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arrêt sur images et Clémenceau...

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den
Bonsoir,

Dans l'émission arrêt sur image de ce dimanche (*) on apprend de la
bouche de Jean-François Bureau, porte-parole du ministère de la
Défense, qu'une lettre du 14/02 du ministère de la défense adressée à
l'association Ban Asbestos comportait une erreur de frappe. Une faute
de frappe qui tombe à pic !

Ce qui semblait un mensonge n'en est plus un.

A bord de l'esquif, ce ne sont pas 22 tonnes d'amiante qui restent
comme indiqué dans cette lettre mais 220 tonnes ; c'est la personne
qui a "dactylographié" le document qui a fait une faute de frappe et
oublié le fatal "0". Tout de fratas à cause d'un zéro oublié.

Donc en aucun cas le ministère n'a voulu mentir, néanmoins le chiffre
de 220 tonnes se rapproche beaucoup plus des estimations des experts.

La faute de frappe tombe à pic, que d'imagination pour retomber sur
ses pattes. Il faut oser !

Ah ces employés de bureau, qu'on mette le coupable à la porte et qu'on
l'affecte au ministère du travail, il pourra également oublier des
zéros dans les statistiques... du chômage.

Bureau et Aliot-Marie, soit vous prenez les gens pour des cons, soit
les gens du cabinet qui signent n'importe quoi sur un sujet aussi
sensible sont des nuls.

Tout laisse à penser que l'esquif reviendra à bon port puisqu'il est
routé par le Cap de Bonne Espérance...

(*) http://www.france5.fr/asi/007548/24/132519.cfm
(index temps =20mn 41s)


Halte aux folies de Donnedieu de Vabres, à la désinformation et aux
compromissions qu'il orchestre :
http://www.eucd.info/index.php?2006/02/16/258-mission-d-enquete-parlementaire
http://eucd.info/petitions/index.php?petition=2

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Felix
MAM démission !!!

a écrit dans le message de news:

Bonsoir,

Dans l'émission arrêt sur image de ce dimanche (*) on apprend de la
bouche de Jean-François Bureau, porte-parole du ministère de la
Défense, qu'une lettre du 14/02 du ministère de la défense adressée à
l'association Ban Asbestos comportait une erreur de frappe. Une faute
de frappe qui tombe à pic !

Ce qui semblait un mensonge n'en est plus un.

A bord de l'esquif, ce ne sont pas 22 tonnes d'amiante qui restent
comme indiqué dans cette lettre mais 220 tonnes ; c'est la personne
qui a "dactylographié" le document qui a fait une faute de frappe et
oublié le fatal "0". Tout de fratas à cause d'un zéro oublié.

Donc en aucun cas le ministère n'a voulu mentir, néanmoins le chiffre
de 220 tonnes se rapproche beaucoup plus des estimations des experts.

La faute de frappe tombe à pic, que d'imagination pour retomber sur
ses pattes. Il faut oser !

Ah ces employés de bureau, qu'on mette le coupable à la porte et qu'on
l'affecte au ministère du travail, il pourra également oublier des
zéros dans les statistiques... du chômage.

Bureau et Aliot-Marie, soit vous prenez les gens pour des cons, soit
les gens du cabinet qui signent n'importe quoi sur un sujet aussi
sensible sont des nuls.

Tout laisse à penser que l'esquif reviendra à bon port puisqu'il est
routé par le Cap de Bonne Espérance...

(*) http://www.france5.fr/asi/007548/24/132519.cfm
(index temps mn 41s)


Halte aux folies de Donnedieu de Vabres, à la désinformation et aux
compromissions qu'il orchestre :
http://www.eucd.info/index.php?2006/02/16/258-mission-d-enquete-parlementaire
http://eucd.info/petitions/index.php?petition=2