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[ANG] Strange french city earth artistic effect ?

18 réponses
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Laetitia
Hello, from strange earth planet country, stupid ancient high tech
tower building question has been already, in this thread now :

See and look that great usenet anonymous joint picture :
http://cjoint.com/?jslQnbP3BQ

For some unknown dream and creationism picture author reason ?

Best thanking newsgroups regards, but with only possible fu2 answer on
fr.sci.zetetique, of course)

--
Cbhe fheivier qnaf y'rfcnpr, vy snhqen ncceraqer à l fheivier
rg, fv yrf enerf fheivinagf cneivraarag à ar cyhf pbzceraqer
yrhef téavnhk pbaprcgrhef, y'vapbzceéurafvba qrivraqen gbgnyr,
pr fren nybef rasva y'ncbpnylcfr rg, gnag qéfveér cne pregnvaf ?
(signature francophone, déjà pré-codée et, rédigée en rot13)

8 réponses

1 2
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Ghost Rider
Jean-Claude Ghislain a écrit :
"Stephane Legras-Decussy" a écrit :

j'avais trouvé je ne sais plus où,
un petit prog java qui transformait
un texte normal en texte laetitia... :-)



http://www.charabia.net c'est pas mal, j'suis dans ma période
philosophique, allez courage :

Analyse métaphysique du substantialisme

Vers une théorie du substantialisme sémiotique.

........
On pourrait, par déduction, mettre en doute Nietzsche dans son analyse
empirique de l'esthétisme. fin.






Ce texte révèle trop par ses incohérences, mêmes apparentes, qu'il est
l'½uvre d'un robot.

En voici un vrai de vrai:
http://cjoint.com/data/jtw5riKL1B.htm

Lire en particulier la deuxième colonne à partir de "Cette fin est celle
de la Théorie critique...."
C'est nettement plus clair que le texte du robot.
Comme quoi la machine ne saurait remplacer l'homme.

Ghost Rider
Avatar
Alf92
Dans <news:gb0plc$ll2$,
Jean-Claude Ghislain a écrit :

j'avais trouvé je ne sais plus où,
un petit prog java qui transformait
un texte normal en texte laetitia... :-)



http://www.charabia.net c'est pas mal, j'suis dans ma période
philosophique, allez courage :



et voici l'ancêtre : le vrai, l'unique, l'inimitable génarateur de
phrase creuse
http://www.pipotron.com/

--
Alf92
Avatar
Eric
Jean-Claude Ghislain wrote:
"Stephane Legras-Decussy" a écrit :

j'avais trouvé je ne sais plus où,
un petit prog java qui transformait
un texte normal en texte laetitia... :-)



http://www.charabia.net c'est pas mal, j'suis dans ma période
philosophique, allez courage :

Analyse métaphysique du substantialisme

Vers une théorie du substantialisme sémiotique.

"Il n'y a pas de substantialisme subsémiotique", affirme Nietzsche. Si
le substantialisme phénoménologique est pensable, c'est tant il en
spécifie ainsi l'expression irrationnelle dans une perspective
sartrienne contrastée.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il envisage ainsi la
relation entre mesmerisme et contemporanéité, c'est aussi parce qu'il
en rejette la démystification substantialiste dans son acception
sartrienne ; la liberté ou le planisme idéationnel ne suffisent, de
ce fait, pas à expliquer le planisme sous un angle irrationnel.
C'est le fait même qu'il identifie ainsi la réalité phénoménologique
du substantialisme qui nous permet d'affirmer qu'il en caractérise
l'aspect minimaliste en regard de l'essentialisme.
C'est dans une optique identique qu'il se dresse contre l'expression
universelle du substantialisme et le substantialisme ne se comprend,
de ce fait, qu'à la lueur de l'essentialisme moral. C'est d'ailleurs
pour cela qu'il spécifie la destructuration primitive du
substantialisme, et si d'une part on accepte l'hypothèse que
Kierkegaard donne une signification particulière à la destructuration
post-initiatique du substantialisme, et qu'ensuite on accepte l'idée
qu'il en identifie la démystification rationnelle sous un angle
génératif, cela signifie donc qu'il conteste la destructuration
circonstancielle du substantialisme. Notons par ailleurs qu'il
restructure l'expression primitive du substantialisme, et on ne
saurait reprocher à Nietzsche son créationisme moral, cependant, il
envisage l'analyse circonstancielle du substantialisme.
Si le substantialisme sémiotique est pensable, c'est il en
particularise l'aspect primitif en regard du créationisme bien qu'il
caractérise l'extratemporanéité par son créationisme génératif.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnel le
substantialisme (voir " quelle pertinence pour le substantialisme
rationnel ? ") et comme il est difficile d'affirmer qu'il restructure
la réalité sémiotique du substantialisme, on ne peut que constater
qu'il envisage la réalité générative du substantialisme.
Finalement, cette problématique permet de s'interroger sur une
géométrie sous un angle rationnel.

Il est alors évident qu'il restructure la réalité déductive du
substantialisme. Soulignons qu'il en systématise l'expression
irrationnelle dans une perspective montagovienne contrastée, car le
paradoxe du pointillisme sémiotique illustre l'idée selon laquelle la
géométrie irrationnelle n'est ni plus ni moins qu'une géométrie
phénoménologique.
On ne peut, par ce biais, que s'étonner de la manière qu'a Spinoza de
critiquer le pointillisme empirique, et comme il semble difficile
d'affirmer que Nietzsche caractérise le pointillisme par son
pointillisme métaphysique, on ne peut que constater qu'il identifie la
réalité substantialiste du substantialisme.
La géométrie ou la géométrie ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer
la géométrie spéculative en regard de la géométrie.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il conteste l'expression
spéculative du substantialisme, c'est aussi parce qu'il en donne une
signification selon l'aspect phénoménologique en regard de la
géométrie dans le but de la resituer dans le contexte social et
intellectuel dont il est question.

Néanmoins, il spécifie l'expression sémiotique du substantialisme, car
si on ne peut contester l'influence de Descartes sur le pointillisme,
Descartes caractérise pourtant la raison déductive par sa raison
rationnelle et il en examine, par ce biais, l'aspect subsémiotique
dans une perspective montagovienne.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il particularise l'expression
circonstancielle du substantialisme, et qu'ensuite on accepte l'idée
qu'il en identifie la démystification irrationnelle dans son acception
kierkegaardienne cela signifie alors qu'il conteste l'analyse
subsémiotique du substantialisme.
Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il restructure la réalité
originelle du substantialisme ; le substantialisme ne se borne, de ce
fait, pas à être un ionisme en tant qu'objet originel de la
connaissance.
C'est le fait même qu'il systématise en effet la raison primitive sous
un angle génératif alors même qu'il désire le resituer en effet dans
sa dimension sociale qui infirme l'hypothèse qu'il en examine
l'expression idéationnelle dans sa conceptualisation tout en essayant
de la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
De la même manière, il interprète la démystification empirique du
substantialisme afin de la resituer dans le cadre politique dont il
est question.

Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il interprète l'expression
sémiotique du substantialisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en
restructure la destructuration déductive comme objet irrationnel de la
connaissance, et on ne peut contester l'influence de Bergson sur
l'ionisme rationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il
décortique la conception substantialiste du substantialisme.
Si on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, le confusionnisme à un
confusionnisme idéationnel, il décortique pourtant l'analyse
minimaliste du substantialisme et il en décortique donc l'origine
subsémiotique comme concept universel de la connaissance.
Cependant, il caractérise l'esthétisme par son esthétisme déductif, et
le confusionnisme phénoménologique ou l'esthétisme rationnel ne
suffisent pas à expliquer l'esthétisme comme concept universel de la
connaissance.
D'une part il conteste, par ce biais, la réalité rationnelle du
substantialisme, d'autre part il en systématise la démystification
originelle comme objet originel de la connaissance bien qu'il examine
la démystification post-initiatique du substantialisme.
De la même manière, il particularise la réalité idéationnelle du
substantialisme et le substantialisme pose, par la même, la question
de l'esthétisme rationnel dans sa conceptualisation.

Pour un substantialisme substantialiste.

Le substantialisme illustre un esthétisme empirique de la pensée
individuelle.
Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de la manière dont
Bergson critique le confusionnisme sémiotique. Il faut cependant
mitiger cette affirmation dans le sens où Henri Bergson restructure la
conception spéculative du substantialisme, et la perception kantienne
du substantialisme est d'ailleurs déterminée par une intuition
idéationnelle du confusionnisme irrationnel. Cependant, il donne une
signification particulière à la conception rationnelle du
substantialisme, car si le substantialisme métaphysique est pensable,
c'est tant il en interprète la démystification générative en tant
qu'objet spéculatif de la connaissance.
C'est dans une optique similaire qu'il s'approprie l'analyse
subsémiotique du substantialisme, et on ne saurait écarter de la
problématique la critique du confusionnisme moral par Montague, il
faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il
conteste l'analyse originelle du substantialisme.
On ne peut considérer qu'il décortique la relation entre pluralisme et
immutabilité si l'on n'admet pas qu'il en interprète l'expression
rationnelle dans son acception bergsonienne.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne peut contester la
critique du confusionnisme originel par Nietzsche pour le resituer
dans toute sa dimension politique et sociale.
Finalement, la réalité kantienne du substantialisme s'apparente à une
représentation substantialiste de l'esthétisme.

Contrastons cependant cette affirmation : s'il conteste la
destructuration existentielle du substantialisme, c'est également
parce qu'il s'en approprie l'origine générative en tant que concept
subsémiotique de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à
son contexte politique, et le substantialisme tire son origine du
confusionnisme sémiotique.
Le paradoxe de l'esthétisme originel illustre, par la même, l'idée
selon laquelle le confusionnisme rationnel n'est ni plus ni moins
qu'un confusionnisme post-initiatique empirique. Cependant, Montague
interprète la relation entre contemporanéité et objectivisme, et le
substantialisme nous permet d'ailleurs d'appréhender un confusionnisme
de l'individu.

Pourtant, il est indubitable qu'il conteste l'esthétisme moral de
l'individu tout en essayant de le resituer dans sa dimension politique
et sociale. Soulignons qu'il en conteste l'aspect minimaliste comme
concept spéculatif de la connaissance. On ne peut en effet contester
l'influence de Chomsky sur l'esthétisme empirique, il est alors
évident qu'il conteste l'origine du substantialisme. Il convient de
souligner qu'il en conteste la destructuration générative dans une
perspective kantienne contrastée.
Par le même raisonnement, on ne peut contester l'impulsion
rousseauiste de la consubstantialité déductive pour l'opposer à son
cadre social et intellectuel le matérialisme déductif.
On ne saurait, par déduction, reprocher à Hegel sa consubstantialité
circonstancielle.

Cependant, Hegel décortique l'analyse irrationnelle du
substantialisme, et comme il semble difficile d'affirmer que Henri
Bergson restructure l'expression existentielle du substantialisme, il
est manifeste qu'il s'approprie la relation entre monogénisme et
aristotélisme. C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme rationnel le
substantialisme, et on ne saurait reprocher à Bergson sa
consubstantialité universelle, pourtant, il est indubitable qu'il
particularise l'origine du substantialisme. Notons néansmoins qu'il en
spécifie la démystification universelle en tant qu'objet
substantialiste de la connaissance bien qu'il spécifie l'origine du
substantialisme. C'est avec une argumentation analogue qu'on ne
saurait reprocher à Montague sa consubstantialité morale et c'est le
fait même qu'il conteste, par ce biais, l'expression transcendentale
du substantialisme qui infirme l'hypothèse qu'il en systématise la
démystification sémiotique sous un angle phénoménologique alors qu'il
prétend le resituer dans sa dimension politique et sociale.
Le substantialisme ne se comprend, finalement, qu'à la lueur de la
consubstantialité irrationnelle.

Pour un substantialisme originel.

"Il n'y a pas de substantialisme idéationnel", affirme Nietzsche. Le
matérialisme phénoménologique ou la consubstantialité métaphysique ne
suffisent, par ce biais, pas à expliquer la consubstantialité dans son
acception kierkegaardienne.
Dans cette même perspective, on ne saurait assimiler, comme le fait
Descartes, le matérialisme rationnel à un matérialisme synthétique.
On ne peut que s'étonner de la manière dont Descartes critique le
matérialisme minimaliste, et néanmoins, Descartes rejette la
conception existentielle du substantialisme.
Le paradoxe du matérialisme illustre, de ce fait, l'idée selon
laquelle la consubstantialité transcendentale et la consubstantialité
déductive ne sont ni plus ni moins qu'une consubstantialité
irrationnelle. Pourtant, il est indubitable qu'il décortique la
consubstantialité existentielle de la pensée sociale. Notons
néansmoins qu'il en rejette l'expression primitive en tant qu'objet
synthétique de la connaissance dans le but de prendre en
considération la consubstantialité sémiotique. Pour cela, on pourrait
mettre en doute Leibniz dans son approche existentielle de la
consubstantialité, et d'une part Kierkegaard réfute l'expression
rationnelle du substantialisme, d'autre part il en interprète la
réalité morale sous un angle métaphysique. Il faut cependant mitiger ce
raisonnement car il envisage l'analyse
minimaliste du substantialisme, et le paradoxe du matérialisme
universel illustre l'idée selon laquelle le matérialisme déductif et
le matérialisme empirique ne sont ni plus ni moins qu'une
consubstantialité irrationnelle.
C'est le fait même qu'il décortique en effet l'herméneutique
circonstancielle de la pensée sociale alors même qu'il désire
l'opposer en effet à son cadre politique et intellectuel qui nous
permet de rejetter l'hypothèse qu'il en caractérise la réalité
transcendentale sous un angle phénoménologique.
C'est avec une argumentation similaire qu'on ne saurait reprocher à
Spinoza son immutabilité originelle afin de supposer l'immutabilité
déductive.

Cependant, il restructure l'analyse existentielle du substantialisme.
On peut alors reprocher à Nietzsche son immutabilité circonstancielle,
il faut cependant contraster cette affirmation car il conteste la
destructuration circonstancielle du substantialisme.
Si on ne saurait reprocher à Descartes son herméneutique
substantialiste, il rejette cependant la destructuration
substantialiste du substantialisme et il en caractérise alors la
destructuration spéculative en tant qu'objet post-initiatique de la
connaissance. Par le même raisonnement, il conteste alors l'immutabilité
primitive
de la pensée individuelle pour l'opposer à son contexte social et
politique.
On pourrait, pour conclure, mettre en doute Bergson dans son analyse
générative de l'herméneutique.

C'est dans une optique similaire qu'il restructure l'analyse
générative du substantialisme, car le paradoxe de l'immutabilité
subsémiotique illustre l'idée selon laquelle l'immutabilité et
l'herméneutique universelle ne sont ni plus ni moins qu'une
herméneutique phénoménologique irrationnelle.
Pour cela, Sartre interprète l'herméneutique minimaliste en regard de
l'herméneutique.
Le substantialisme ne synthétise qu'imprécisément l'herméneutique
minimaliste, et c'est avec une argumentation analogue qu'il
particularise la démystification phénoménologique du substantialisme.
Le paradoxe de l'immutabilité empirique illustre ainsi l'idée selon
laquelle l'immutabilité synthétique et l'immutabilité spéculative ne
sont ni plus ni moins qu'une raison rationnelle rationnelle.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il conteste la réalité
synthétique du substantialisme, c'est aussi parce qu'il en donne une
signification selon l'expression empirique sous un angle rationnel
dans le but de l'opposer à son cadre social.

C'est ainsi qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky,
l'ultramontanisme primitif à une raison déductive, et nous savons que
Nietzsche restructure la relation entre substantialisme et raison, et
d'autre part, il en conteste l'expression post-initiatique dans sa
conceptualisation. Par conséquent, il donne une signification
particulière à la réalité irrationnelle du substantialisme afin de
l'opposer à son cadre politique.
Pourtant, il examine la démystification subsémiotique du
substantialisme, et le paradoxe de la raison primitive illustre l'idée
selon laquelle l'ultramontanisme existentiel n'est ni plus ni moins
qu'une raison idéationnelle transcendentale.
C'est le fait même qu'il conteste, de ce fait, la réalité
phénoménologique du substantialisme qui nous permet d'affirmer qu'il
s'en approprie la destructuration générative dans son acception
transcendentale.
Par le même raisonnement, il conteste la raison sous un angle
synthétique et cette problématique s'appuie en effet sur un
ultramontanisme originel de la société.

Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise l'ultramontanisme par
son ultramontanisme moral. Il convient de souligner qu'il en conteste
l'origine rationnelle dans son acception kierkegaardienne, car on
pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son analyse spéculative de
la raison. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il systématise
la réalité morale du substantialisme.
Pour cela, il décortique la réalité circonstancielle du
substantialisme, et on pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son
analyse universelle de la raison, pourtant, il est indubitable qu'il
s'approprie l'analyse circonstancielle du substantialisme. Soulignons
qu'il en interprète l'expression circonstancielle sous un angle
post-initiatique.
Par le même raisonnement, il rejette la conception synthétique du
substantialisme pour l'opposer à son contexte social l'ultramontanisme
déductif.
Finalement, le substantialisme pose la question de l'ultramontanisme
comme objet métaphysique de la connaissance.

Pourtant, il spécifie l'analyse synthétique du substantialisme, car
nous savons que Kierkegaard conteste la raison synthétique de la
pensée individuelle. Or il en systématise la destructuration
rationnelle dans son acception bergsonienne, c'est pourquoi il
s'approprie l'expression idéationnelle du substantialisme pour
l'opposer à son cadre politique. Nous savons qu'il restructure la
conception primitive du substantialisme. Or il en conteste l'origine
métaphysique sous un angle transcendental. Par conséquent, il rejette
l'analyse phénoménologique du substantialisme afin de prendre en
considération l'ultramontanisme génératif.
Pourtant, il examine l'origine du substantialisme ; l'ultramontanisme
ou l'ultramontanisme transcendental ne suffisent alors pas à expliquer
la raison sémiotique comme concept rationnel de la connaissance.
Nous savons qu'il rejette alors le nihilisme primitif de la pensée
individuelle alors qu'il prétend le resituer alors dans sa dimension
sociale. Or il en conteste la démystification rationnelle comme
concept minimaliste de la connaissance. Par conséquent, il envisage
l'expression post-initiatique du substantialisme afin de critiquer la
certitude. C'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Leibniz
sa certitude synthétique afin de l'opposer à son cadre social.

Prémisces du substantialisme sémiotique.

Notre hypothèse de départ est la suivante : le substantialisme pose la
question du nihilisme rationnel sous un angle transcendental. Il en
découle qu'il rejette la relation entre ontologisme et suicide.
Néanmoins, il conteste l'expression circonstancielle du
substantialisme ; le substantialisme ne peut, par la même, être fondé
que sur le concept du nihilisme.
On ne peut considérer qu'il donne donc une signification particulière
à la relation entre modérantisme et monoïdéisme si l'on n'admet pas
qu'il en rejette la destructuration minimaliste en tant que concept
idéationnel de la connaissance.
Pour cela, il envisage la réalité universelle du substantialisme dans
le but de l'opposer à son contexte social et intellectuel. Cependant,
il interprète la démystification déductive du substantialisme. Si
d'une part on accepte l'hypothèse que Rousseau restructure pourtant la
conception primitive du substantialisme, et si d'autre part il en
spécifie la destructuration post-initiatique en regard du nihilisme
tout en essayant de l'opposer à son cadre social, cela signifie donc
qu'il examine l'expression rationnelle du substantialisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il restructure l'origine du
substantialisme. Soulignons qu'il en donne une signification selon
l'analyse rationnelle en regard du nihilisme, et le paradoxe du
nihilisme moral illustre l'idée selon laquelle le nihilisme
phénoménologique n'est ni plus ni moins qu'un nihilisme
substantialiste substantialiste.
D'une part il rejette en effet le nihilisme génératif de la société,
d'autre part il en spécifie l'expression empirique en regard du
nihilisme.
En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, la
certitude à une certitude universelle afin de l'analyser en fonction
du nihilisme existentiel.

Il est alors évident qu'il interprète l'origine du substantialisme. Il
convient de souligner qu'il s'en approprie la réalité substantialiste
dans son acception leibnizienne, car si on ne saurait écarter de cette
étude la critique du nihilisme post-initiatique par Nietzsche,
Nietzsche s'approprie néanmoins la réalité générative du
substantialisme et il en systématise, par ce biais, la
démystification phénoménologique dans sa conceptualisation.
Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il systématise, par ce
biais, la certitude métaphysique de la pensée individuelle bien qu'il
restructure, par ce biais, la démystification irrationnelle du
substantialisme, et la certitude ou la certitude originelle ne
suffisent pas à expliquer le nihilisme dans sa conceptualisation.
Si on peut, par ce biais, reprocher à Kierkegaard son nihilisme
existentiel, il spécifie pourtant l'expression empirique du
substantialisme et il réfute, par ce biais, la réalité sémiotique en
tant qu'objet primitif de la connaissance.
Pour cela, il envisage, par ce biais, l'origine du substantialisme
dans le but de critiquer la certitude transcendentale.

Contrastons cependant ce raisonnement : s'il décortique la conception
transcendentale du substantialisme, il faut également souligner qu'il
en restructure l'analyse transcendentale en tant qu'objet moral de la
connaissance, et d'une part Kant conteste la relation entre liberté et
essentialisme, d'autre part il en particularise la réalité
transcendentale comme concept post-initiatique de la connaissance bien
qu'il caractérise le nihilisme par sa certitude existentielle.
Par le même raisonnement, on ne peut que s'étonner de la façon dont
Kant critique le nihilisme, et on ne saurait reprocher à Leibniz son
nihilisme idéationnel, contrastons cependant ce raisonnement : s'il
rejette la relation entre spiritualisme et monoïdéisme, c'est
également parce qu'il en rejette l'origine substantialiste sous un
angle subsémiotique.
On ne peut contester la critique rousseauiste de la certitude. Mais il
ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute la destructuration
irrationnelle du substantialisme.
C'est avec une argumentation identique qu'on ne saurait reprocher à
Hegel son nihilisme substantialiste et c'est le fait même qu'il réfute
l'origine du substantialisme qui nous permet d'affirmer qu'il en
examine l'aspect irrationnel en tant que concept minimaliste de la
connaissance. On ne peut, par déduction, contester l'influence de
Rousseau sur le nihilisme rationnel.

Dans cette même perspective, il identifie la relation entre
contemporanéité et nativisme, et on ne saurait assimiler, comme le
fait Leibniz, le nihilisme universel à une certitude générative, il
faut cependant contraster ce raisonnement car il conteste l'expression
subsémiotique du substantialisme.
Par le même raisonnement, il examine l'analyse existentielle du
substantialisme et comme il semble difficile d'affirmer qu'il conteste
la destructuration circonstancielle du substantialisme, de toute
évidence il conteste l'origine du substantialisme.
Finalement, le substantialisme illustre une certitude comme objet
génératif de la connaissance.

Dans cette même perspective, il systématise la relation entre
scientisme et extratemporanéité, et le substantialisme tire son
origine de l'esthétisme primitif.
Pour cela, on ne saurait ignorer la critique kantienne de la certitude
rationnelle. Cependant, Spinoza systématise la réalité idéationnelle
du substantialisme, et le substantialisme illustre d'ailleurs une
certitude spéculative de la société.

Cependant, il donne une signification particulière à une certitude
synthétique de la pensée individuelle tout en essayant de l'opposer à
son contexte intellectuel et social, car premièrement Sartre rejette
l'analyse subsémiotique du substantialisme, deuxièmement il en
interprète l'origine phénoménologique comme objet spéculatif de la
connaissance. Il en découle qu'il donne une signification
particulière à un esthétisme de la pensée sociale alors qu'il prétend
le resituer dans sa dimension politique et sociale.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme empirique le
substantialisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky, la
certitude empirique à une certitude subsémiotique, néanmoins, il
caractérise l'esthétisme existentiel par sa certitude idéationnelle.
Comme il est difficile d'affirmer qu'il systématise l'origine du
substantialisme, il est manifeste qu'il rejette l'analyse morale du
substantialisme.
C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de la
problématique la critique de la certitude par Chomsky et notre
hypothèse de départ est la suivante : la formulation cartésienne du
substantialisme s'apparente en effet à une représentation
idéationnelle de l'esthétisme. De cette hypothèse, il découle que
Emmanuel Kant se dresse contre l'analyse empirique du substantialisme.
On pourrait, par déduction, mettre en doute Nietzsche dans son analyse
empirique de l'esthétisme. fin.

;-))



Ah ben voui, y'a du pour et y'a du cont'
quoique...
C'est bon ça pour les philocritiques d'art
C'est devenu une variété courante, heureusement qu on n'est pas à
"Questions pour un Champion" t'as pas amigoogle pour te documenter vite
fait,
Je ne sais plus qui avait dit ça ici, pour quelqu un qui craignait de s'être
trompé de news, de ne pas s'inquiéter, ici on a des spécialistes en tout.
Tricot, jardinage, art de la guerre, photo n'en parlons même pas, tout
français nait photographe depuis Niepce, c'est comme ça, une sorte de droit
de descendance.
De toutes façons, nous français, on a tout, la meilleure sécurité sociale,
une justice infaillible, les riches les plus riches, en cinéma, pareil, et
pour être sûr absolument , comme pour Niepce, mais là ce sont des
descendants directs, des hommes remarquables au gouvernement.
L'exception culturelle française, voilà.
Et grâce au ciel, nous avons YAB.
ric
Avatar
Eric
Alf92 wrote:
Dans <news:gb0plc$ll2$,
Jean-Claude Ghislain a écrit :

j'avais trouvé je ne sais plus où,
un petit prog java qui transformait
un texte normal en texte laetitia... :-)



http://www.charabia.net c'est pas mal, j'suis dans ma période
philosophique, allez courage :



et voici l'ancêtre : le vrai, l'unique, l'inimitable génarateur de
phrase creuse
http://www.pipotron.com/



Excellent le pipotron, ne serait ce pas avec ça qu on fait des discours
politiques ?

ric
Avatar
filh
Eric wrote:

Ah ben voui, y'a du pour et y'a du cont'
quoique...



Finalement il n'y a un qu'un crétin pour répondre quelque chose...

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Avatar
Eric
FiLH wrote:
Eric wrote:

Ah ben voui, y'a du pour et y'a du cont'
quoique...



Finalement il n'y a un qu'un crétin pour répondre quelque chose...




Tu ne sais pas quoi dire , me traite de crétin, au moins avec toi, ce qui
est bien, c'est que tu es constant, pas très bon mais constant, aucun
progrès.
J'admire la pertinence de cette manifestation
ric
Avatar
Alf92
Dans <news:1inl778.17xphd41p2u153N%,
FiLH a écrit :

Ah ben voui, y'a du pour et y'a du cont'
quoique...



Finalement il n'y a un qu'un crétin pour répondre quelque chose...



tu n'a pas (encore) compris que le respect et la courtoisie sont les
bases d'une discussion sur Usenet ?
ça fait pourtant longtemps que tu fréquentes ce NG....

--
Alf92
Avatar
Eric
Alf92 wrote:
Dans <news:1inl778.17xphd41p2u153N%,
FiLH a écrit :

Ah ben voui, y'a du pour et y'a du cont'
quoique...



Finalement il n'y a un qu'un crétin pour répondre quelque chose...



tu n'a pas (encore) compris que le respect et la courtoisie sont les
bases d'une discussion sur Usenet ?
ça fait pourtant longtemps que tu fréquentes ce NG....



Tu oublies que le bordelais s'affranchit de tout, il a droit à ce qu on
appelle la " licence poétique "


ric
1 2