L’utilisation de la photocopie et de la reprographie en général –
photocopie, microfilm ou microfiche – est aujourd’hui entrée dans les mœurs
au même titre que l’usage de distributeurs automatiques de boissons ou des
cabines téléphoniques. Entreprises, bibliothèques, centres de documentation
ou de recherches, établissements scolaires et universitaires, simples
particuliers, pratiquent d’une manière de plus en plus systématique la
reproduction d’écrits à des reproduction, leur simplicité accrue ainsi que
l’augmentation de la demande ont rendu ce geste quotidien anodin. Et pourtant
! Chaque utilisateur de photocopieur, dès lors qu’il reproduit la totalité
ou une partie d’un livre, d’une revue ou de n’importe quel ouvrage, contribue
– inconsciemment souvent – à mettre l’édition en péril. […]
Car c’est bien de pillage qu’il s’agit. Un pillage dont les responsables ne
sont pas toujours conscients ou qu’ils justifient en invoquant le prix des
livres et des revues, leur encombrement, la difficulté de se le procurer,
sans oublier le principe fourre-tout du libre accès de tous à la culture et
aux connaissances… Et puis, ajoutent-ils, pourquoi acheter un ouvrage entier
quand on n’a besoin que d’un chapitre ou de quelques pages de cet ouvrage ?
Autant d’arguments recevables, mais qui transforment bientôt les éditeurs en
mécènes involontaires.
Anacoluthe « La synthèse du monde peut se résumer en ces deux mots : oui et non. » - Pierre DAC
Knowledge
Bonjour,
Come stat oggi amigi miei?
Io sto bene ici agli stati uniti
On Thu, 9 Dec 2004 12:45:38 -0800, "clarisse84" wrote:
LA BATAILLE DES PHOTOCOPIES
Lutilisation de la photocopie et de la reprographie en général photocopie, microfilm ou microfiche est aujourdhui entrée dans les murs au même titre que lusage de distributeurs automatiques de boissons ou des cabines téléphoniques. Entreprises, bibliothèques, centres de documentation ou de recherches, établissements scolaires et universitaires, simples particuliers, pratiquent dune manière de plus en plus systématique la reproduction décrits à des reproduction, leur simplicité accrue ainsi que laugmentation de la demande ont rendu ce geste quotidien anodin. Et pourtant ! Chaque utilisateur de photocopieur, dès lors quil reproduit la totalité ou une partie dun livre, dune revue ou de nimporte quel ouvrage, contribue inconsciemment souvent à mettre lédition en péril. [ ] Car cest bien de pillage quil sagit. Un pillage dont les responsables ne sont pas toujours conscients ou quils justifient en invoquant le prix des livres et des revues, leur encombrement, la difficulté de se le procurer, sans oublier le principe fourre-tout du libre accès de tous à la culture et aux connaissances Et puis, ajoutent-ils, pourquoi acheter un ouvrage entier quand on na besoin que dun chapitre ou de quelques pages de cet ouvrage ? Autant darguments recevables, mais qui transforment bientôt les éditeurs en mécènes involontaires.
Bonjour,
Come stat oggi amigi miei?
Io sto bene ici agli stati uniti
On Thu, 9 Dec 2004 12:45:38 -0800, "clarisse84"
<clarisse84@discussions.microsoft.com> wrote:
LA BATAILLE DES PHOTOCOPIES
Lutilisation de la photocopie et de la reprographie en général
photocopie, microfilm ou microfiche est aujourdhui entrée dans les murs
au même titre que lusage de distributeurs automatiques de boissons ou des
cabines téléphoniques. Entreprises, bibliothèques, centres de documentation
ou de recherches, établissements scolaires et universitaires, simples
particuliers, pratiquent dune manière de plus en plus systématique la
reproduction décrits à des reproduction, leur simplicité accrue ainsi que
laugmentation de la demande ont rendu ce geste quotidien anodin. Et pourtant
! Chaque utilisateur de photocopieur, dès lors quil reproduit la totalité
ou une partie dun livre, dune revue ou de nimporte quel ouvrage, contribue
inconsciemment souvent à mettre lédition en péril. [ ]
Car cest bien de pillage quil sagit. Un pillage dont les responsables ne
sont pas toujours conscients ou quils justifient en invoquant le prix des
livres et des revues, leur encombrement, la difficulté de se le procurer,
sans oublier le principe fourre-tout du libre accès de tous à la culture et
aux connaissances Et puis, ajoutent-ils, pourquoi acheter un ouvrage entier
quand on na besoin que dun chapitre ou de quelques pages de cet ouvrage ?
Autant darguments recevables, mais qui transforment bientôt les éditeurs en
mécènes involontaires.
On Thu, 9 Dec 2004 12:45:38 -0800, "clarisse84" wrote:
LA BATAILLE DES PHOTOCOPIES
Lutilisation de la photocopie et de la reprographie en général photocopie, microfilm ou microfiche est aujourdhui entrée dans les murs au même titre que lusage de distributeurs automatiques de boissons ou des cabines téléphoniques. Entreprises, bibliothèques, centres de documentation ou de recherches, établissements scolaires et universitaires, simples particuliers, pratiquent dune manière de plus en plus systématique la reproduction décrits à des reproduction, leur simplicité accrue ainsi que laugmentation de la demande ont rendu ce geste quotidien anodin. Et pourtant ! Chaque utilisateur de photocopieur, dès lors quil reproduit la totalité ou une partie dun livre, dune revue ou de nimporte quel ouvrage, contribue inconsciemment souvent à mettre lédition en péril. [ ] Car cest bien de pillage quil sagit. Un pillage dont les responsables ne sont pas toujours conscients ou quils justifient en invoquant le prix des livres et des revues, leur encombrement, la difficulté de se le procurer, sans oublier le principe fourre-tout du libre accès de tous à la culture et aux connaissances Et puis, ajoutent-ils, pourquoi acheter un ouvrage entier quand on na besoin que dun chapitre ou de quelques pages de cet ouvrage ? Autant darguments recevables, mais qui transforment bientôt les éditeurs en mécènes involontaires.