Je dois aller dépanner un ami qui a un virus (mais il ne sait pas lequel).
Il est déconnecté en permanance, l'ordi rame, plante souvent,...
Il n'avais pas d'antivirus car il vient juste d'avoir sa connexion ADSL...
Comment le dépanner sachant qu'il n'a plus d'internet (ou juste quelques
secondes d'activités) => impossibilité de faire un liveupdate si je lui
installe un antivirus et impossible donc d'aller sur secuser.com !!!
Que me conseillez-vous comme méthode (je peux lui graver un CD...)
Désolé. Je suis sur Mac, j'ai pas l'habitude des virus...
Bien qu'il ne souffre pas d'autant de failles que les OS MS, il n'en est pas exempt, regardez les dernières ;-) http://www.k-otik.net/bugtraq/05042004.Apple.php
La mise à jour d'avril? Ce n'est pas la dernière... il y en a eu une le 3 mai.
Nota bene : les failles ne concernent pas que les OS. Le format du disque compte aussi (les virus de secteur d'amorce principal, particulièrement difficiles à éradiquer sur PC, n'ont à ma connaissance jamais ennuyé sur Mac) de même que l'articulation matériel-logiciel (ROM, PRAM, BIOS, disque, etc)
Si les Mac ont moins de failles que les PC, c'est d'abord parce que l'ordinateur et son système sont conçus de façon intégrée. Quand la technologie évolue, il n'est donc pas nécessaire de conserver de vieilles dispositions, sources de compromis... et de failles.
En outre, je pense (mais ce serait à démontrer) qu'en dessous d'une certaine fréquence, les failles ne permettent plus aux virus de se propager via internet. Les failles Mac OS X ne sont en général pas actives par défaut. Il faut une configuration particulière pour qu'elles apparaissent. Or il faut que le virus dispose d'un "chemin" continu d'ordinateurs présentant la faille, pour se propager.
Même si les Mac représentaient 20% des ordinateurs (c'est la plus grosse part de marché actuelle en PC) il n'est pas certain que ce soit suffisant. Si chaque ordinateur infecté possède 300 contacts dont 60 qui sont sur Mac, et si la faille n'apparaît que sur 1% des ordinateurs, soit 0,6 ordinateur, alors le virus risque fort de "mourir" sans avoir pu se propager très loin.
A suivre...
Désolé. Je suis sur Mac, j'ai pas l'habitude des virus...
Bien qu'il ne souffre pas d'autant de failles que les OS MS, il n'en
est pas exempt, regardez les dernières ;-)
http://www.k-otik.net/bugtraq/05042004.Apple.php
La mise à jour d'avril? Ce n'est pas la dernière... il y en a eu une le
3 mai.
Nota bene : les failles ne concernent pas que les OS. Le format du disque compte
aussi (les virus de secteur d'amorce principal, particulièrement difficiles à
éradiquer sur PC, n'ont à ma connaissance jamais ennuyé sur Mac) de même que
l'articulation matériel-logiciel (ROM, PRAM, BIOS, disque, etc)
Si les Mac ont moins de failles que les PC, c'est d'abord parce que l'ordinateur
et son système sont conçus de façon intégrée. Quand la technologie évolue, il
n'est donc pas nécessaire de conserver de vieilles dispositions, sources de
compromis... et de failles.
En outre, je pense (mais ce serait à démontrer) qu'en dessous d'une certaine
fréquence, les failles ne permettent plus aux virus de se propager via internet.
Les failles Mac OS X ne sont en général pas actives par défaut. Il faut une
configuration particulière pour qu'elles apparaissent. Or il faut que le virus
dispose d'un "chemin" continu d'ordinateurs présentant la faille, pour se propager.
Même si les Mac représentaient 20% des ordinateurs (c'est la plus grosse part de
marché actuelle en PC) il n'est pas certain que ce soit suffisant.
Si chaque ordinateur infecté possède 300 contacts dont 60 qui sont sur Mac, et
si la faille n'apparaît que sur 1% des ordinateurs, soit 0,6 ordinateur, alors
le virus risque fort de "mourir" sans avoir pu se propager très loin.
Désolé. Je suis sur Mac, j'ai pas l'habitude des virus...
Bien qu'il ne souffre pas d'autant de failles que les OS MS, il n'en est pas exempt, regardez les dernières ;-) http://www.k-otik.net/bugtraq/05042004.Apple.php
La mise à jour d'avril? Ce n'est pas la dernière... il y en a eu une le 3 mai.
Nota bene : les failles ne concernent pas que les OS. Le format du disque compte aussi (les virus de secteur d'amorce principal, particulièrement difficiles à éradiquer sur PC, n'ont à ma connaissance jamais ennuyé sur Mac) de même que l'articulation matériel-logiciel (ROM, PRAM, BIOS, disque, etc)
Si les Mac ont moins de failles que les PC, c'est d'abord parce que l'ordinateur et son système sont conçus de façon intégrée. Quand la technologie évolue, il n'est donc pas nécessaire de conserver de vieilles dispositions, sources de compromis... et de failles.
En outre, je pense (mais ce serait à démontrer) qu'en dessous d'une certaine fréquence, les failles ne permettent plus aux virus de se propager via internet. Les failles Mac OS X ne sont en général pas actives par défaut. Il faut une configuration particulière pour qu'elles apparaissent. Or il faut que le virus dispose d'un "chemin" continu d'ordinateurs présentant la faille, pour se propager.
Même si les Mac représentaient 20% des ordinateurs (c'est la plus grosse part de marché actuelle en PC) il n'est pas certain que ce soit suffisant. Si chaque ordinateur infecté possède 300 contacts dont 60 qui sont sur Mac, et si la faille n'apparaît que sur 1% des ordinateurs, soit 0,6 ordinateur, alors le virus risque fort de "mourir" sans avoir pu se propager très loin.
A suivre...
Gilles Berger Sabbatel
On Mon, 10 May 2004 07:02:05 +0200, Frédéric PONCET wrote:
En outre, je pense (mais ce serait à démontrer) qu'en dessous d'une certaine fréquence, les failles ne permettent plus aux virus de se propager via internet. Les failles Mac OS X ne sont en général pas actives par défaut. Il faut une configuration particulière pour qu'elles apparaissent. Or il faut que le virus dispose d'un "chemin" continu d'ordinateurs présentant la faille, pour se propager.
En fait, les virus utilisent le plus souvent une faille du client de messagerie, ou un défaut de son interface qui permet d'amener l'utilisateur à ouvrir une pièce jointe exécutable en croyant qu'il s'agit d'un document anodin...
Non seulement la plateforme Windows représente plus de 90% du parc informatique, mais la grande majorité de ses utilisateurs utilisent le même client de messagerie. En clair, il suffit qu'un virus cible Windows+Outlook/Outlook Express+MSIE pour infecter potentiellement plus de 80% du parc.
Si, non seulement les systèmes sont diversifiés, mais aussi les clients de messagerie, et les afficheurs de différents types de documents, les virus ne pourront compter pour se propager que sur une petite proportion des machines, et, effectivement, en dessous d'un certain seuil, leur progression risque de s'arrêter très vite. Pour avoir une chance de se propager, un virus devrait non seulement pouvoir s'exécuter sur une proportion importante des plateformes (ce qui n'est déjà pas si simple), mais il devrait être capable de rechercher et d'exploiter de multiples vulnérabilités.
On Mon, 10 May 2004 07:02:05 +0200, Frédéric PONCET wrote:
En outre, je pense (mais ce serait à démontrer) qu'en dessous d'une
certaine fréquence, les failles ne permettent plus aux virus de se
propager via internet. Les failles Mac OS X ne sont en général pas
actives par défaut. Il faut une configuration particulière pour qu'elles
apparaissent. Or il faut que le virus dispose d'un "chemin" continu
d'ordinateurs présentant la faille, pour se propager.
En fait, les virus utilisent le plus souvent une faille du client de
messagerie, ou un défaut de son interface qui permet d'amener
l'utilisateur à ouvrir une pièce jointe exécutable en croyant qu'il
s'agit d'un document anodin...
Non seulement la plateforme Windows représente plus de 90% du parc
informatique, mais la grande majorité de ses utilisateurs utilisent le
même client de messagerie. En clair, il suffit qu'un virus cible
Windows+Outlook/Outlook Express+MSIE pour infecter potentiellement plus de
80% du parc.
Si, non seulement les systèmes sont diversifiés, mais aussi les clients
de messagerie, et les afficheurs de différents types de documents, les
virus ne pourront compter pour se propager que sur une petite proportion
des machines, et, effectivement, en dessous d'un certain seuil, leur
progression risque de s'arrêter très vite. Pour avoir une chance de se
propager, un virus devrait non seulement pouvoir s'exécuter sur une
proportion importante des plateformes (ce qui n'est déjà pas si simple),
mais il devrait être capable de rechercher et d'exploiter de multiples
vulnérabilités.
On Mon, 10 May 2004 07:02:05 +0200, Frédéric PONCET wrote:
En outre, je pense (mais ce serait à démontrer) qu'en dessous d'une certaine fréquence, les failles ne permettent plus aux virus de se propager via internet. Les failles Mac OS X ne sont en général pas actives par défaut. Il faut une configuration particulière pour qu'elles apparaissent. Or il faut que le virus dispose d'un "chemin" continu d'ordinateurs présentant la faille, pour se propager.
En fait, les virus utilisent le plus souvent une faille du client de messagerie, ou un défaut de son interface qui permet d'amener l'utilisateur à ouvrir une pièce jointe exécutable en croyant qu'il s'agit d'un document anodin...
Non seulement la plateforme Windows représente plus de 90% du parc informatique, mais la grande majorité de ses utilisateurs utilisent le même client de messagerie. En clair, il suffit qu'un virus cible Windows+Outlook/Outlook Express+MSIE pour infecter potentiellement plus de 80% du parc.
Si, non seulement les systèmes sont diversifiés, mais aussi les clients de messagerie, et les afficheurs de différents types de documents, les virus ne pourront compter pour se propager que sur une petite proportion des machines, et, effectivement, en dessous d'un certain seuil, leur progression risque de s'arrêter très vite. Pour avoir une chance de se propager, un virus devrait non seulement pouvoir s'exécuter sur une proportion importante des plateformes (ce qui n'est déjà pas si simple), mais il devrait être capable de rechercher et d'exploiter de multiples vulnérabilités.
JacK
sur les news: Gilles Berger Sabbatel signalait:
On Mon, 10 May 2004 07:02:05 +0200, Frédéric PONCET wrote:
En fait, les virus utilisent le plus souvent une faille du client de messagerie, ou un défaut de son interface qui permet d'amener l'utilisateur à ouvrir une pièce jointe exécutable en croyant qu'il s'agit d'un document anodin... La plupart des virus n'exploite pas une faille de la messagerie mais la
crédulité de l'utilisateur qui clique sans réfléchir.
Non seulement la plateforme Windows représente plus de 90% du parc informatique, mais la grande majorité de ses utilisateurs utilisent le même client de messagerie. En clair, il suffit qu'un virus cible Windows+Outlook/Outlook Express+MSIE pour infecter potentiellement plus de 80% du parc. Quel que soit le logiciel de courrier, l'infection aura lieu en cliquant sur
la pièce jointe. Les virus exploitant une faille de l'OS sont plutôt rares mais se répandent très rapidement sur les machines non patchées et sans FW.
Si, non seulement les systèmes sont diversifiés, mais aussi les clients de messagerie, et les afficheurs de différents types de documents, les virus ne pourront compter pour se propager que sur une petite proportion des machines, et, effectivement, en dessous d'un certain seuil, leur progression risque de s'arrêter très vite. Pour avoir une chance de se propager, un virus devrait non seulement pouvoir s'exécuter sur une proportion importante des plateformes (ce qui n'est déjà pas si simple), mais il devrait être capable de rechercher et d'exploiter de multiples vulnérabilités. MS ayant un monopole de fait, ce n'est pas près de changer....
-- JacK
sur les news:pan.2004.05.10.10.42.55.237844@imag.fr
Gilles Berger Sabbatel <Gilles.Berger@imag.fr> signalait:
On Mon, 10 May 2004 07:02:05 +0200, Frédéric PONCET wrote:
En fait, les virus utilisent le plus souvent une faille du client de
messagerie, ou un défaut de son interface qui permet d'amener
l'utilisateur à ouvrir une pièce jointe exécutable en croyant qu'il
s'agit d'un document anodin...
La plupart des virus n'exploite pas une faille de la messagerie mais la
crédulité de l'utilisateur qui clique sans réfléchir.
Non seulement la plateforme Windows représente plus de 90% du parc
informatique, mais la grande majorité de ses utilisateurs utilisent le
même client de messagerie. En clair, il suffit qu'un virus cible
Windows+Outlook/Outlook Express+MSIE pour infecter potentiellement
plus de 80% du parc.
Quel que soit le logiciel de courrier, l'infection aura lieu en cliquant sur
la pièce jointe.
Les virus exploitant une faille de l'OS sont plutôt rares mais se répandent
très rapidement sur les machines non patchées et sans FW.
Si, non seulement les systèmes sont diversifiés, mais aussi les
clients de messagerie, et les afficheurs de différents types de
documents, les virus ne pourront compter pour se propager que sur une
petite proportion des machines, et, effectivement, en dessous d'un
certain seuil, leur progression risque de s'arrêter très vite. Pour
avoir une chance de se propager, un virus devrait non seulement
pouvoir s'exécuter sur une proportion importante des plateformes (ce
qui n'est déjà pas si simple), mais il devrait être capable de
rechercher et d'exploiter de multiples vulnérabilités.
MS ayant un monopole de fait, ce n'est pas près de changer....
On Mon, 10 May 2004 07:02:05 +0200, Frédéric PONCET wrote:
En fait, les virus utilisent le plus souvent une faille du client de messagerie, ou un défaut de son interface qui permet d'amener l'utilisateur à ouvrir une pièce jointe exécutable en croyant qu'il s'agit d'un document anodin... La plupart des virus n'exploite pas une faille de la messagerie mais la
crédulité de l'utilisateur qui clique sans réfléchir.
Non seulement la plateforme Windows représente plus de 90% du parc informatique, mais la grande majorité de ses utilisateurs utilisent le même client de messagerie. En clair, il suffit qu'un virus cible Windows+Outlook/Outlook Express+MSIE pour infecter potentiellement plus de 80% du parc. Quel que soit le logiciel de courrier, l'infection aura lieu en cliquant sur
la pièce jointe. Les virus exploitant une faille de l'OS sont plutôt rares mais se répandent très rapidement sur les machines non patchées et sans FW.
Si, non seulement les systèmes sont diversifiés, mais aussi les clients de messagerie, et les afficheurs de différents types de documents, les virus ne pourront compter pour se propager que sur une petite proportion des machines, et, effectivement, en dessous d'un certain seuil, leur progression risque de s'arrêter très vite. Pour avoir une chance de se propager, un virus devrait non seulement pouvoir s'exécuter sur une proportion importante des plateformes (ce qui n'est déjà pas si simple), mais il devrait être capable de rechercher et d'exploiter de multiples vulnérabilités. MS ayant un monopole de fait, ce n'est pas près de changer....