Suis-je le seul à trouver Ariel Wizman arrogant et suffisant alors qu'il n'a pas
les moyens d'avoir cette attitude ? Je lui chie à la gueule. Si je ne craignais
pas d'être vulgaire, j'irai même jusqu'à dire que je l'apprécie modérement.
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Klim.
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Provincial, mais un peu au fait des choses de l'université, quand mê me :-)
J'ai 30 balais, pour tout te dire, ce qui est très vieux
Oui, c'est énorme. Je ne doute pas que les publicités pour les faut euils qui montent les escaliers ne manquent pas de t'intéresser.
la preuve, on aurait pas voulu de moi pour le casting d'A la Recherche de la Nouvel le Star (age maxi: 28).
Moi non plus. Mais juste parce que je chante mal :-)
-- P.
Maitre Po
"Serafina Pekkala" a écrit
> Y a peu de chances (*), Taupe et deug en même temps, c'est pas facile, > surtout pour un petit branleur Oh... Mais non, mais non, je suis sûre que c'est très exagéré.
Pourtant ;-)
Une sorcière qui ne peut pas croire ça.
Ah, si tu savais, ton chapeau se dresserait sur ta tête ! ... Comment ? il est déjà ? Bon, ben, autre chose alors...
Et pi, vu ton jeune âge, si on avait été dans le même amphi, une estrade nous aurait séparé !
Maître Po
"Serafina Pekkala" <serafina@nospam.com> a écrit
> Y a peu de chances (*), Taupe et deug en même temps, c'est pas facile,
> surtout pour un petit branleur
Oh... Mais non, mais non, je suis sûre que c'est très exagéré.
Pourtant ;-)
Une sorcière qui ne peut pas croire ça.
Ah, si tu savais, ton chapeau se dresserait sur ta tête !
...
Comment ? il est déjà ? Bon, ben, autre chose alors...
Et pi, vu ton jeune âge, si on avait été dans le même amphi, une estrade
nous aurait séparé !
> Y a peu de chances (*), Taupe et deug en même temps, c'est pas facile, > surtout pour un petit branleur Oh... Mais non, mais non, je suis sûre que c'est très exagéré.
Pourtant ;-)
Une sorcière qui ne peut pas croire ça.
Ah, si tu savais, ton chapeau se dresserait sur ta tête ! ... Comment ? il est déjà ? Bon, ben, autre chose alors...
Et pi, vu ton jeune âge, si on avait été dans le même amphi, une estrade nous aurait séparé !
Maître Po
Serafina Pekkala
Pierre Cerf a écrit :
Oui, c'est énorme. Je ne doute pas que les publicités pour les fauteuils qui montent les escaliers ne manquent pas de t'intéresser.
Presqu'autant que les baignoires avec une portière.
-- Une sorcière
Pierre Cerf a écrit :
Oui, c'est énorme. Je ne doute pas que les publicités pour les fauteuils
qui montent les escaliers ne manquent pas de t'intéresser.
Presqu'autant que les baignoires avec une portière.
Ah, si tu savais, ton chapeau se dresserait sur ta tête !
Un mythe s'effondre.
Et pi, vu ton jeune âge, si on avait été dans le même amphi, une estrade nous aurait séparé !
Ne nous fais pas le coup du faux vieux, Papy² l'a usé. Ca ne prend plus. (Tolbiac n'a pas été construite dans les années 60, non plus, hein.)
-- Une sorcière
Maitre Po
"Serafina Pekkala" a écrit
Un mythe s'effondre.
Les mythes t'abusent.
(Tolbiac n'a pas été construite dans les années 60, non plus, hein.)
Pourtant :
Les conditions étaient inhumaines. Comment les professeurs pouvaient-ils donner leurs cours dans une université en chantier ? Les élèves étaient exténués, les yeux rougis par cette lutte incessante contre les éléments extérieurs. En ce début du mois de décembre, les premiers flocons avaient fait leur apparition et constellaient nos cahiers de cristaux givrés. Nous les regardions, hébétés, hagards, incrédules, tandis que des professeurs emmitouflés récitaient sans fin leurs leçons top sues et qui nous semblaient incompréhensibles et si futiles. Nous avions froid, l'enseignement supérieur nous apparaissait comme un monstre redoutable et invincible, le découragement nous guettait. Nous avions conscience de l'enjeu et savions que seuls les plus forts d'entre nous sortiraient vivants d'une telle épreuve. Mais il faisait trop froid. Vraiment trop froid. Je contemplais le ciel menaçant d'un regard désespéré. Mais quand allaient-ils enfin terminer le toit de cet amphithéâtre ?
Tiens, pendant que j'y pense, tu y es ? ;-) http://www.trombi.com/ecole-accueil.cfm?fiche_ecoleC67
Maître Po
"Serafina Pekkala" <serafina@nospam.com> a écrit
Un mythe s'effondre.
Les mythes t'abusent.
(Tolbiac n'a pas été construite dans les années 60, non plus, hein.)
Pourtant :
Les conditions étaient inhumaines. Comment les professeurs pouvaient-ils
donner leurs cours dans une université en chantier ? Les élèves étaient
exténués, les yeux rougis par cette lutte incessante contre les éléments
extérieurs. En ce début du mois de décembre, les premiers flocons avaient
fait leur apparition et constellaient nos cahiers de cristaux givrés. Nous
les regardions, hébétés, hagards, incrédules, tandis que des professeurs
emmitouflés récitaient sans fin leurs leçons top sues et qui nous semblaient
incompréhensibles et si futiles. Nous avions froid, l'enseignement supérieur
nous apparaissait comme un monstre redoutable et invincible, le
découragement nous guettait. Nous avions conscience de l'enjeu et savions
que seuls les plus forts d'entre nous sortiraient vivants d'une telle
épreuve. Mais il faisait trop froid. Vraiment trop froid. Je contemplais le
ciel menaçant d'un regard désespéré. Mais quand allaient-ils enfin terminer
le toit de cet amphithéâtre ?
(Tolbiac n'a pas été construite dans les années 60, non plus, hein.)
Pourtant :
Les conditions étaient inhumaines. Comment les professeurs pouvaient-ils donner leurs cours dans une université en chantier ? Les élèves étaient exténués, les yeux rougis par cette lutte incessante contre les éléments extérieurs. En ce début du mois de décembre, les premiers flocons avaient fait leur apparition et constellaient nos cahiers de cristaux givrés. Nous les regardions, hébétés, hagards, incrédules, tandis que des professeurs emmitouflés récitaient sans fin leurs leçons top sues et qui nous semblaient incompréhensibles et si futiles. Nous avions froid, l'enseignement supérieur nous apparaissait comme un monstre redoutable et invincible, le découragement nous guettait. Nous avions conscience de l'enjeu et savions que seuls les plus forts d'entre nous sortiraient vivants d'une telle épreuve. Mais il faisait trop froid. Vraiment trop froid. Je contemplais le ciel menaçant d'un regard désespéré. Mais quand allaient-ils enfin terminer le toit de cet amphithéâtre ?