large et les détails, qui enrichissent, complexifient. Résultat : on jette. Qu'on soit un employeur voulant embaucher ou un consommateur apte à changer de produit. Si c'est compliqué on passe à autre chose, on oublie. « It's now or never », texte de Aaron Schroeder and Wally Gold, sur la musique de « O Sole mio » d'Eduardo di Capua. ;) -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
René S <rien@free.fr> wrote:
"Alf92" a écrit dans le message de groupe de discussion :
podje1$9kd$1@dont-email.me...
Benoit :
> Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
>>>
>>>https://phototrend.fr/wp-content/uploads/2018/04/rose-zehner-willy-roni
>>>s--940x1207.jpg
>>>
>
>> J'aime beaucoup ces quelques visages tournés vers nous.
> ouais... c'est du lourd cette photo
Effectivement, tous ces visages tournés vers l'appareil photo plutôt que
vers l'oratrice ont déjà une signification qui nous interpelle
particulièrement :" elle, on la connait, on sait qu'elle nous défend, mais
c'est ceux de l'extérieur qu'il nous faut convaincre."
C'est peut-être le contraire : « Je n'ai pas envie qu'on sache que je
sois là. »
C'est pour cel qu'elle est « lourde » comme dit Alf. Il y a une histoire
forte et pleins de détails qui nous permettent de nous promener, de
recréer une histoire, la nôtre.
Un peu comme ces BD où tu as une foultitude de détails que tu découvres,
relectures après relectures. Certains Brueghel jouent aussi avec ça : la
première impression n'est pas la dernière impression.
Dans le business et la communication on dit le contraire : c'est la
dernière. Compréhensible dans cet environnement où tu n'as le droit qu'à
quelques secondes sur une vue large et les détails, qui enrichissent,
complexifient.
Résultat : on jette. Qu'on soit un employeur voulant embaucher ou un
consommateur apte à changer de produit. Si c'est compliqué on passe à
autre chose, on oublie.
« It's now or never », texte de Aaron Schroeder and Wally Gold, sur la
musique de « O Sole mio » d'Eduardo di Capua. ;)
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
J'aime beaucoup ces quelques visages tournés vers nous.
ouais... c'est du lourd cette photo
Effectivement, tous ces visages tournés vers l'appareil photo plutôt que vers l'oratrice ont déjà une signification qui nous interpelle particulièrement :" elle, on la connait, on sait qu'elle nous défend, mais c'est ceux de l'extérieur qu'il nous faut convaincre."
C'est peut-être le contraire : « Je n'ai pas envie qu'on sache que je sois là. » C'est pour cel qu'elle est « lourde » comme dit Alf. Il y a une histoire forte et pleins de détails qui nous permettent de nous promener, de recréer une histoire, la nôtre. Un peu comme ces BD où tu as une foultitude de détails que tu découvres, relectures après relectures. Certains Brueghel jouent aussi avec ça : la première impression n'est pas la dernière impression. Dans le business et la communication on dit le contraire : c'est la dernière. Compréhensible dans cet environnement où tu n'as le droit qu'à quelques secondes sur une vue large et les détails, qui enrichissent, complexifient. Résultat : on jette. Qu'on soit un employeur voulant embaucher ou un consommateur apte à changer de produit. Si c'est compliqué on passe à autre chose, on oublie. « It's now or never », texte de Aaron Schroeder and Wally Gold, sur la musique de « O Sole mio » d'Eduardo di Capua. ;) -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com