Accoustimass 10

Franck T

28/11/2006 à 19:30

"F4CQA" a écrit dans le message de news:
456c731d$0$21919$

Bonjour,

Je prevois d'acheter un ensemble 5.1 accoustimass 10 de chez Bose aux
Etats Unis (50% moins cher qu'en europe).
J'aurai voulu savoir si l'alimentation electrique du caisson etait prevus
pour fonctionner de 110 volts à 240 Volts.

Merci

Bonjour ,

oh, la,la vous allez vous faire engu... de parler de Bose ici ;-)

Je crois, à vérifier.. ce que je vous laisserai faire quand même,
qu'il y a deux versions l'une à 110-127 pour le nouveau monde,
l'autre à 220-240 pour l'europe/australie, mais pas de modèle bi-tension ou
"univesel".
Donc méfiance... A moins de ne pouvoit trouver aux US un
modèle pour l'export ?
Dans le pire des cas un transfo abaisseur, de puissance
convenable ( verifiez la consommation de l'appareil )
pourra résoudre le problème. On en trouve à des prix modiques
en tout cas bien inférieur à la difference de prix US/Europe.

Au fait, vous allez le ramener dans vos bagages ?
Attention à la douane.. ;-)

Cordialement

Franck

Pierre Maurette

28/11/2006 à 19:39

F4CQA, le 28/11/2006 a écrit :

Bonjour,

Je prevois d'acheter un ensemble 5.1 accoustimass 10 de chez Bose aux Etats
Unis

Victor HUGO La légende des siècles

Booz endormi

Booz s'était couché de fatigue accablé ;
Il avait tout le jour travaillé dans son aire ;
Puis avait fait son lit à sa place ordinaire ;
Booz dormait auprès des boisseaux pleins de blé.

Ce vieillard possédait des champs de blés et d'orge ;
Il était, quoique riche, à la justice enclin ;
Il n'avait pas de fange en l'eau de son moulin ;
Il n'avait pas d'enfer dans le feu de sa forge.

Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril.
Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ;
Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse :
- Laissez tomber exprès des épis, disait-il.

Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques,
Vêtu de probité candide et de lin blanc ;
Et, toujours du côté des pauvres ruisselant,
Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques.

Booz était bon maître et fidèle parent ;
Il était généreux, quoiqu'il fût économe ;
Les femmes regardaient Booz plus qu'un jeune homme,
Car le jeune homme est beau, mais le vieillard est grand.

Le vieillard, qui revient vers la source première,
Entre aux jours éternels et sort des jours changeants ;
Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens,
Mais dans l'oeil du vieillard on voit de la lumière.

Donc, Booz dans la nuit dormait parmi les siens ;
Près des meules, qu'on eût prises pour des décombres,
Les moissonneurs couchés faisaient des groupes sombres ;
Et ceci se passait dans des temps très anciens.

Les tribus d'Israël avaient pour chef un juge ;
La terre, où l'homme errait sous la tente, inquiet
Des empreintes de pieds de géants qu'il voyait,
Etait mouillée encore et molle du déluge.

Comme dormait Jacob, comme dormait Judith,
Booz, les yeux fermés, gisait sous la feuillée ;
Or, la porte du ciel s'étant entre-bâillée
Au-dessus de sa tête, un songe en descendit.

Et ce songe était tel, que Booz vit un chêne
Qui, sorti de son ventre, allait jusqu'au ciel bleu ;
Une race y montait comme une longue chaîne ;
Un roi chantait en bas, en haut mourait un dieu.

Et Booz murmurait avec la voix de l'âme :
" Comment se pourrait-il que de moi ceci vînt ?
Le chiffre de mes ans a passé quatre-vingt,
Et je n'ai pas de fils, et je n'ai plus de femme.

" Voilà longtemps que celle avec qui j'ai dormi,
O Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ;
Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre,
Elle à demi vivante et moi mort à demi.

" Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ?
Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ?
Quand on est jeune, on a des matins triomphants ;
Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ;

Mais vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau ;
Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe,
Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,
Comme un boeuf ayant soif penche son front vers l'eau. "

Ainsi parlait Booz dans le rêve et l'extase,
Tournant vers Dieu ses yeux par le sommeil noyés ;
Le cèdre ne sent pas une rose à sa base,
Et lui ne sentait pas une femme à ses pieds.

Pendant qu'il sommeillait, Ruth, une moabite,
S'était couchée aux pieds de Booz, le sein nu,
Espérant on ne sait quel rayon inconnu,
Quand viendrait du réveil la lumière subite.

Booz ne savait point qu'une femme était là,
Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle.
Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ;
Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.

L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ;
Les anges y volaient sans doute obscurément,
Car on voyait passer dans la nuit, par moment,
Quelque chose de bleu qui paraissait une aile.

La respiration de Booz qui dormait
Se mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse.
On était dans le mois où la nature est douce,
Les collines ayant des lys sur leur sommet.

Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire ;
Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement ;
Une immense bonté tombait du firmament ;
C'était l'heure tranquille où les lions vont boire.

Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ;
Les astres émaillaient le ciel profond et sombre ;
Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre
Brillait à l'occident, et Ruth se demandait,

Immobile, ouvrant l'oeil à moitié sous ses voiles,
Quel dieu, quel moissonneur de l'éternel été,
Avait, en s'en allant, négligemment jeté
Cette faucille d'or dans le champ des étoiles.

--
Pierre Maurette

F4CQA, le 28/11/2006 a écrit :

Bonjour,

Je prevois d'acheter un ensemble 5.1 accoustimass 10 de chez Bose aux Etats
Unis

Victor HUGO La légende des siècles

Booz endormi

Booz s'était couché de fatigue accablé ;
Il avait tout le jour travaillé dans son aire ;
Puis avait fait son lit à sa place ordinaire ;
Booz dormait auprès des boisseaux pleins de blé.

Ce vieillard possédait des champs de blés et d'orge ;
Il était, quoique riche, à la justice enclin ;
Il n'avait pas de fange en l'eau de son moulin ;
Il n'avait pas d'enfer dans le feu de sa forge.

Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril.
Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ;
Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse :
- Laissez tomber exprès des épis, disait-il.

Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques,
Vêtu de probité candide et de lin blanc ;
Et, toujours du côté des pauvres ruisselant,
Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques.

Booz était bon maître et fidèle parent ;
Il était généreux, quoiqu'il fût économe ;
Les femmes regardaient Booz plus qu'un jeune homme,
Car le jeune homme est beau, mais le vieillard est grand.

Le vieillard, qui revient vers la source première,
Entre aux jours éternels et sort des jours changeants ;
Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens,
Mais dans l'oeil du vieillard on voit de la lumière.

Donc, Booz dans la nuit dormait parmi les siens ;
Près des meules, qu'on eût prises pour des décombres,
Les moissonneurs couchés faisaient des groupes sombres ;
Et ceci se passait dans des temps très anciens.

Les tribus d'Israël avaient pour chef un juge ;
La terre, où l'homme errait sous la tente, inquiet
Des empreintes de pieds de géants qu'il voyait,
Etait mouillée encore et molle du déluge.

Comme dormait Jacob, comme dormait Judith,
Booz, les yeux fermés, gisait sous la feuillée ;
Or, la porte du ciel s'étant entre-bâillée
Au-dessus de sa tête, un songe en descendit.

Et ce songe était tel, que Booz vit un chêne
Qui, sorti de son ventre, allait jusqu'au ciel bleu ;
Une race y montait comme une longue chaîne ;
Un roi chantait en bas, en haut mourait un dieu.

Et Booz murmurait avec la voix de l'âme :
" Comment se pourrait-il que de moi ceci vînt ?
Le chiffre de mes ans a passé quatre-vingt,
Et je n'ai pas de fils, et je n'ai plus de femme.

" Voilà longtemps que celle avec qui j'ai dormi,
O Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ;
Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre,
Elle à demi vivante et moi mort à demi.

" Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ?
Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ?
Quand on est jeune, on a des matins triomphants ;
Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ;

Mais vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau ;
Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe,
Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,
Comme un boeuf ayant soif penche son front vers l'eau. "

Ainsi parlait Booz dans le rêve et l'extase,
Tournant vers Dieu ses yeux par le sommeil noyés ;
Le cèdre ne sent pas une rose à sa base,
Et lui ne sentait pas une femme à ses pieds.

Pendant qu'il sommeillait, Ruth, une moabite,
S'était couchée aux pieds de Booz, le sein nu,
Espérant on ne sait quel rayon inconnu,
Quand viendrait du réveil la lumière subite.

Booz ne savait point qu'une femme était là,
Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle.
Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ;
Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.

L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ;
Les anges y volaient sans doute obscurément,
Car on voyait passer dans la nuit, par moment,
Quelque chose de bleu qui paraissait une aile.

La respiration de Booz qui dormait
Se mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse.
On était dans le mois où la nature est douce,
Les collines ayant des lys sur leur sommet.

Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire ;
Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement ;
Une immense bonté tombait du firmament ;
C'était l'heure tranquille où les lions vont boire.

Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ;
Les astres émaillaient le ciel profond et sombre ;
Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre
Brillait à l'occident, et Ruth se demandait,

Immobile, ouvrant l'oeil à moitié sous ses voiles,
Quel dieu, quel moissonneur de l'éternel été,
Avait, en s'en allant, négligemment jeté
Cette faucille d'or dans le champ des étoiles.

--
Pierre Maurette

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F4CQA, le 28/11/2006 a écrit :

Bonjour,

Je prevois d'acheter un ensemble 5.1 accoustimass 10 de chez Bose aux Etats
Unis

Victor HUGO La légende des siècles

Booz endormi

Booz s'était couché de fatigue accablé ;
Il avait tout le jour travaillé dans son aire ;
Puis avait fait son lit à sa place ordinaire ;
Booz dormait auprès des boisseaux pleins de blé.

Ce vieillard possédait des champs de blés et d'orge ;
Il était, quoique riche, à la justice enclin ;
Il n'avait pas de fange en l'eau de son moulin ;
Il n'avait pas d'enfer dans le feu de sa forge.

Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril.
Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ;
Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse :
- Laissez tomber exprès des épis, disait-il.

Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques,
Vêtu de probité candide et de lin blanc ;
Et, toujours du côté des pauvres ruisselant,
Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques.

Booz était bon maître et fidèle parent ;
Il était généreux, quoiqu'il fût économe ;
Les femmes regardaient Booz plus qu'un jeune homme,
Car le jeune homme est beau, mais le vieillard est grand.

Le vieillard, qui revient vers la source première,
Entre aux jours éternels et sort des jours changeants ;
Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens,
Mais dans l'oeil du vieillard on voit de la lumière.

Donc, Booz dans la nuit dormait parmi les siens ;
Près des meules, qu'on eût prises pour des décombres,
Les moissonneurs couchés faisaient des groupes sombres ;
Et ceci se passait dans des temps très anciens.

Les tribus d'Israël avaient pour chef un juge ;
La terre, où l'homme errait sous la tente, inquiet
Des empreintes de pieds de géants qu'il voyait,
Etait mouillée encore et molle du déluge.

Comme dormait Jacob, comme dormait Judith,
Booz, les yeux fermés, gisait sous la feuillée ;
Or, la porte du ciel s'étant entre-bâillée
Au-dessus de sa tête, un songe en descendit.

Et ce songe était tel, que Booz vit un chêne
Qui, sorti de son ventre, allait jusqu'au ciel bleu ;
Une race y montait comme une longue chaîne ;
Un roi chantait en bas, en haut mourait un dieu.

Et Booz murmurait avec la voix de l'âme :
" Comment se pourrait-il que de moi ceci vînt ?
Le chiffre de mes ans a passé quatre-vingt,
Et je n'ai pas de fils, et je n'ai plus de femme.

" Voilà longtemps que celle avec qui j'ai dormi,
O Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ;
Et nous sommes encor tout mêlés l'un à l'autre,
Elle à demi vivante et moi mort à demi.

" Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ?
Comment se pourrait-il que j'eusse des enfants ?
Quand on est jeune, on a des matins triomphants ;
Le jour sort de la nuit comme d'une victoire ;

Mais vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau ;
Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe,
Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,
Comme un boeuf ayant soif penche son front vers l'eau. "

Ainsi parlait Booz dans le rêve et l'extase,
Tournant vers Dieu ses yeux par le sommeil noyés ;
Le cèdre ne sent pas une rose à sa base,
Et lui ne sentait pas une femme à ses pieds.

Pendant qu'il sommeillait, Ruth, une moabite,
S'était couchée aux pieds de Booz, le sein nu,
Espérant on ne sait quel rayon inconnu,
Quand viendrait du réveil la lumière subite.

Booz ne savait point qu'une femme était là,
Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle.
Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ;
Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.

L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ;
Les anges y volaient sans doute obscurément,
Car on voyait passer dans la nuit, par moment,
Quelque chose de bleu qui paraissait une aile.

La respiration de Booz qui dormait
Se mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse.
On était dans le mois où la nature est douce,
Les collines ayant des lys sur leur sommet.

Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire ;
Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement ;
Une immense bonté tombait du firmament ;
C'était l'heure tranquille où les lions vont boire.

Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ;
Les astres émaillaient le ciel profond et sombre ;
Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre
Brillait à l'occident, et Ruth se demandait,

Immobile, ouvrant l'oeil à moitié sous ses voiles,
Quel dieu, quel moissonneur de l'éternel été,
Avait, en s'en allant, négligemment jeté
Cette faucille d'or dans le champ des étoiles.

--
Pierre Maurette

Franck T

28/11/2006 à 21:29

"Pierre Maurette" a écrit dans le message de
news:

F4CQA, le 28/11/2006 a écrit :
Bonjour,

Je prevois d'acheter un ensemble 5.1 accoustimass 10 de chez Bose aux
Etats Unis

Victor HUGO La légende des siècles

Booz endormi

;-)
Merci pour cet instant de poesie...
Bon, ceci dit je trouve Hugo un brin pesant.

Sois sage, Ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir; il descend; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix , aux autres le souci.

Pendant que des mortels, la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma Douleur, donne-moi la main; viens par ici,

Loin d' eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant;

Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul trainant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche

Charles Baudelaire
Recueillement

Bon, aucun rapport avec la Choucroute...
Bonne nuit, merci encore.

Franck

Tommy Lobo

29/11/2006 à 09:22

"Franck T" a écrit dans le message de news:
456c9c18$0$28890$

"Pierre Maurette" a écrit dans le message de
news:
F4CQA, le 28/11/2006 a écrit :
Bonjour,

Je prevois d'acheter un ensemble 5.1 accoustimass 10 de chez Bose aux
Etats Unis

Victor HUGO La légende des siècles

Booz endormi

;-)
Merci pour cet instant de poesie...
Bon, ceci dit je trouve Hugo un brin pesant.

Sois sage, Ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir; il descend; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix , aux autres le souci.

Pendant que des mortels, la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma Douleur, donne-moi la main; viens par ici,

Loin d' eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant;

Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul trainant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche

Charles Baudelaire
Recueillement

Bon, aucun rapport avec la Choucroute...
Bonne nuit, merci encore.

Franck

Monseigneur le Duc
Trouduc
A du c
oucher sous l'acqueduc

Alexandre-Benoït Bérurier

(celui qui me trouve dans quel San Antonio on trouve ce "poême" de Béru
gagne toute ma considération)

Tommy Lobo

marc_aurele

29/11/2006 à 20:43

F4CQA a écrit :

Bonjour,

Je prevois d'acheter un ensemble 5.1 accoustimass 10 de chez Bose aux Etats
Unis (50% moins cher qu'en europe).
J'aurai voulu savoir si l'alimentation electrique du caisson etait prevus
pour fonctionner de 110 volts à 240 Volts.

Merci

actuellement en vente sur ebay acoutismass 10 série 3 500euros

marc

F4CQA

30/11/2006 à 19:27

Bonjour à Tous,

Merci pour toutes vos reponses.
Mais pourquoi me ferais-je engu.... lorsque je parle de Bose ?
Je prefere avoir plusieurs avis avant d'acheter !
Mais peut etre que je me trompe sur la marchandise....
Est-ce une reputation commerciale ?
Je ne suis pas du tout expert dans le domaine, mais je ne voudrais pas non
plus depenser trop cher pour obtenir quelquechose de correct.

Merci de vos reponses

"Franck T" a écrit dans le message de news:
456c805f$0$20381$

"F4CQA" a écrit dans le message de news:
456c731d$0$21919$
Bonjour,

Je prevois d'acheter un ensemble 5.1 accoustimass 10 de chez Bose aux
Etats Unis (50% moins cher qu'en europe).
J'aurai voulu savoir si l'alimentation electrique du caisson etait prevus
pour fonctionner de 110 volts à 240 Volts.

Merci

Bonjour ,

oh, la,la vous allez vous faire engu... de parler de Bose ici ;-)

Je crois, à vérifier.. ce que je vous laisserai faire quand même,
qu'il y a deux versions l'une à 110-127 pour le nouveau monde,
l'autre à 220-240 pour l'europe/australie, mais pas de modèle bi-tension
ou "univesel".
Donc méfiance... A moins de ne pouvoit trouver aux US un
modèle pour l'export ?
Dans le pire des cas un transfo abaisseur, de puissance
convenable ( verifiez la consommation de l'appareil )
pourra résoudre le problème. On en trouve à des prix modiques
en tout cas bien inférieur à la difference de prix US/Europe.

Au fait, vous allez le ramener dans vos bagages ?
Attention à la douane.. ;-)

Cordialement

Franck

IDFP

30/11/2006 à 20:03

F4CQA a écrit :

Bonjour à Tous,

Merci pour toutes vos reponses.
Mais pourquoi me ferais-je engu.... lorsque je parle de Bose ?
Je prefere avoir plusieurs avis avant d'acheter !
Mais peut etre que je me trompe sur la marchandise....
Est-ce une reputation commerciale ?
Je ne suis pas du tout expert dans le domaine, mais je ne voudrais pas non
plus depenser trop cher pour obtenir quelquechose de correct.

Merci de vos reponses

Bonsoir,

Après c'est fonction de ce que tu souhaites faire, mais j'aurai tendance
à dire qu'avec Bose, c'est toujours trop cher. Un peu comme bangeofulsen
(ortho à revoir :-))) ) tu payes le design ou la miniaturisation.

Mais je ne connais pas non plus la totalité des modèles de bose.

cela dit, on est loin des prix délirants pour une paire d'enceintes à
tuyère :-)))

IDFP

F4CQA

30/11/2006 à 20:58

Re,

Je recherche surtout un ensemble Home Cinema (uniquement enceintes), pour un
prix inferieur à 1000 euros.
Je ne suis pas fixé sur une marque precise.
Je voudrais simplement que l'equilibre soit a peut pres respecté entre les
graves/mediums/aigus avec un ampli DENON (AVR1906).

Christophe

"IDFP" a écrit dans le message de news:
456f29a2$0$5084$

F4CQA a écrit :
Bonjour à Tous,

Merci pour toutes vos reponses.
Mais pourquoi me ferais-je engu.... lorsque je parle de Bose ?
Je prefere avoir plusieurs avis avant d'acheter !
Mais peut etre que je me trompe sur la marchandise....
Est-ce une reputation commerciale ?
Je ne suis pas du tout expert dans le domaine, mais je ne voudrais pas
non plus depenser trop cher pour obtenir quelquechose de correct.

Merci de vos reponses

Bonsoir,

Après c'est fonction de ce que tu souhaites faire, mais j'aurai tendance à
dire qu'avec Bose, c'est toujours trop cher. Un peu comme bangeofulsen
(ortho à revoir :-))) ) tu payes le design ou la miniaturisation.

Mais je ne connais pas non plus la totalité des modèles de bose.

cela dit, on est loin des prix délirants pour une paire d'enceintes à
tuyère :-)))

IDFP

Franck T

30/11/2006 à 22:32

"F4CQA" a écrit dans le message de news:
456f228d$0$32606$

Bonjour à Tous,

Merci pour toutes vos reponses.
Mais pourquoi me ferais-je engu.... lorsque je parle de Bose ?

Bonsoir,
c'etait juste un clin d'oeil... car j' avais cru saisir que
cette marque etait assez controversée et en faisaient frémir
certains !

Grace à un marketing efficace sans doute profitent-ils
un peu de leur réputation pour entretenir des prix
non justifiés ?

( Pourtant j'ai un vieil Accoustimass , acheté en 1988,
ce devait etre la première génération... Mon critère
avait été l'encombrement d'abord - petite chambre...-
et ce sytème caisson+satellites, peu répandu à l'époque,
faisait bien l' affaire dans mon cas même si le résultat
laissait à désirer, avec notamment un gros creux
et du fouillis dans le medium. Maintenant que je l'écoute
avec d'autres enceintes en comparaison c'est encore plus flagrant... )

Je n'ai pas la moindre idée de l'évolution de leur production
et serai donc en mal de vous donner le moindre avis pertinent,
désolé.
Si vous avez eu l'occasion d' écouter et que cela vous plait,
c'est l'essentiel , allez y, surtout à prix réduit.
Si ce n'est guidé que par une "réputation", soyez plus mefiants
et ne vous précipitez pas.
Avez vous tenté sur le forum voisin home-cinema d' avoir
des avis sur d'autres ensembles similaires ?

Cordialement

Franck

Franck T

01/12/2006 à 13:35

>
Je recherche surtout un ensemble Home Cinema (uniquement enceintes), pour
un prix inferieur à 1000 euros.
Je ne suis pas fixé sur une marque precise.
Je voudrais simplement que l'equilibre soit a peut pres respecté entre les
graves/mediums/aigus avec un ampli DENON (AVR1906).

Christophe

Re-bonjour ,

vous n'avez pas précisé si vous cherchiez un ensemble
compact avec petits "satellites" du genre de l'accoustimass,
ou si de "vraies" enceintes un peu plus encombrantes pourraient
faire l'affaire ?

Si la place n'est pas trop un problème, vous pourriez vous orientez
vers un pack comme le Wharfedale Crystal que l'on doit pouvoir
trouver à 4/500 euros, ce qui vous laisse de la marge pour rajouter un sub ?
Dans la même marque il y a aussi la série diamond 9 , sans doute
plus onéreuse.
Je ne connais pas cette série mais la série diamond 8 ( épuisée ? )
qui etait amha d'un bon rapport qualité/prix.
( C'est du british made in china... )

Cordialement

Franck

Accoustimass 10

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