L'annuaire électronique par minitel 3611, qui devait fermer en mars après 25
ans d'existence, sera finalement maintenu en service car il compte encore un
nombre significatif d'adeptes. Un arrêt du 3611 aurait accéléré celui du
minitel. Le service a réalisé 1,2 millions de connexions en décembre 2008 pour
un total de 10 millions de connexions par mois sur l'ensembe des services du
Minitel.
Une bonne nouvelle pour ceux qui ne se sont pas encore mis à internet et qui
préfèrent leur bon vieux minitel. L'annuaire électronique 3611 qui devait
fermer en mars après 25 ans d'existence va finalement rester en service.
L'annonce a été faite mercredi par PagesJaunes et France Télécom. La décision
de fermeture avait été prise en juillet 2008, basée sur une chute de
l'audience de plus de 50% par an.
Finalement, "en 2008, le 3611 a encore enregistré plus de 19 millions de
connexions", dont 1,2 million en décembre, a déclaré Michel Datchary,
directeur général de PagesJaunes, régie publicitaire du 3611. "Si nous
arrêtons ce service brutalement en mars comme nous l'avions prévu, il est
probable qu'on soit encore, à ce moment-là, sur un rythme encore supérieur à 1
million de connexions par mois, ce qui est beaucoup", a-t-il dit.
Le 3611 sera maintenu à son tarif actuel, de 0,225 euro pour les trois
premières minutes puis 0,112 euro par palier de deux minutes. Jusqu'en
septembre 2007, le service était gratuit les trois premières minutes.
Les utilisateurs du minitel, plus âgés que la moyenne, "ne se mettent pas à
internet et ne vont peut-être jamais s'y mettre", a souligné Michel Datchary.
C'est "une population assez fidèle", a-t-il ajouté. "Il y a un attachement" au
minitel, qui est "presque irrationnel" à l'heure de l'internet roi, toujours
selon Michel Datchary.
Un arrêt du 3611 qui aurait accéléré celui du minitel. "Le 3611 est la
locomotive du minitel", a en effet souligné un porte-parole de France Télécom,
éditeur du 3611. Le minitel compte encore quelque 4.000 éditeurs de services.
Annuaire du 3611 mis à part (25% du trafic), 40% des usages y sont
professionnels, notamment le réseau des débitants de tabac Altadis qui
l'utilise pour se réapprovisionner, les fleuristes d'Interflora pour
communiquer entre eux. Un quart des usages est lié à des services pratiques
(PMU, météo, argus...), un autre quart à la banque-finance et 10% à des
services ludiques, comme l'astrologie ou les sites de charme.
Né en 1982, le minitel, prouesse technologique à son époque, reçoit encore 10
millions de connexions par mois. Il a généré un chiffre d'affaires de 100
millions d'euros en 2007, contre un milliard à son apogée dans les années
1990. On compte 1,5 million de terminaux dédiés et 1,8 millions d'applications
minitel sur ordinateur.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
"Eric Stern" a écrit dans le message de news: gn9vjn$vnl$
JY disait:
l'AXE,le MT25,E10 sont toujours des noms que j'entends quand je suis en relation avec du personnel de gestion FT.ils ralent plus souvent quand il s'agit d'un l'AXE 10 ;).
Thomson : Axe,Mt25....
pas d'accord, l'AXE c'est Ericsson ;)
-Exact. -La société Thomson a racheté Ericson et LMT en 1976. J'ai connu les deux.
Roissy (l'aéroport) est géré par un E10.
Je croyais que c'etait un B3 maintenant. Je me suis trompé.
Peut être moi qui ne suis pas à jours. il y a eu un changement de coeur de chaine fin d'année 2008 mais les alvéoles n'ont pas changé...
le B3 gère les alvéoles E10 ? (déjà que ce ne sont pas les même d'un aérogare à l'autre).
-Pourquoi pas ? Ce sont deux systèmes different. J'ai quand même des doutes.
quid alors des liaisons vers les PAVI ? MIC analogique ? ce qui expliquerait le bas débit du minitel en 1982 ?
Eric
Les transmission du Minitel repose sur la norme CCITT V.23 La bande passante du téléphone (300<3400 Hertz) limite sérieusement l'analogique pour la voie descendante (1200bauds) quant au 75 bauds, c'est largement suffisant pour la voie montante. Le Mic (modulation a impulsion codée) est numérique (sauf erreur).
j'ai quand même un doute à cause d'abus de language de l'époque. Sur les fonds de panier de commutateur privé de l'époque, le bus voie était souvent multiplexé mais non numérisé.ça s'appelait quand même un MIC bien que ça restait analogique.
-Je ne connais pas les centraux privés. -Pour moi un Mic c'est 32 IT (intervalles de temps) 3 pour le service (0,15 et 31) et le reste pour les com.
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était encore trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
ce qui m'ammène à penser qu'en fait à l'époque, on avait le même problème avec la data que maintenant.la plupart des opérateurs ip ne gèrent pas les fax ;)
en parlant de fax,en 85,il ne devait pas en avoir beaucoup en 9600 ;)
Eric
Je ne sais pas. :-)
JY
"Eric Stern" <xdv5@coulommiers.org> a écrit dans le message de news:
gn9vjn$vnl$1@coulommiers.org...
JY disait:
l'AXE,le MT25,E10 sont toujours des noms que j'entends quand je suis en
relation avec du personnel de gestion FT.ils ralent plus souvent quand
il s'agit d'un l'AXE 10 ;).
Thomson : Axe,Mt25....
pas d'accord, l'AXE c'est Ericsson ;)
-Exact.
-La société Thomson a racheté Ericson et LMT en 1976. J'ai connu les deux.
Roissy (l'aéroport) est géré par un E10.
Je croyais que c'etait un B3 maintenant. Je me suis trompé.
Peut être moi qui ne suis pas à jours.
il y a eu un changement de coeur de chaine fin d'année 2008 mais les
alvéoles n'ont pas changé...
le B3 gère les alvéoles E10 ? (déjà que ce ne sont pas les même d'un
aérogare à l'autre).
-Pourquoi pas ? Ce sont deux systèmes different. J'ai quand même des doutes.
quid alors des liaisons vers les PAVI ?
MIC analogique ? ce qui expliquerait le bas débit du minitel en 1982 ?
Eric
Les transmission du Minitel repose sur la norme CCITT V.23
La bande passante du téléphone (300<3400 Hertz) limite sérieusement
l'analogique pour la voie descendante (1200bauds)
quant au 75 bauds, c'est largement suffisant pour la voie montante.
Le Mic (modulation a impulsion codée) est numérique (sauf erreur).
j'ai quand même un doute à cause d'abus de language de l'époque.
Sur les fonds de panier de commutateur privé de l'époque, le bus voie
était
souvent multiplexé mais non numérisé.ça s'appelait quand même un MIC bien
que ça restait analogique.
-Je ne connais pas les centraux privés.
-Pour moi un Mic c'est 32 IT (intervalles de temps) 3 pour le service (0,15
et 31) et le reste pour les com.
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était encore
trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
ce qui m'ammène à penser qu'en fait à l'époque, on avait le même problème
avec la data que maintenant.la plupart des opérateurs ip ne gèrent pas les
fax ;)
en parlant de fax,en 85,il ne devait pas en avoir beaucoup en 9600 ;)
"Eric Stern" a écrit dans le message de news: gn9vjn$vnl$
JY disait:
l'AXE,le MT25,E10 sont toujours des noms que j'entends quand je suis en relation avec du personnel de gestion FT.ils ralent plus souvent quand il s'agit d'un l'AXE 10 ;).
Thomson : Axe,Mt25....
pas d'accord, l'AXE c'est Ericsson ;)
-Exact. -La société Thomson a racheté Ericson et LMT en 1976. J'ai connu les deux.
Roissy (l'aéroport) est géré par un E10.
Je croyais que c'etait un B3 maintenant. Je me suis trompé.
Peut être moi qui ne suis pas à jours. il y a eu un changement de coeur de chaine fin d'année 2008 mais les alvéoles n'ont pas changé...
le B3 gère les alvéoles E10 ? (déjà que ce ne sont pas les même d'un aérogare à l'autre).
-Pourquoi pas ? Ce sont deux systèmes different. J'ai quand même des doutes.
quid alors des liaisons vers les PAVI ? MIC analogique ? ce qui expliquerait le bas débit du minitel en 1982 ?
Eric
Les transmission du Minitel repose sur la norme CCITT V.23 La bande passante du téléphone (300<3400 Hertz) limite sérieusement l'analogique pour la voie descendante (1200bauds) quant au 75 bauds, c'est largement suffisant pour la voie montante. Le Mic (modulation a impulsion codée) est numérique (sauf erreur).
j'ai quand même un doute à cause d'abus de language de l'époque. Sur les fonds de panier de commutateur privé de l'époque, le bus voie était souvent multiplexé mais non numérisé.ça s'appelait quand même un MIC bien que ça restait analogique.
-Je ne connais pas les centraux privés. -Pour moi un Mic c'est 32 IT (intervalles de temps) 3 pour le service (0,15 et 31) et le reste pour les com.
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était encore trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
ce qui m'ammène à penser qu'en fait à l'époque, on avait le même problème avec la data que maintenant.la plupart des opérateurs ip ne gèrent pas les fax ;)
en parlant de fax,en 85,il ne devait pas en avoir beaucoup en 9600 ;)
Eric
Je ne sais pas. :-)
JY
JY
> -Pour moi un Mic c'est 32 IT (intervalles de temps) 3 pour le service (0,15 et 31) et le reste pour les com.
IT 16, et non 15 écrit par erreur.
JY
> -Pour moi un Mic c'est 32 IT (intervalles de temps) 3 pour le service
(0,15 et 31) et le reste pour les com.
> -Pour moi un Mic c'est 32 IT (intervalles de temps) 3 pour le service (0,15 et 31) et le reste pour les com.
IT 16, et non 15 écrit par erreur.
JY
Marc Zirnheld
Luc a écrit :
un clavier (ABCDEF !) ... aussi confortable qu'un xylophone pour la saisie ....
Il n'y en a pas eu beaucoup : j'en ai vu un seul une fois dans une expo ou un salon, ensuite tous les Minitels que j'ai vus, y compris chez moi, ont eu un clavier AZERTY.
Luc a écrit :
un clavier (ABCDEF !) ... aussi confortable qu'un xylophone pour la
saisie ....
Il n'y en a pas eu beaucoup : j'en ai vu un seul une fois dans une expo
ou un salon, ensuite tous les Minitels que j'ai vus, y compris chez moi,
ont eu un clavier AZERTY.
un clavier (ABCDEF !) ... aussi confortable qu'un xylophone pour la saisie ....
Il n'y en a pas eu beaucoup : j'en ai vu un seul une fois dans une expo ou un salon, ensuite tous les Minitels que j'ai vus, y compris chez moi, ont eu un clavier AZERTY.
Marc Zirnheld
Eric Stern a écrit :
Pour revenir en charte, pour le reseau RTC de l'époque, par exemple Barphone, un ancien constructeur Français avait sorti son premier commutateur tout électronique en 84. sur le marché je ne crois pas qu'il y avait en 82 de commutation temporelle. CGCT,Telic,c'était de la commutation spatiale.
Si si, c'était les débuts de la commutation numérique temporelle. Voir les essais de Platon, Socrate du côté de Lannion dans les années 70 (Googlise un peu, j'ai pas le temps maintenant).
Eric Stern a écrit :
Pour revenir en charte, pour le reseau RTC de l'époque, par exemple
Barphone, un ancien constructeur Français avait sorti son premier
commutateur tout électronique en 84.
sur le marché je ne crois pas qu'il y avait en 82 de commutation temporelle.
CGCT,Telic,c'était de la commutation spatiale.
Si si, c'était les débuts de la commutation numérique temporelle. Voir
les essais de Platon, Socrate du côté de Lannion dans les années 70
(Googlise un peu, j'ai pas le temps maintenant).
Pour revenir en charte, pour le reseau RTC de l'époque, par exemple Barphone, un ancien constructeur Français avait sorti son premier commutateur tout électronique en 84. sur le marché je ne crois pas qu'il y avait en 82 de commutation temporelle. CGCT,Telic,c'était de la commutation spatiale.
Si si, c'était les débuts de la commutation numérique temporelle. Voir les essais de Platon, Socrate du côté de Lannion dans les années 70 (Googlise un peu, j'ai pas le temps maintenant).
Marc Zirnheld
Eric Stern a écrit :
Sur les fonds de panier de commutateur privé de l'époque, le bus voie était souvent multiplexé mais non numérisé.ça s'appelait quand même un MIC bien que ça restait analogique.
Oui, aussi appelé PAM (Pulse Amplitude Modulation), mais la diaphonie entre les voies limitait ça à des petites capacités. Ca avait l'inconvénient du numérique (nécessité de filtres anti-repliements avant échantillonnage) sans les avantages mais c'était assez simple.
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était encore trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
Je ne crois pas que ça aie été employé en transmission, hormis à titre expérimental: le moindre problème d'égalisation ou d'écho provoquerait des interférences inter-symboles, et les symboles étant analogiques, ça se traduirait par de la diaphonie entre les voies.
Eric Stern a écrit :
Sur les fonds de panier de commutateur privé de l'époque, le bus voie était
souvent multiplexé mais non numérisé.ça s'appelait quand même un MIC bien
que ça restait analogique.
Oui, aussi appelé PAM (Pulse Amplitude Modulation), mais la diaphonie
entre les voies limitait ça à des petites capacités. Ca avait
l'inconvénient du numérique (nécessité de filtres anti-repliements avant
échantillonnage) sans les avantages mais c'était assez simple.
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était encore
trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
Je ne crois pas que ça aie été employé en transmission, hormis à titre
expérimental: le moindre problème d'égalisation ou d'écho provoquerait
des interférences inter-symboles, et les symboles étant analogiques, ça
se traduirait par de la diaphonie entre les voies.
Sur les fonds de panier de commutateur privé de l'époque, le bus voie était souvent multiplexé mais non numérisé.ça s'appelait quand même un MIC bien que ça restait analogique.
Oui, aussi appelé PAM (Pulse Amplitude Modulation), mais la diaphonie entre les voies limitait ça à des petites capacités. Ca avait l'inconvénient du numérique (nécessité de filtres anti-repliements avant échantillonnage) sans les avantages mais c'était assez simple.
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était encore trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
Je ne crois pas que ça aie été employé en transmission, hormis à titre expérimental: le moindre problème d'égalisation ou d'écho provoquerait des interférences inter-symboles, et les symboles étant analogiques, ça se traduirait par de la diaphonie entre les voies.
L'annuaire électronique par minitel 3611, qui devait fermer en mars après 25 ans d'existence, sera finalement maintenu en service car il compte encore un nombre significatif d'adeptes. Un arrêt du 3611 aurait accéléré celui du minitel. Le service a réalisé 1,2 millions de connexions en décembre 2008 pour un total de 10 millions de connexions par mois sur l'ensembe des services du Minitel.
Une bonne nouvelle pour ceux qui ne se sont pas encore mis à internet et qui préfèrent leur bon vieux minitel. L'annuaire électronique 3611 qui devait fermer en mars après 25 ans d'existence va finalement rester en service. L'annonce a été faite mercredi par PagesJaunes et France Télécom. La décision de fermeture avait été prise en juillet 2008, basée sur une chute de l'audience de plus de 50% par an.
Finalement, "en 2008, le 3611 a encore enregistré plus de 19 millions de connexions", dont 1,2 million en décembre, a déclaré Michel Datchary, directeur général de PagesJaunes, régie publicitaire du 3611. "Si nous arrêtons ce service brutalement en mars comme nous l'avions prévu, il est probable qu'on soit encore, à ce moment-là, sur un rythme encore supérieur à 1 million de connexions par mois, ce qui est beaucoup", a-t-il dit.
Le 3611 sera maintenu à son tarif actuel, de 0,225 euro pour les trois premières minutes puis 0,112 euro par palier de deux minutes. Jusqu'en septembre 2007, le service était gratuit les trois premières minutes.
Les utilisateurs du minitel, plus âgés que la moyenne, "ne se mettent pas à internet et ne vont peut-être jamais s'y mettre", a souligné Michel Datchary. C'est "une population assez fidèle", a-t-il ajouté. "Il y a un attachement" au minitel, qui est "presque irrationnel" à l'heure de l'internet roi, toujours selon Michel Datchary.
Un arrêt du 3611 qui aurait accéléré celui du minitel. "Le 3611 est la locomotive du minitel", a en effet souligné un porte-parole de France Télécom, éditeur du 3611. Le minitel compte encore quelque 4.000 éditeurs de services. Annuaire du 3611 mis à part (25% du trafic), 40% des usages y sont professionnels, notamment le réseau des débitants de tabac Altadis qui l'utilise pour se réapprovisionner, les fleuristes d'Interflora pour communiquer entre eux. Un quart des usages est lié à des services pratiques (PMU, météo, argus...), un autre quart à la banque-finance et 10% à des services ludiques, comme l'astrologie ou les sites de charme.
Né en 1982, le minitel, prouesse technologique à son époque, reçoit encore 10 millions de connexions par mois. Il a généré un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros en 2007, contre un milliard à son apogée dans les années 1990. On compte 1,5 million de terminaux dédiés et 1,8 millions d'applications minitel sur ordinateur.
Thierry VIGNAUD Emetteurs radio et TV : http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Notre partenariat tombe à l'eau!!!
Suite à la décision de France Telecom de fermer définitivement son annuaire électronique (3611) en mars 2009 et après plus de 25 ans, GOTO Software tourne la page minitel en mettant un terme définitif au développement et à la commercialisation des logiciels pour cet environnement.
Pour satisfaire nos clients utilisateurs du célèbre Memotel notre logiciel de récupération d’adresses sur le 3611, un partenariat vient d’être conclu avec notre confrère DITEL éditeur du logiciel Ditel Capture Pro, un des meilleurs logiciels de récupération d’adresses sur les Pages Jaunes actuellement sur le marché, qui vous rendra les mêmes services que Memotel sur le 3611.
Vous trouverez toute l’info sur le site ditel.fr rubrique nos produits, Ditel capture pro ou vous pourrez télécharger et acheter ce logiciel au prix de 149 euros HT soit 190 euros TTC avec une maintenance annuelle au prix de 30 euros pour les années suivantes. Espérant que cette formule vous donnera satisfaction toute l’équipe GOTO et DITEL vous renouvelle ses vœux pour l’année 2009
L'annuaire électronique par minitel 3611, qui devait fermer en mars
après 25
ans d'existence, sera finalement maintenu en service car il compte encore un
nombre significatif d'adeptes. Un arrêt du 3611 aurait
accéléré celui du
minitel. Le service a réalisé 1,2 millions de connexions en
décembre 2008 pour
un total de 10 millions de connexions par mois sur l'ensembe des services du
Minitel.
Une bonne nouvelle pour ceux qui ne se sont pas encore mis à internet et
qui
préfèrent leur bon vieux minitel. L'annuaire électronique
3611 qui devait
fermer en mars après 25 ans d'existence va finalement rester en
service.
L'annonce a été faite mercredi par PagesJaunes et France
Télécom. La décision
de fermeture avait été prise en juillet 2008, basée sur
une chute de
l'audience de plus de 50% par an.
Finalement, "en 2008, le 3611 a encore enregistré plus de 19
millions de
connexions", dont 1,2 million en décembre, a déclaré
Michel Datchary,
directeur général de PagesJaunes, régie publicitaire du
3611. "Si nous
arrêtons ce service brutalement en mars comme nous l'avions prévu,
il est
probable qu'on soit encore, à ce moment-là, sur un rythme encore
supérieur à 1
million de connexions par mois, ce qui est beaucoup", a-t-il dit.
Le 3611 sera maintenu à son tarif actuel, de 0,225 euro pour les trois
premières minutes puis 0,112 euro par palier de deux minutes. Jusqu'en
septembre 2007, le service était gratuit les trois premières
minutes.
Les utilisateurs du minitel, plus âgés que la moyenne, "ne se
mettent pas à
internet et ne vont peut-être jamais s'y mettre", a souligné
Michel Datchary.
C'est "une population assez fidèle", a-t-il ajouté.
"Il y a un attachement" au
minitel, qui est "presque irrationnel" à l'heure de l'internet
roi, toujours
selon Michel Datchary.
Un arrêt du 3611 qui aurait accéléré celui du
minitel. "Le 3611 est la
locomotive du minitel", a en effet souligné un porte-parole de
France Télécom,
éditeur du 3611. Le minitel compte encore quelque 4.000 éditeurs
de services.
Annuaire du 3611 mis à part (25% du trafic), 40% des usages y sont
professionnels, notamment le réseau des débitants de tabac
Altadis qui
l'utilise pour se réapprovisionner, les fleuristes d'Interflora pour
communiquer entre eux. Un quart des usages est lié à des services
pratiques
(PMU, météo, argus...), un autre quart à la banque-finance
et 10% à des
services ludiques, comme l'astrologie ou les sites de charme.
Né en 1982, le minitel, prouesse technologique à son
époque, reçoit encore 10
millions de connexions par mois. Il a généré un chiffre
d'affaires de 100
millions d'euros en 2007, contre un milliard à son apogée dans
les années
1990. On compte 1,5 million de terminaux dédiés et 1,8 millions
d'applications
minitel sur ordinateur.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Notre partenariat tombe à l'eau!!!
Suite à la décision de France Telecom de fermer définitivement son annuaire électronique (3611) en mars 2009 et après plus de 25 ans, GOTO Software tourne la page minitel en mettant un terme définitif au développement et à la commercialisation des logiciels pour cet environnement.
Pour satisfaire nos clients utilisateurs du célèbre Memotel notre logiciel de récupération d’adresses sur le 3611, un partenariat vient d’être conclu avec notre confrère DITEL éditeur du logiciel Ditel Capture Pro, un des meilleurs logiciels de récupération d’adresses sur les Pages Jaunes actuellement sur le marché, qui vous rendra les mêmes services que Memotel sur le 3611.
Vous trouverez toute l’info sur le site ditel.fr rubrique nos produits, Ditel capture pro ou vous pourrez télécharger et acheter ce logiciel au prix de 149 euros HT soit 190 euros TTC avec une maintenance annuelle au prix de 30 euros pour les années suivantes. Espérant que cette formule vous donnera satisfaction toute l’équipe GOTO et DITEL vous renouvelle ses vœux pour l’année 2009
L'annuaire électronique par minitel 3611, qui devait fermer en mars après 25 ans d'existence, sera finalement maintenu en service car il compte encore un nombre significatif d'adeptes. Un arrêt du 3611 aurait accéléré celui du minitel. Le service a réalisé 1,2 millions de connexions en décembre 2008 pour un total de 10 millions de connexions par mois sur l'ensembe des services du Minitel.
Une bonne nouvelle pour ceux qui ne se sont pas encore mis à internet et qui préfèrent leur bon vieux minitel. L'annuaire électronique 3611 qui devait fermer en mars après 25 ans d'existence va finalement rester en service. L'annonce a été faite mercredi par PagesJaunes et France Télécom. La décision de fermeture avait été prise en juillet 2008, basée sur une chute de l'audience de plus de 50% par an.
Finalement, "en 2008, le 3611 a encore enregistré plus de 19 millions de connexions", dont 1,2 million en décembre, a déclaré Michel Datchary, directeur général de PagesJaunes, régie publicitaire du 3611. "Si nous arrêtons ce service brutalement en mars comme nous l'avions prévu, il est probable qu'on soit encore, à ce moment-là, sur un rythme encore supérieur à 1 million de connexions par mois, ce qui est beaucoup", a-t-il dit.
Le 3611 sera maintenu à son tarif actuel, de 0,225 euro pour les trois premières minutes puis 0,112 euro par palier de deux minutes. Jusqu'en septembre 2007, le service était gratuit les trois premières minutes.
Les utilisateurs du minitel, plus âgés que la moyenne, "ne se mettent pas à internet et ne vont peut-être jamais s'y mettre", a souligné Michel Datchary. C'est "une population assez fidèle", a-t-il ajouté. "Il y a un attachement" au minitel, qui est "presque irrationnel" à l'heure de l'internet roi, toujours selon Michel Datchary.
Un arrêt du 3611 qui aurait accéléré celui du minitel. "Le 3611 est la locomotive du minitel", a en effet souligné un porte-parole de France Télécom, éditeur du 3611. Le minitel compte encore quelque 4.000 éditeurs de services. Annuaire du 3611 mis à part (25% du trafic), 40% des usages y sont professionnels, notamment le réseau des débitants de tabac Altadis qui l'utilise pour se réapprovisionner, les fleuristes d'Interflora pour communiquer entre eux. Un quart des usages est lié à des services pratiques (PMU, météo, argus...), un autre quart à la banque-finance et 10% à des services ludiques, comme l'astrologie ou les sites de charme.
Né en 1982, le minitel, prouesse technologique à son époque, reçoit encore 10 millions de connexions par mois. Il a généré un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros en 2007, contre un milliard à son apogée dans les années 1990. On compte 1,5 million de terminaux dédiés et 1,8 millions d'applications minitel sur ordinateur.
Thierry VIGNAUD Emetteurs radio et TV : http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Notre partenariat tombe à l'eau!!!
Suite à la décision de France Telecom de fermer définitivement son annuaire électronique (3611) en mars 2009 et après plus de 25 ans, GOTO Software tourne la page minitel en mettant un terme définitif au développement et à la commercialisation des logiciels pour cet environnement.
Pour satisfaire nos clients utilisateurs du célèbre Memotel notre logiciel de récupération d’adresses sur le 3611, un partenariat vient d’être conclu avec notre confrère DITEL éditeur du logiciel Ditel Capture Pro, un des meilleurs logiciels de récupération d’adresses sur les Pages Jaunes actuellement sur le marché, qui vous rendra les mêmes services que Memotel sur le 3611.
Vous trouverez toute l’info sur le site ditel.fr rubrique nos produits, Ditel capture pro ou vous pourrez télécharger et acheter ce logiciel au prix de 149 euros HT soit 190 euros TTC avec une maintenance annuelle au prix de 30 euros pour les années suivantes. Espérant que cette formule vous donnera satisfaction toute l’équipe GOTO et DITEL vous renouvelle ses vœux pour l’année 2009
Eric Stern
Marc Zirnheld disait:
Eric Stern a écrit :
Oui, aussi appelé PAM (Pulse Amplitude Modulation), mais la diaphonie entre les voies limitait ça à des petites capacités. Ca avait l'inconvénient du numérique (nécessité de filtres anti-repliements avant échantillonnage) sans les avantages mais c'était assez simple.
exactement ce que je recherchais, on en avait parlé il y a quelques années sur un autre groupe ;)
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était encore trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
Je ne crois pas que ça aie été employé en transmission, hormis à titre expérimental: le moindre problème d'égalisation ou d'écho provoquerait des interférences inter-symboles, et les symboles étant analogiques, ça se traduirait par de la diaphonie entre les voies.
j'ai un souvenir d'étude (ya longtemps !) en techno sur l'utilisation d'un système de multiplexeur HF pour les liaisons inter-urbaines ? ....
le principe était de faire passer plusieurs signaux analogiques dans le même tuyau. chaque "canal" etait reprensenté par un porteuse et modulé en AM en bande latérale reduite..
je ne sais pas si ça parlerait à un dino ?
Eric
Marc Zirnheld disait:
Eric Stern a écrit :
Oui, aussi appelé PAM (Pulse Amplitude Modulation), mais la diaphonie
entre les voies limitait ça à des petites capacités. Ca avait
l'inconvénient du numérique (nécessité de filtres anti-repliements avant
échantillonnage) sans les avantages mais c'était assez simple.
exactement ce que je recherchais, on en avait parlé il y a quelques années
sur un autre groupe ;)
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était
encore trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
Je ne crois pas que ça aie été employé en transmission, hormis à titre
expérimental: le moindre problème d'égalisation ou d'écho provoquerait
des interférences inter-symboles, et les symboles étant analogiques, ça
se traduirait par de la diaphonie entre les voies.
j'ai un souvenir d'étude (ya longtemps !) en techno sur l'utilisation d'un
système de multiplexeur HF pour les liaisons inter-urbaines ? ....
le principe était de faire passer plusieurs signaux analogiques dans le même
tuyau.
chaque "canal" etait reprensenté par un porteuse et modulé en AM en bande
latérale reduite..
Oui, aussi appelé PAM (Pulse Amplitude Modulation), mais la diaphonie entre les voies limitait ça à des petites capacités. Ca avait l'inconvénient du numérique (nécessité de filtres anti-repliements avant échantillonnage) sans les avantages mais c'était assez simple.
exactement ce que je recherchais, on en avait parlé il y a quelques années sur un autre groupe ;)
je pense qu'à l'époque, sur les câbles de transit, ce système était encore trés employé.d'où la difficulté de monter en débit en RTC.
Je ne crois pas que ça aie été employé en transmission, hormis à titre expérimental: le moindre problème d'égalisation ou d'écho provoquerait des interférences inter-symboles, et les symboles étant analogiques, ça se traduirait par de la diaphonie entre les voies.
j'ai un souvenir d'étude (ya longtemps !) en techno sur l'utilisation d'un système de multiplexeur HF pour les liaisons inter-urbaines ? ....
le principe était de faire passer plusieurs signaux analogiques dans le même tuyau. chaque "canal" etait reprensenté par un porteuse et modulé en AM en bande latérale reduite..
je ne sais pas si ça parlerait à un dino ?
Eric
tsfallier
32 IT dont 2 de signalisation (0 et 16) puis à la mise en service de la signalisation par canal sémaphore, récupération de l'IT16 devenu libre.
"JY" a écrit dans le message de news:49992668$0$15150$
> -Pour moi un Mic c'est 32 IT (intervalles de temps) 3 pour le service > (0,15 et 31) et le reste pour les com. > IT 16, et non 15 écrit par erreur.
JY
32 IT dont 2 de signalisation (0 et 16) puis à la mise en service de la
signalisation par canal sémaphore, récupération de l'IT16 devenu libre.
"JY" <temp037@fiee.lr> a écrit dans le message de
news:49992668$0$15150$426a34cc@news.free.fr...
> -Pour moi un Mic c'est 32 IT (intervalles de temps) 3 pour le service
> (0,15 et 31) et le reste pour les com.
>
IT 16, et non 15 écrit par erreur.
> 32 IT dont 2 de signalisation (0 et 16) puis à la mise en service de la signalisation par canal sémaphore, récupération de l'IT16 devenu libre.
Exact.
JY
Marc Zirnheld
Eric Stern a écrit :
j'ai un souvenir d'étude (ya longtemps !) en techno sur l'utilisation d'un système de multiplexeur HF pour les liaisons inter-urbaines ? ....
le principe était de faire passer plusieurs signaux analogiques dans le même tuyau. chaque "canal" etait reprensenté par un porteuse et modulé en AM en
> bande latérale reduite..
Bah ça, c'est du bête multiplexage en fréquence, très très très largement utilisé de par le monde (en BLU, donc sans bande latérale résiduelle) aussi bien sur câbles que faisceaux hertziens. On groupe les voies, qui ont une largeur de 4 kHz chacune, par 12, ce qui fait 12-60 kHz dans un sens et 60-108 kHz dans l'autre sens, ça donne un groupe primaire. Et on peut multiplexer des groupes primaires, etc etc. En cherchant bien, il y a peut être encore de tels équipements en service ?
Eric Stern a écrit :
j'ai un souvenir d'étude (ya longtemps !) en techno sur l'utilisation d'un
système de multiplexeur HF pour les liaisons inter-urbaines ? ....
le principe était de faire passer plusieurs signaux analogiques dans le même
tuyau. chaque "canal" etait reprensenté par un porteuse et modulé en AM en
> bande latérale reduite..
Bah ça, c'est du bête multiplexage en fréquence, très très très
largement utilisé de par le monde (en BLU, donc sans bande latérale
résiduelle) aussi bien sur câbles que faisceaux hertziens. On groupe les
voies, qui ont une largeur de 4 kHz chacune, par 12, ce qui fait 12-60
kHz dans un sens et 60-108 kHz dans l'autre sens, ça donne un groupe
primaire. Et on peut multiplexer des groupes primaires, etc etc. En
cherchant bien, il y a peut être encore de tels équipements en service ?
j'ai un souvenir d'étude (ya longtemps !) en techno sur l'utilisation d'un système de multiplexeur HF pour les liaisons inter-urbaines ? ....
le principe était de faire passer plusieurs signaux analogiques dans le même tuyau. chaque "canal" etait reprensenté par un porteuse et modulé en AM en
> bande latérale reduite..
Bah ça, c'est du bête multiplexage en fréquence, très très très largement utilisé de par le monde (en BLU, donc sans bande latérale résiduelle) aussi bien sur câbles que faisceaux hertziens. On groupe les voies, qui ont une largeur de 4 kHz chacune, par 12, ce qui fait 12-60 kHz dans un sens et 60-108 kHz dans l'autre sens, ça donne un groupe primaire. Et on peut multiplexer des groupes primaires, etc etc. En cherchant bien, il y a peut être encore de tels équipements en service ?