Yes Un prénom preuve de qualité :) -- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
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"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Yes Un prénom preuve de qualité :) -- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Quand je vois cette photo , je me demande comment on peut faire. Lorsque le Concorde s'est cassé la gueule j'étais à gonesse au volant de la semi. J'ai posé la semi au dépot et je suis monté voir avec le tracteur quel était ce bruit et cette colonne de fumée. Je suis arrivé au croisement de la 17 et j'ai vu cet amas de métal aplati, je n'ai pas reconnu tout de suite le concorde. Il y avait quelques voitures garées un gus qui essayait de faire la circulation, des feuilles de papier qui s'élevaient avec la fumée noire, et aussi dans cette fumée noire des boules rouges qui montaient aussi. Je pense que c'était les fusées de détresse, je n'ai pas vu avec toute cette fumée qui pourtant montait droite que l'hotel avait pris feu. Il faut dire que j'étais dans l'axe ou le concorde était entre moi et l'hotel J'étais assis au volant et comme tout accident d'avion aimant les choses de l'air j'étais catastrophé. L'appareil photo était à coté de moi, je n'ai pas eu le courage de le prendre, peut être que si mon moteur avait été l'argent je serais resté clair et vu qu'aucune photo n'est sortie j'aurai pu faire des vacances de luxe. Après toutes ces années, est ce que je regrette? Non, mais je me dis que la photo est un métier ou une passion si forte qu'il y a le reflexe de Pavlov à l'évènement Par contre l'oeil collé au viseur je suis resté à filmer un accident au moment ou il s'est produit, Le fait d'être déjà dans l'évènement a produit chez moi un détachement de l'évènement qui m'a permis de continuer à filmer tout en détaillant, et ça c'est surprenant, tout les petits détails qui normalement passent dans le viseur sans qu'on y fasse attention. Voilà à quoi cette photo m'a fait penser
Quand je vois cette photo , je me demande comment on peut faire.
Lorsque le Concorde s'est cassé la gueule j'étais à gonesse au volant
de la semi.
J'ai posé la semi au dépot et je suis monté voir avec le tracteur quel
était ce bruit et cette colonne de fumée.
Je suis arrivé au croisement de la 17 et j'ai vu cet amas de métal
aplati, je n'ai pas reconnu tout de suite le concorde.
Il y avait quelques voitures garées un gus qui essayait de faire la
circulation, des feuilles de papier qui s'élevaient avec la fumée
noire, et aussi dans cette fumée noire des boules rouges qui montaient
aussi.
Je pense que c'était les fusées de détresse, je n'ai pas vu avec toute
cette fumée qui pourtant montait droite que l'hotel avait pris feu.
Il faut dire que j'étais dans l'axe ou le concorde était entre moi et
l'hotel
J'étais assis au volant et comme tout accident d'avion aimant les
choses de l'air j'étais catastrophé.
L'appareil photo était à coté de moi, je n'ai pas eu le courage de le
prendre, peut être que si mon moteur avait été l'argent je serais resté
clair et vu qu'aucune photo n'est sortie j'aurai pu faire des vacances
de luxe.
Après toutes ces années, est ce que je regrette? Non, mais je me dis
que la photo est un métier ou une passion si forte qu'il y a le reflexe
de Pavlov à l'évènement
Par contre l'oeil collé au viseur je suis resté à filmer un accident au
moment ou il s'est produit, Le fait d'être déjà dans l'évènement a
produit chez moi un détachement de l'évènement qui m'a permis de
continuer à filmer tout en détaillant, et ça c'est surprenant, tout les
petits détails qui normalement passent dans le viseur sans qu'on y
fasse attention.
Quand je vois cette photo , je me demande comment on peut faire. Lorsque le Concorde s'est cassé la gueule j'étais à gonesse au volant de la semi. J'ai posé la semi au dépot et je suis monté voir avec le tracteur quel était ce bruit et cette colonne de fumée. Je suis arrivé au croisement de la 17 et j'ai vu cet amas de métal aplati, je n'ai pas reconnu tout de suite le concorde. Il y avait quelques voitures garées un gus qui essayait de faire la circulation, des feuilles de papier qui s'élevaient avec la fumée noire, et aussi dans cette fumée noire des boules rouges qui montaient aussi. Je pense que c'était les fusées de détresse, je n'ai pas vu avec toute cette fumée qui pourtant montait droite que l'hotel avait pris feu. Il faut dire que j'étais dans l'axe ou le concorde était entre moi et l'hotel J'étais assis au volant et comme tout accident d'avion aimant les choses de l'air j'étais catastrophé. L'appareil photo était à coté de moi, je n'ai pas eu le courage de le prendre, peut être que si mon moteur avait été l'argent je serais resté clair et vu qu'aucune photo n'est sortie j'aurai pu faire des vacances de luxe. Après toutes ces années, est ce que je regrette? Non, mais je me dis que la photo est un métier ou une passion si forte qu'il y a le reflexe de Pavlov à l'évènement Par contre l'oeil collé au viseur je suis resté à filmer un accident au moment ou il s'est produit, Le fait d'être déjà dans l'évènement a produit chez moi un détachement de l'évènement qui m'a permis de continuer à filmer tout en détaillant, et ça c'est surprenant, tout les petits détails qui normalement passent dans le viseur sans qu'on y fasse attention. Voilà à quoi cette photo m'a fait penser
Quand je vois cette photo , je me demande comment on peut faire. Lorsque le Concorde s'est cassé la gueule j'étais à gonesse au volant de la semi. J'ai posé la semi au dépot et je suis monté voir avec le tracteur quel était ce bruit et cette colonne de fumée. Je suis arrivé au croisement de la 17 et j'ai vu cet amas de métal aplati, je n'ai pas reconnu tout de suite le concorde. Il y avait quelques voitures garées un gus qui essayait de faire la circulation, des feuilles de papier qui s'élevaient avec la fumée noire, et aussi dans cette fumée noire des boules rouges qui montaient aussi. Je pense que c'était les fusées de détresse, je n'ai pas vu avec toute cette fumée qui pourtant montait droite que l'hotel avait pris feu. Il faut dire que j'étais dans l'axe ou le concorde était entre moi et l'hotel J'étais assis au volant et comme tout accident d'avion aimant les choses de l'air j'étais catastrophé. L'appareil photo était à coté de moi, je n'ai pas eu le courage de le prendre, peut être que si mon moteur avait été l'argent je serais resté clair et vu qu'aucune photo n'est sortie j'aurai pu faire des vacances de luxe. Après toutes ces années, est ce que je regrette? Non, mais je me dis que la photo est un métier ou une passion si forte qu'il y a le reflexe de Pavlov à l'évènement Par contre l'oeil collé au viseur je suis resté à filmer un accident au moment ou il s'est produit, Le fait d'être déjà dans l'évènement a produit chez moi un détachement de l'évènement qui m'a permis de continuer à filmer tout en détaillant, et ça c'est surprenant, tout les petits détails qui normalement passent dans le viseur sans qu'on y fasse attention. Voilà à quoi cette photo m'a fait penser
houla, je ne me pose pas tant de questions :-) en revanche le "tous journalistes" a la BFM me casse vraiment les couilles. et je ne parle pas de l'appli Périscope...
Quand je vois cette photo , je me demande comment on peut faire.
Lorsque le Concorde s'est cassé la gueule j'étais à gonesse au volant
de la semi.
J'ai posé la semi au dépot et je suis monté voir avec le tracteur quel
était ce bruit et cette colonne de fumée.
Je suis arrivé au croisement de la 17 et j'ai vu cet amas de métal
aplati, je n'ai pas reconnu tout de suite le concorde.
Il y avait quelques voitures garées un gus qui essayait de faire la
circulation, des feuilles de papier qui s'élevaient avec la fumée
noire, et aussi dans cette fumée noire des boules rouges qui montaient
aussi.
Je pense que c'était les fusées de détresse, je n'ai pas vu avec toute
cette fumée qui pourtant montait droite que l'hotel avait pris feu.
Il faut dire que j'étais dans l'axe ou le concorde était entre moi et
l'hotel
J'étais assis au volant et comme tout accident d'avion aimant les
choses de l'air j'étais catastrophé.
L'appareil photo était à coté de moi, je n'ai pas eu le courage de le
prendre, peut être que si mon moteur avait été l'argent je serais resté
clair et vu qu'aucune photo n'est sortie j'aurai pu faire des vacances
de luxe.
Après toutes ces années, est ce que je regrette? Non, mais je me dis
que la photo est un métier ou une passion si forte qu'il y a le reflexe
de Pavlov à l'évènement
Par contre l'oeil collé au viseur je suis resté à filmer un accident au
moment ou il s'est produit, Le fait d'être déjà dans l'évènement a
produit chez moi un détachement de l'évènement qui m'a permis de
continuer à filmer tout en détaillant, et ça c'est surprenant, tout les
petits détails qui normalement passent dans le viseur sans qu'on y
fasse attention.
Voilà à quoi cette photo m'a fait penser
houla, je ne me pose pas tant de questions :-)
en revanche le "tous journalistes" a la BFM me casse vraiment les
couilles.
et je ne parle pas de l'appli Périscope...
Quand je vois cette photo , je me demande comment on peut faire. Lorsque le Concorde s'est cassé la gueule j'étais à gonesse au volant de la semi. J'ai posé la semi au dépot et je suis monté voir avec le tracteur quel était ce bruit et cette colonne de fumée. Je suis arrivé au croisement de la 17 et j'ai vu cet amas de métal aplati, je n'ai pas reconnu tout de suite le concorde. Il y avait quelques voitures garées un gus qui essayait de faire la circulation, des feuilles de papier qui s'élevaient avec la fumée noire, et aussi dans cette fumée noire des boules rouges qui montaient aussi. Je pense que c'était les fusées de détresse, je n'ai pas vu avec toute cette fumée qui pourtant montait droite que l'hotel avait pris feu. Il faut dire que j'étais dans l'axe ou le concorde était entre moi et l'hotel J'étais assis au volant et comme tout accident d'avion aimant les choses de l'air j'étais catastrophé. L'appareil photo était à coté de moi, je n'ai pas eu le courage de le prendre, peut être que si mon moteur avait été l'argent je serais resté clair et vu qu'aucune photo n'est sortie j'aurai pu faire des vacances de luxe. Après toutes ces années, est ce que je regrette? Non, mais je me dis que la photo est un métier ou une passion si forte qu'il y a le reflexe de Pavlov à l'évènement Par contre l'oeil collé au viseur je suis resté à filmer un accident au moment ou il s'est produit, Le fait d'être déjà dans l'évènement a produit chez moi un détachement de l'évènement qui m'a permis de continuer à filmer tout en détaillant, et ça c'est surprenant, tout les petits détails qui normalement passent dans le viseur sans qu'on y fasse attention. Voilà à quoi cette photo m'a fait penser
houla, je ne me pose pas tant de questions :-) en revanche le "tous journalistes" a la BFM me casse vraiment les couilles. et je ne parle pas de l'appli Périscope...