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84comment puis-je résumer un texte?

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clarisse84
LA BATAILLE DES PHOTOCOPIES

L’utilisation de la photocopie et de la reprographie en général –
photocopie, microfilm ou microfiche – est aujourd’hui entrée dans les mœurs
au même titre que l’usage de distributeurs automatiques de boissons ou des
cabines téléphoniques. Entreprises, bibliothèques, centres de documentation
ou de recherches, établissements scolaires et universitaires, simples
particuliers, pratiquent d’une manière de plus en plus systématique la
reproduction d’écrits à des reproduction, leur simplicité accrue ainsi que
l’augmentation de la demande ont rendu ce geste quotidien anodin. Et pourtant
! Chaque utilisateur de photocopieur, dès lors qu’il reproduit la totalité
ou une partie d’un livre, d’une revue ou de n’importe quel ouvrage, contribue
– inconsciemment souvent – à mettre l’édition en péril. […]
Car c’est bien de pillage qu’il s’agit. Un pillage dont les responsables ne
sont pas toujours conscients ou qu’ils justifient en invoquant le prix des
livres et des revues, leur encombrement, la difficulté de se le procurer,
sans oublier le principe fourre-tout du libre accès de tous à la culture et
aux connaissances… Et puis, ajoutent-ils, pourquoi acheter un ouvrage entier
quand on n’a besoin que d’un chapitre ou de quelques pages de cet ouvrage ?
Autant d’arguments recevables, mais qui transforment bientôt les éditeurs en
mécènes involontaires.

2 réponses

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Anacoluthe
Bonjour !

Outils / Synthèse automatique : 5 %

de rien
au revoir

Anacoluthe
« La synthèse du monde peut se résumer en ces deux mots : oui et non. »
- Pierre DAC
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Knowledge
Bonjour,

Come stat oggi amigi miei?


Io sto bene ici agli stati uniti


On Thu, 9 Dec 2004 12:45:38 -0800, "clarisse84"
wrote:

LA BATAILLE DES PHOTOCOPIES

L’utilisation de la photocopie et de la reprographie en général –
photocopie, microfilm ou microfiche – est aujourd’hui entrée dans les mœurs
au même titre que l’usage de distributeurs automatiques de boissons ou des
cabines téléphoniques. Entreprises, bibliothèques, centres de documentation
ou de recherches, établissements scolaires et universitaires, simples
particuliers, pratiquent d’une manière de plus en plus systématique la
reproduction d’écrits à des reproduction, leur simplicité accrue ainsi que
l’augmentation de la demande ont rendu ce geste quotidien anodin. Et pourtant
! Chaque utilisateur de photocopieur, dès lors qu’il reproduit la totalité
ou une partie d’un livre, d’une revue ou de n’importe quel ouvrage, contribue
– inconsciemment souvent – à mettre l’édition en péril. […]
Car c’est bien de pillage qu’il s’agit. Un pillage dont les responsables ne
sont pas toujours conscients ou qu’ils justifient en invoquant le prix des
livres et des revues, leur encombrement, la difficulté de se le procurer,
sans oublier le principe fourre-tout du libre accès de tous à la culture et
aux connaissances… Et puis, ajoutent-ils, pourquoi acheter un ouvrage entier
quand on n’a besoin que d’un chapitre ou de quelques pages de cet ouvrage ?
Autant d’arguments recevables, mais qui transforment bientôt les éditeurs en
mécènes involontaires.