Accident de voiture. Victime d'un refus de priorité et déclaré responsable par mon assureur (3). Fin.
12 réponses
Winston Smith
Bonjour,
J'avais parlé ici de ce problème avec la MAAF en 2009. D'abord elle m'avait déclaré responsable alors que j'étais la victime.
Ensuite les délais étaient si longs pour obtenir une indemnisation que j'ai cru que j'allais mourir avant qu'ils finissent par me
rendre de l'argent.
Ils ont fini par payer, un peu, mais il aura fallu l'appui de la LDDA (http://ldda.net) qui a du solliciter plusieurs fois
l'autorité de contrôle des assurances.
La cloture de mon dossier s'est donc faite 254 jours après l'accident. Ca me dégoute de payer des gens qui travaillent comme ça.
Le récapitulatif se trouve ici:
http://deepanger.free.fr/maaf/
Croyez vous qu'ils payent spontanément ces indemnités d'habitude (nouvelle carte grise, privation de jouissance) ?
Ou faut il toujours faire un recours ("amiable" comme avec la LDDA ou en justice) pour les obtenir ?
Petit bilan financier:
Avant le 4 aout 2009 j'avais un véhicule de 9 ans parfaitement entretenu que j'aurais pu garder encore de nombreuses années.
Évaluation (très défavorable) de sa valeur après l'accident : environ +3000 euros.
Autres indemnités : environ +1000 euros
Prix d'un véhicule neuf équivalent à l'ancien : environ -15000 euros
Deux années d'adhésion à la LDDA : -150 euros
Conclusion: j'aurais préféré ne pas avoir d'accident (et ne pas être assuré à la MAAF).
Si vous connaissez une bonne assurance (et aussi une banque qui ne serait pas dirigée pas des escrocs) n'hésitez pas à répondre.
Ceci dit, il n'en demeure pas moins que la notion de compensation que vous évoquez reste totalement fondée.
Au niveau de la masse et de la statistique, oui. Reste que, dans votre cas particulier de client sinistré, quels que soient vos torts vous êtes financièrement à la charge de votre propre assurance; qui a toujours intérêt, sur chaque cas particulier, à maximiser les torts ou le pourcentage de responsabilité de ses propres clients. Dans les limites des plafonds que vous dites.
-- jr
Claude BRUN a écrit :
Ceci dit, il n'en demeure pas moins que la notion de compensation que
vous évoquez reste totalement fondée.
Au niveau de la masse et de la statistique, oui. Reste que, dans votre
cas particulier de client sinistré, quels que soient vos torts vous êtes
financièrement à la charge de votre propre assurance; qui a toujours
intérêt, sur chaque cas particulier, à maximiser les torts ou le
pourcentage de responsabilité de ses propres clients. Dans les limites
des plafonds que vous dites.
Ceci dit, il n'en demeure pas moins que la notion de compensation que vous évoquez reste totalement fondée.
Au niveau de la masse et de la statistique, oui. Reste que, dans votre cas particulier de client sinistré, quels que soient vos torts vous êtes financièrement à la charge de votre propre assurance; qui a toujours intérêt, sur chaque cas particulier, à maximiser les torts ou le pourcentage de responsabilité de ses propres clients. Dans les limites des plafonds que vous dites.
-- jr
Claude BRUN
Le 28/04/10 21:56, jr a écrit :
Claude BRUN a écrit :
Ceci dit, il n'en demeure pas moins que la notion de compensation que vous évoquez reste totalement fondée.
Au niveau de la masse et de la statistique, oui. Reste que, dans votre cas particulier de client sinistré, quels que soient vos torts vous êtes financièrement à la charge de votre propre assurance; qui a toujours intérêt, sur chaque cas particulier, à maximiser les torts ou le pourcentage de responsabilité de ses propres clients. Dans les limites des plafonds que vous dites.
Bonjour,
Je ne crois que l'assureur ait intérêt à "maximiser" les torts de son client... Car dans ce cas, il est certain de devoir verser à l'assureur adverse, l'intégralité du forfait sans rien recevoir en échange...
Il préfère, de beaucoup je crois, avoir un client non responsable avec un coût des réparations de 500€ et un recours forfaitaire de 1204€...
CBrun
Le 28/04/10 21:56, jr a écrit :
Claude BRUN a écrit :
Ceci dit, il n'en demeure pas moins que la notion de compensation que
vous évoquez reste totalement fondée.
Au niveau de la masse et de la statistique, oui. Reste que, dans votre
cas particulier de client sinistré, quels que soient vos torts vous êtes
financièrement à la charge de votre propre assurance; qui a toujours
intérêt, sur chaque cas particulier, à maximiser les torts ou le
pourcentage de responsabilité de ses propres clients. Dans les limites
des plafonds que vous dites.
Bonjour,
Je ne crois que l'assureur ait intérêt à "maximiser" les torts de son
client... Car dans ce cas, il est certain de devoir verser à l'assureur
adverse, l'intégralité du forfait sans rien recevoir en échange...
Il préfère, de beaucoup je crois, avoir un client non responsable avec
un coût des réparations de 500€ et un recours forfaitaire de 1204€...
Ceci dit, il n'en demeure pas moins que la notion de compensation que vous évoquez reste totalement fondée.
Au niveau de la masse et de la statistique, oui. Reste que, dans votre cas particulier de client sinistré, quels que soient vos torts vous êtes financièrement à la charge de votre propre assurance; qui a toujours intérêt, sur chaque cas particulier, à maximiser les torts ou le pourcentage de responsabilité de ses propres clients. Dans les limites des plafonds que vous dites.
Bonjour,
Je ne crois que l'assureur ait intérêt à "maximiser" les torts de son client... Car dans ce cas, il est certain de devoir verser à l'assureur adverse, l'intégralité du forfait sans rien recevoir en échange...
Il préfère, de beaucoup je crois, avoir un client non responsable avec un coût des réparations de 500€ et un recours forfaitaire de 1204€...