Bonjour,
J'habite une ville moyenne siège de plusieurs centraux téléphoniques. Je
voudrais savoir si, quand deux abonnés raccordés au même central
communiquent, la voie empruntée par leurs paroles passe par d'autres
centraux ou si elle ne passe que par ce central commun. Peut-être y
a-t-il plusieurs réponses ? Merci.
Bonjour,
J'habite une ville moyenne siège de plusieurs centraux téléphoniques. Je
voudrais savoir si, quand deux abonnés raccordés au même central
communiquent, la voie empruntée par leurs paroles passe par d'autres
centraux ou si elle ne passe que par ce central commun. Peut-être y
a-t-il plusieurs réponses ? Merci.
Bonjour,
J'habite une ville moyenne siège de plusieurs centraux téléphoniques. Je
voudrais savoir si, quand deux abonnés raccordés au même central
communiquent, la voie empruntée par leurs paroles passe par d'autres
centraux ou si elle ne passe que par ce central commun. Peut-être y
a-t-il plusieurs réponses ? Merci.
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
Bonjour,
J'habite une ville moyenne siège de plusieurs centraux téléphoniques. Je
voudrais savoir si, quand deux abonnés raccordés au même central
communiquent, la voie empruntée par leurs paroles passe par d'autres
centraux ou si elle ne passe que par ce central commun. Peut-être y
a-t-il plusieurs réponses ? Merci.
Bonjour,
J'habite une ville moyenne siège de plusieurs centraux téléphoniques. Je
voudrais savoir si, quand deux abonnés raccordés au même central
communiquent, la voie empruntée par leurs paroles passe par d'autres
centraux ou si elle ne passe que par ce central commun. Peut-être y
a-t-il plusieurs réponses ? Merci.
Bonjour,
J'habite une ville moyenne siège de plusieurs centraux téléphoniques. Je
voudrais savoir si, quand deux abonnés raccordés au même central
communiquent, la voie empruntée par leurs paroles passe par d'autres
centraux ou si elle ne passe que par ce central commun. Peut-être y
a-t-il plusieurs réponses ? Merci.
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
Le 20/02/2013 17:52, Didier a écrit :
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
>
Quel % du réseau de FT est encore sans softswitch ?
Dans la terminologie FT, je ne sais pas comment cela s'appelle, mais je
parle de ca:
http://en.wikipedia.org/wiki/Softswitch
Le 20/02/2013 17:52, Didier a écrit :
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
>
Quel % du réseau de FT est encore sans softswitch ?
Dans la terminologie FT, je ne sais pas comment cela s'appelle, mais je
parle de ca:
http://en.wikipedia.org/wiki/Softswitch
Le 20/02/2013 17:52, Didier a écrit :
Je ne suis pas sûr d'être très clair, n'hésite pas à poser des questions.
>
Quel % du réseau de FT est encore sans softswitch ?
Dans la terminologie FT, je ne sais pas comment cela s'appelle, mais je
parle de ca:
http://en.wikipedia.org/wiki/Softswitch
Franchement je n'en sais rien, d'autant qu'il faudrait se mettre
d'accord sur un % de quoi (pour un "hardswitch" on pourrait compter les
lignes physiquement raccordées, pour un "softswitch" je ne sais pas trop).
Le coeur de réseau de FT, comme celui des beaucoup d'opérateurs
historique, est en pleine migration vers une architecture IMS basée sur
du 10G Ethernet, voire du 40G Ethernet (au-delà, c'est du test, même si
parfois c'est en vraie grandeur).
Je pense qu'on peut dire qu'aucun point d'accès au backbone FT n'est
sans softswitch, et c'est sans doute vrai sur le réseau mondial d'Orange.
Le réseau de hardswitches est en contraction continue depuis quelques
années, et cela va sans doute s'accélérer fortement dans les années qui
viennent (par exemple si l'expé de Palaiseau est un succès). Il restera
des usagers résiduels, comme toujours.
Pour finir, bien noter qu'un "hardswitch" de type Alcatel E10 B3 est un
gros mainframe avec un OS de plusieurs millions de lignes de code. C'est
autant hard que soft.
Franchement je n'en sais rien, d'autant qu'il faudrait se mettre
d'accord sur un % de quoi (pour un "hardswitch" on pourrait compter les
lignes physiquement raccordées, pour un "softswitch" je ne sais pas trop).
Le coeur de réseau de FT, comme celui des beaucoup d'opérateurs
historique, est en pleine migration vers une architecture IMS basée sur
du 10G Ethernet, voire du 40G Ethernet (au-delà, c'est du test, même si
parfois c'est en vraie grandeur).
Je pense qu'on peut dire qu'aucun point d'accès au backbone FT n'est
sans softswitch, et c'est sans doute vrai sur le réseau mondial d'Orange.
Le réseau de hardswitches est en contraction continue depuis quelques
années, et cela va sans doute s'accélérer fortement dans les années qui
viennent (par exemple si l'expé de Palaiseau est un succès). Il restera
des usagers résiduels, comme toujours.
Pour finir, bien noter qu'un "hardswitch" de type Alcatel E10 B3 est un
gros mainframe avec un OS de plusieurs millions de lignes de code. C'est
autant hard que soft.
Franchement je n'en sais rien, d'autant qu'il faudrait se mettre
d'accord sur un % de quoi (pour un "hardswitch" on pourrait compter les
lignes physiquement raccordées, pour un "softswitch" je ne sais pas trop).
Le coeur de réseau de FT, comme celui des beaucoup d'opérateurs
historique, est en pleine migration vers une architecture IMS basée sur
du 10G Ethernet, voire du 40G Ethernet (au-delà, c'est du test, même si
parfois c'est en vraie grandeur).
Je pense qu'on peut dire qu'aucun point d'accès au backbone FT n'est
sans softswitch, et c'est sans doute vrai sur le réseau mondial d'Orange.
Le réseau de hardswitches est en contraction continue depuis quelques
années, et cela va sans doute s'accélérer fortement dans les années qui
viennent (par exemple si l'expé de Palaiseau est un succès). Il restera
des usagers résiduels, comme toujours.
Pour finir, bien noter qu'un "hardswitch" de type Alcatel E10 B3 est un
gros mainframe avec un OS de plusieurs millions de lignes de code. C'est
autant hard que soft.
Le 27/02/2013 19:38, Didier a écrit :Franchement je n'en sais rien, d'autant qu'il faudrait se mettre
d'accord sur un % de quoi (pour un "hardswitch" on pourrait compter les
lignes physiquement raccordées, pour un "softswitch" je ne sais pas
trop).
Le rapport volume de voix transportée sur TDM sur volume de voix
transportée sur IP.
A pondérer ou pas, au kilomètre ou à l'interconnexion, vu que sur un
circuit on peut avoir du tdm-ip-tdm-ip ...Le coeur de réseau de FT, comme celui des beaucoup d'opérateurs
historique, est en pleine migration vers une architecture IMS basée sur
du 10G Ethernet, voire du 40G Ethernet (au-delà, c'est du test, même si
parfois c'est en vraie grandeur).
Je sais. C'est pour savoir, par curiosité, à quelle étape vous en êtes.
Si c'est pas une info "top secret".
Je pense qu'on peut dire qu'aucun point d'accès au backbone FT n'est
sans softswitch, et c'est sans doute vrai sur le réseau mondial d'Orange.
Le réseau de hardswitches est en contraction continue depuis quelques
années, et cela va sans doute s'accélérer fortement dans les années qui
viennent (par exemple si l'expé de Palaiseau est un succès). Il restera
des usagers résiduels, comme toujours.
Pour finir, bien noter qu'un "hardswitch" de type Alcatel E10 B3 est un
gros mainframe avec un OS de plusieurs millions de lignes de code. C'est
autant hard que soft.
Oui, mais le E10 ne fait pas de voix sur IP. Les anglais appellent cela
"softswitch", mais cela devrait s'appeler ip-switch. Et vos E10 sont
cernés par des systemes qui causent "voix sur IP", ils vont finir par se
sentir seuls au milieu.
Dans un softswitch (donc voix sur ip), un appel entre voisins n'est pas
l'usine à gaz que vous avez expliqué. Même si le voisin a un numéro
porté chez un de vos concurrents. Je dirais même "surtout" si le voisin
a un numéro porté.
Et softswitch ne veut pas dire forcement IMS.
ou ailleurs et qu'on amène avec soi sa ligne fixe de téléphone, on peut
implémenter ce service de différentes façons dans un réseau de voix sur
IP et l'IMS a choisit une façon de faire qui n'est pas forcement celle
que le lambda aurait pu espérer.
Le 27/02/2013 19:38, Didier a écrit :
Franchement je n'en sais rien, d'autant qu'il faudrait se mettre
d'accord sur un % de quoi (pour un "hardswitch" on pourrait compter les
lignes physiquement raccordées, pour un "softswitch" je ne sais pas
trop).
Le rapport volume de voix transportée sur TDM sur volume de voix
transportée sur IP.
A pondérer ou pas, au kilomètre ou à l'interconnexion, vu que sur un
circuit on peut avoir du tdm-ip-tdm-ip ...
Le coeur de réseau de FT, comme celui des beaucoup d'opérateurs
historique, est en pleine migration vers une architecture IMS basée sur
du 10G Ethernet, voire du 40G Ethernet (au-delà, c'est du test, même si
parfois c'est en vraie grandeur).
Je sais. C'est pour savoir, par curiosité, à quelle étape vous en êtes.
Si c'est pas une info "top secret".
Je pense qu'on peut dire qu'aucun point d'accès au backbone FT n'est
sans softswitch, et c'est sans doute vrai sur le réseau mondial d'Orange.
Le réseau de hardswitches est en contraction continue depuis quelques
années, et cela va sans doute s'accélérer fortement dans les années qui
viennent (par exemple si l'expé de Palaiseau est un succès). Il restera
des usagers résiduels, comme toujours.
Pour finir, bien noter qu'un "hardswitch" de type Alcatel E10 B3 est un
gros mainframe avec un OS de plusieurs millions de lignes de code. C'est
autant hard que soft.
Oui, mais le E10 ne fait pas de voix sur IP. Les anglais appellent cela
"softswitch", mais cela devrait s'appeler ip-switch. Et vos E10 sont
cernés par des systemes qui causent "voix sur IP", ils vont finir par se
sentir seuls au milieu.
Dans un softswitch (donc voix sur ip), un appel entre voisins n'est pas
l'usine à gaz que vous avez expliqué. Même si le voisin a un numéro
porté chez un de vos concurrents. Je dirais même "surtout" si le voisin
a un numéro porté.
Et softswitch ne veut pas dire forcement IMS.
ou ailleurs et qu'on amène avec soi sa ligne fixe de téléphone, on peut
implémenter ce service de différentes façons dans un réseau de voix sur
IP et l'IMS a choisit une façon de faire qui n'est pas forcement celle
que le lambda aurait pu espérer.
Le 27/02/2013 19:38, Didier a écrit :Franchement je n'en sais rien, d'autant qu'il faudrait se mettre
d'accord sur un % de quoi (pour un "hardswitch" on pourrait compter les
lignes physiquement raccordées, pour un "softswitch" je ne sais pas
trop).
Le rapport volume de voix transportée sur TDM sur volume de voix
transportée sur IP.
A pondérer ou pas, au kilomètre ou à l'interconnexion, vu que sur un
circuit on peut avoir du tdm-ip-tdm-ip ...Le coeur de réseau de FT, comme celui des beaucoup d'opérateurs
historique, est en pleine migration vers une architecture IMS basée sur
du 10G Ethernet, voire du 40G Ethernet (au-delà, c'est du test, même si
parfois c'est en vraie grandeur).
Je sais. C'est pour savoir, par curiosité, à quelle étape vous en êtes.
Si c'est pas une info "top secret".
Je pense qu'on peut dire qu'aucun point d'accès au backbone FT n'est
sans softswitch, et c'est sans doute vrai sur le réseau mondial d'Orange.
Le réseau de hardswitches est en contraction continue depuis quelques
années, et cela va sans doute s'accélérer fortement dans les années qui
viennent (par exemple si l'expé de Palaiseau est un succès). Il restera
des usagers résiduels, comme toujours.
Pour finir, bien noter qu'un "hardswitch" de type Alcatel E10 B3 est un
gros mainframe avec un OS de plusieurs millions de lignes de code. C'est
autant hard que soft.
Oui, mais le E10 ne fait pas de voix sur IP. Les anglais appellent cela
"softswitch", mais cela devrait s'appeler ip-switch. Et vos E10 sont
cernés par des systemes qui causent "voix sur IP", ils vont finir par se
sentir seuls au milieu.
Dans un softswitch (donc voix sur ip), un appel entre voisins n'est pas
l'usine à gaz que vous avez expliqué. Même si le voisin a un numéro
porté chez un de vos concurrents. Je dirais même "surtout" si le voisin
a un numéro porté.
Et softswitch ne veut pas dire forcement IMS.
ou ailleurs et qu'on amène avec soi sa ligne fixe de téléphone, on peut
implémenter ce service de différentes façons dans un réseau de voix sur
IP et l'IMS a choisit une façon de faire qui n'est pas forcement celle
que le lambda aurait pu espérer.