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Annie Girardot - Alzheimer

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Arthur
Bonjour.

Quelqu'un pourrait-il dire aux journalistes de France Television et Radio
France (les autres je ne sais pas) qui répètent en choeur qu'Annie Girardot
a été "emportée" par la maladie d'Alzheimer, que la maladie d'Alzheimer est
certes extrêmement invalidante, mais elle n'entraine pas la mort.

--
Arthur

5 réponses

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Marc Lepetit
olive a écrit :

Marc Lepetit écrivait :

Le journalisme n'est pas une profession réglementée. Absolument
n'importe qui peut se dire journaliste, même s'il n'a pas de carte
de presse.



Vous avez sans doute raison,



Pas "sans doute" :-)

et je le déplore.



Pas moi. Je suis au contraire heureux qu'il n'y ait pas besoin d'un
"Aussweis" ou d'un quelconque visa bureaucratique pour écrire dans les
journaux, voire en ligne.

Pour la crédibilité des propos produits, chacun est juge, et c'est
très bien ainsi.



Vous avez sans doute raison ;). Ce que je déplore, c'est « Absolument
n'importe qui peut se dire journaliste ». Cela galvaude le titre. C'est
un peu comme « psychothérapeute » : je crois que ça a changé depuis
peu, mais n'importe qui pouvait revendiquer ce titre, et la "profession"
comprenait 90 % d'arnaqueurs et de charlatans. Quant à la carte de
presse, je reviens sur mes propos, elle n'est pas indispensable.
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LeLapin
Marc Lepetit a tapoté du bout de ses petites papattes :
olive a écrit :

Marc Lepetit écrivait :

Le journalisme n'est pas une profession réglementée. Absolument
n'importe qui peut se dire journaliste, même s'il n'a pas de carte
de presse.



Vous avez sans doute raison,



Pas "sans doute" :-)

et je le déplore.



Pas moi. Je suis au contraire heureux qu'il n'y ait pas besoin d'un
"Aussweis" ou d'un quelconque visa bureaucratique pour écrire dans les
journaux, voire en ligne.

Pour la crédibilité des propos produits, chacun est juge, et c'est
très bien ainsi.



Vous avez sans doute raison ;). Ce que je déplore, c'est « Absolument
n'importe qui peut se dire journaliste ». Cela galvaude le titre. C'est
un peu comme « psychothérapeute » : je crois que ça a changé depuis
peu, mais n'importe qui pouvait revendiquer ce titre, et la "profession"
comprenait 90 % d'arnaqueurs et de charlatans. Quant à la carte de
presse, je reviens sur mes propos, elle n'est pas indispensable.



Le sûr-diplômisme est un méfait de la société moderne. Aujourd'hui, si
tu n'as pas un diplôme en boulangerie, boucherie, plomberie..., tu ne
peux pas ouvrir une entreprise. La possibilité de faire valoir ses
compétences et obtenir un diplôme quasi honorifique par équivalence est
illusoire, contraignante et bien peu faisable lorsqu'en activité.
Il y a un mur entre les générations d'autodidactes (ou de carrières
transversales) et ce qu'on demande aux jeunes d'aujourd'hui pour avoir
un titre élégant dans leur catégorie de chômeur.
Comme chef de rubriques ou rédac'chef, j'ai embauché pas mal
d'autodidactes ou de transversaux qui avaient une belle plume et une
excellente connaissance de leurs sujets, en tant que directeur
technique j'ai embauché des mecs géniaux que le système n'a pas
récompensé par un diplôme. Je n'ai jamais eu à regretter mes choix et
comme je l'avais prévu, la plupart des élèves ont dépassé le maitre
vieillissant.

L'essentiel de ma vie est derrière moi, mais j'ai de beaux restes, et
de bons réflexes : un vrai journaliste le reste toute sa vie, même s'il
a moins de supports pour écrire.

--
LeLapin
Avatar
Pierre Maurette
LeLapin, le 3/2/2011 a écrit :
Marc Lepetit a tapoté du bout de ses petites papattes :
olive a écrit :

Marc Lepetit écrivait :

Le journalisme n'est pas une profession réglementée. Absolument
n'importe qui peut se dire journaliste, même s'il n'a pas de carte
de presse.



Vous avez sans doute raison,



Pas "sans doute" :-)

et je le déplore.



Pas moi. Je suis au contraire heureux qu'il n'y ait pas besoin d'un
"Aussweis" ou d'un quelconque visa bureaucratique pour écrire dans les
journaux, voire en ligne.

Pour la crédibilité des propos produits, chacun est juge, et c'est
très bien ainsi.



Vous avez sans doute raison ;). Ce que je déplore, c'est « Absolument
n'importe qui peut se dire journaliste ». Cela galvaude le titre. C'est
un peu comme « psychothérapeute » : je crois que ça a changé depuis
peu, mais n'importe qui pouvait revendiquer ce titre, et la "profession"
comprenait 90 % d'arnaqueurs et de charlatans. Quant à la carte de
presse, je reviens sur mes propos, elle n'est pas indispensable.



Le sûr-diplômisme est un méfait de la société moderne. Aujourd'hui, si tu
n'as pas un diplôme en boulangerie, boucherie, plomberie..., tu ne peux pas
ouvrir une entreprise. La possibilité de faire valoir ses compétences et
obtenir un diplôme quasi honorifique par équivalence est illusoire,
contraignante et bien peu faisable lorsqu'en activité.
Il y a un mur entre les générations d'autodidactes (ou de carrières
transversales) et ce qu'on demande aux jeunes d'aujourd'hui pour avoir un
titre élégant dans leur catégorie de chômeur.
Comme chef de rubriques ou rédac'chef, j'ai embauché pas mal d'autodidactes
ou de transversaux qui avaient une belle plume et une excellente connaissance
de leurs sujets, en tant que directeur technique j'ai embauché des mecs
géniaux que le système n'a pas récompensé par un diplôme. Je n'ai jamais eu à
regretter mes choix et comme je l'avais prévu, la plupart des élèves ont
dépassé le maitre vieillissant.

L'essentiel de ma vie est derrière moi, mais j'ai de beaux restes, et de bons
réflexes : un vrai journaliste le reste toute sa vie, même s'il a moins de
supports pour écrire.



C'est pitoyable...

--
Pierre Maurette
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LeLapin
Pierre Maurette a tapoté du bout de ses petites papattes :
C'est pitoyable...



C'est dingue hein ? Ca te fait penser à toi.
Y'a pas de honte à vieillir si on reste actif selon ses capacités. Ca
serait bien que tu en fasses au moins autant que moi...

--
LeLapin
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Yaka Fokon
Le 02/03/2011 21:57, LeLapin a écrit :
Marc Lepetit a tapoté du bout de ses petites papattes :
olive a écrit :

Marc Lepetit écrivait :

Le journalisme n'est pas une profession réglementée. Absolument
n'importe qui peut se dire journaliste, même s'il n'a pas de carte
de presse.



Vous avez sans doute raison,



Pas "sans doute" :-)

et je le déplore.



Pas moi. Je suis au contraire heureux qu'il n'y ait pas besoin d'un
"Aussweis" ou d'un quelconque visa bureaucratique pour écrire dans les
journaux, voire en ligne.

Pour la crédibilité des propos produits, chacun est juge, et c'est
très bien ainsi.



Vous avez sans doute raison ;). Ce que je déplore, c'est « Absolument
n'importe qui peut se dire journaliste ». Cela galvaude le titre. C'est
un peu comme « psychothérapeute » : je crois que ça a changé depuis
peu, mais n'importe qui pouvait revendiquer ce titre, et la "profession"
comprenait 90 % d'arnaqueurs et de charlatans. Quant à la carte de
presse, je reviens sur mes propos, elle n'est pas indispensable.



Le sûr-diplômisme est un méfait de la société moderne. Aujourd'hui, si
tu n'as pas un diplôme en boulangerie, boucherie, plomberie..., tu ne
peux pas ouvrir une entreprise. La possibilité de faire valoir ses
compétences et obtenir un diplôme quasi honorifique par équivalence est
illusoire, contraignante et bien peu faisable lorsqu'en activité.
Il y a un mur entre les générations d'autodidactes (ou de carrières
transversales) et ce qu'on demande aux jeunes d'aujourd'hui pour avoir
un titre élégant dans leur catégorie de chômeur.
Comme chef de rubriques ou rédac'chef, j'ai embauché pas mal
d'autodidactes ou de transversaux qui avaient une belle plume et une
excellente connaissance de leurs sujets, en tant que directeur technique
j'ai embauché des mecs géniaux que le système n'a pas récompensé par un
diplôme. Je n'ai jamais eu à regretter mes choix et comme je l'avais
prévu, la plupart des élèves ont dépassé le maitre vieillissant.

L'essentiel de ma vie est derrière moi, mais j'ai de beaux restes, et de
bons réflexes : un vrai journaliste le reste toute sa vie, même s'il a
moins de supports pour écrire.





Honteux et dégueulasse de se masturber en public, vous méritez un abuse.
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