Bonjour,
j'utilise Linux depuis deja un bon moment, et j'arrive tout doucettement
à l'autonomie :)
j'installe et utilise une distro Linux...je mets à jour, j'ajoute ou
enleve des pgm je suis content :-)
mais;
je ne suis pas a l'aise du tout en console
certains problèmes restent insolubles à mon niveau de connaissances
Je voudrais progresser mais je ne sais pas comment faire
Dans le message <news:coeq1s$47i$, *JRD* tapota sur f.c.o.l.configuration :
Bonjour,
Th. Boudet wrote:
Rakotomandimby (R12y) Mihamina wrote:
Même sans connaissance, tu peux rédiger et traduire de la doc par exemple.
Est-ce de l'ironie ?
Même pas!
Et après, on s'étonne de la réputation (fondée?) Qui ça « on » ?
Reformulation: La réputation et la qualité des informaticiens est parfois (souvent?) surprenantes dans les entreprises (dans le milieu professionnel!).
Il suffit d'avoir un entretien avec un DRH pour se rendre compte du décalage qu'il existe entre les informaticiens, les compétences en informatiques et les usagers des outils informatiques.
J'ai même vu un DSI (non-informaticien de formation, faut-il le préciser) expliquer à des comités de direction et de pilotages que les informaticiens étaient interchangeables.
Quand je rencontre des "développeurs" qui ne savent pas la différence entre interface et implémentation; qui pensent qu'une interface est forcément graphique; que la portabilité est inutile. Je n'ose pas leur parler de généricité ou même de polymorphisme.
Alors de là, à interchanger un "développeur", un "DBA" et "sysadmin".
et de la qualité des informaticiens (tout niveaux confondus, du bac au doctorat).
Généralement, moins ils ont fait d'étude, plus ils sont qualifiés. Pensée unique.
Si Linus n'avait pas fait d'étude en informatique, nous serions en train de payer des licences minix. ;-)
En informatique, la pratique et l'autodidacte, il n'y a que ça de vrai. L'autodidacte n'a qu'à passer des examens en candidat libre (c'est le
principe même de l'Université). N'importe qui peut passer des examens (même sans le bac). Cela démontrera son niveau.
En informatique, c'est la pratique et le pragmatisme qui sont importants. Les autodidactes sont souvent des bons techniciens bureautiques et micro-informatiques. Ce sont rarement de bons techniciens réseaux. Ils ne sont jamais de bons "ingénieurs systèmes" mais de bons "techniciens systèmes". Mais même certains qui font de longues études en informatiques ne sont pas forcément de bons informaticiens (que ce soit DBA, développeur ou sysadmin).
NB: Je précise que je parle du monde professionnel, pas de l'informatique personnelle (qui dans ce cas dépend de la passion de l'usager, au même titre que l'automobile ou la mode vestimentaire).
JRD. -- jerome (dot) drapeau <at> free (dot) fr http://jerome.drapeau.free.fr La critique est aisée, l'art est difficile.
Bonsoir,
TiChou <gro.uohcit@uohcit> wrote:
Dans le message <news:coeq1s$47i$1@localhost.localdomain>,
*JRD* tapota sur f.c.o.l.configuration :
Bonjour,
Th. Boudet <piggvar@domaine.invalid> wrote:
Rakotomandimby (R12y) Mihamina wrote:
Même sans connaissance, tu peux rédiger et traduire de la doc par
exemple.
Est-ce de l'ironie ?
Même pas!
Et après, on s'étonne de la réputation (fondée?)
Qui ça « on » ?
Reformulation:
La réputation et la qualité des informaticiens est parfois (souvent?)
surprenantes dans les entreprises (dans le milieu professionnel!).
Il suffit d'avoir un entretien avec un DRH pour se rendre compte du
décalage qu'il existe entre les informaticiens, les compétences en
informatiques et les usagers des outils informatiques.
J'ai même vu un DSI (non-informaticien de formation, faut-il le
préciser) expliquer à des comités de direction et de pilotages que les
informaticiens étaient interchangeables.
Quand je rencontre des "développeurs" qui ne savent pas la différence
entre interface et implémentation; qui pensent qu'une interface est
forcément graphique; que la portabilité est inutile. Je n'ose pas leur
parler de généricité ou même de polymorphisme.
Alors de là, à interchanger un "développeur", un "DBA" et "sysadmin".
et de la qualité des informaticiens (tout niveaux confondus, du bac au
doctorat).
Généralement, moins ils ont fait d'étude, plus ils sont qualifiés.
Pensée unique.
Si Linus n'avait pas fait d'étude en informatique, nous serions en
train de payer des licences minix. ;-)
En informatique, la pratique et l'autodidacte, il n'y a que ça de vrai.
L'autodidacte n'a qu'à passer des examens en candidat libre (c'est le
principe même de l'Université). N'importe qui peut passer des examens
(même sans le bac). Cela démontrera son niveau.
En informatique, c'est la pratique et le pragmatisme qui sont
importants. Les autodidactes sont souvent des bons techniciens
bureautiques et micro-informatiques. Ce sont rarement de bons
techniciens réseaux. Ils ne sont jamais de bons "ingénieurs systèmes"
mais de bons "techniciens systèmes". Mais même certains qui font de
longues études en informatiques ne sont pas forcément de bons
informaticiens (que ce soit DBA, développeur ou sysadmin).
NB: Je précise que je parle du monde professionnel, pas de
l'informatique personnelle (qui dans ce cas dépend de la passion de
l'usager, au même titre que l'automobile ou la mode vestimentaire).
JRD.
--
jerome (dot) drapeau <at> free (dot) fr
http://jerome.drapeau.free.fr
La critique est aisée, l'art est difficile.
Dans le message <news:coeq1s$47i$, *JRD* tapota sur f.c.o.l.configuration :
Bonjour,
Th. Boudet wrote:
Rakotomandimby (R12y) Mihamina wrote:
Même sans connaissance, tu peux rédiger et traduire de la doc par exemple.
Est-ce de l'ironie ?
Même pas!
Et après, on s'étonne de la réputation (fondée?) Qui ça « on » ?
Reformulation: La réputation et la qualité des informaticiens est parfois (souvent?) surprenantes dans les entreprises (dans le milieu professionnel!).
Il suffit d'avoir un entretien avec un DRH pour se rendre compte du décalage qu'il existe entre les informaticiens, les compétences en informatiques et les usagers des outils informatiques.
J'ai même vu un DSI (non-informaticien de formation, faut-il le préciser) expliquer à des comités de direction et de pilotages que les informaticiens étaient interchangeables.
Quand je rencontre des "développeurs" qui ne savent pas la différence entre interface et implémentation; qui pensent qu'une interface est forcément graphique; que la portabilité est inutile. Je n'ose pas leur parler de généricité ou même de polymorphisme.
Alors de là, à interchanger un "développeur", un "DBA" et "sysadmin".
et de la qualité des informaticiens (tout niveaux confondus, du bac au doctorat).
Généralement, moins ils ont fait d'étude, plus ils sont qualifiés. Pensée unique.
Si Linus n'avait pas fait d'étude en informatique, nous serions en train de payer des licences minix. ;-)
En informatique, la pratique et l'autodidacte, il n'y a que ça de vrai. L'autodidacte n'a qu'à passer des examens en candidat libre (c'est le
principe même de l'Université). N'importe qui peut passer des examens (même sans le bac). Cela démontrera son niveau.
En informatique, c'est la pratique et le pragmatisme qui sont importants. Les autodidactes sont souvent des bons techniciens bureautiques et micro-informatiques. Ce sont rarement de bons techniciens réseaux. Ils ne sont jamais de bons "ingénieurs systèmes" mais de bons "techniciens systèmes". Mais même certains qui font de longues études en informatiques ne sont pas forcément de bons informaticiens (que ce soit DBA, développeur ou sysadmin).
NB: Je précise que je parle du monde professionnel, pas de l'informatique personnelle (qui dans ce cas dépend de la passion de l'usager, au même titre que l'automobile ou la mode vestimentaire).
JRD. -- jerome (dot) drapeau <at> free (dot) fr http://jerome.drapeau.free.fr La critique est aisée, l'art est difficile.
louis SIMON
Rakotomandimby (R12y) Mihamina wrote:
Même sans connaissance, tu peux rédiger et traduire de la doc par exemple.
Est-ce de l'ironie ?
Non... il n'a pas lu que j'etais un francophone anglophobe :) a moins que, s'il l'avait lu...oui...ca pourrait etre pris pour de l'ironie :) Louis
Rakotomandimby (R12y) Mihamina wrote:
Même sans connaissance, tu peux rédiger et traduire de la doc par
exemple.
Est-ce de l'ironie ?
Non... il n'a pas lu que j'etais un francophone anglophobe :)
a moins que, s'il l'avait lu...oui...ca pourrait etre pris pour de
l'ironie :)
Louis
Même sans connaissance, tu peux rédiger et traduire de la doc par exemple.
Est-ce de l'ironie ?
Non... il n'a pas lu que j'etais un francophone anglophobe :) a moins que, s'il l'avait lu...oui...ca pourrait etre pris pour de l'ironie :) Louis
remy
"louis SIMON" a écrit dans le message de news: 41a99aff$0$13467$
Bonjour, j'utilise Linux depuis deja un bon moment, et j'arrive tout doucettement à l'autonomie :) j'installe et utilise une distro Linux...je mets à jour, j'ajoute ou enleve des pgm je suis content :-) mais; je ne suis pas a l'aise du tout en console certains problèmes restent insolubles à mon niveau de connaissances Je voudrais progresser mais je ne sais pas comment faire
des idees????
tout depend de test objectif si c'est pour trouver du travail dans l'administration des bouquins + certification redhat par exemple ca marche bien voir l'anpe
pour faire de la programmation au minimum un bouquin sur UML ,Design Paterne,... histoire de comprendre le pourquoi du comment et si tu survis a ce type de literature un bouquin sur un langage pour la traduction et pour le travail un prog gpl ou une contribution sur ton site
pour le reste c'est comme tu veux
mais 2 centimes de contribution remy
merci Louis
"louis SIMON" <louis.simon@skynet.be> a écrit dans le message de news:
41a99aff$0$13467$ba620e4c@news.skynet.be...
Bonjour,
j'utilise Linux depuis deja un bon moment, et j'arrive tout doucettement
à l'autonomie :)
j'installe et utilise une distro Linux...je mets à jour, j'ajoute ou
enleve des pgm je suis content :-)
mais;
je ne suis pas a l'aise du tout en console
certains problèmes restent insolubles à mon niveau de connaissances
Je voudrais progresser mais je ne sais pas comment faire
des idees????
tout depend de test objectif
si c'est pour trouver du travail
dans l'administration des bouquins +
certification redhat par exemple
ca marche bien voir l'anpe
pour faire de la programmation
au minimum un bouquin sur UML ,Design Paterne,...
histoire de comprendre le pourquoi du comment
et si tu survis a ce type de literature
un bouquin sur un langage pour la traduction
et pour le travail un prog gpl ou une contribution sur ton site
"louis SIMON" a écrit dans le message de news: 41a99aff$0$13467$
Bonjour, j'utilise Linux depuis deja un bon moment, et j'arrive tout doucettement à l'autonomie :) j'installe et utilise une distro Linux...je mets à jour, j'ajoute ou enleve des pgm je suis content :-) mais; je ne suis pas a l'aise du tout en console certains problèmes restent insolubles à mon niveau de connaissances Je voudrais progresser mais je ne sais pas comment faire
des idees????
tout depend de test objectif si c'est pour trouver du travail dans l'administration des bouquins + certification redhat par exemple ca marche bien voir l'anpe
pour faire de la programmation au minimum un bouquin sur UML ,Design Paterne,... histoire de comprendre le pourquoi du comment et si tu survis a ce type de literature un bouquin sur un langage pour la traduction et pour le travail un prog gpl ou une contribution sur ton site
pour le reste c'est comme tu veux
mais 2 centimes de contribution remy
merci Louis
Jérémy JUST
On Sun, 28 Nov 2004 11:14:41 GMT françois wrote:
pourquoi pas perl, et enfin le C
Le risque est de rester à Perl parce qu'il permet de tout faire, plus ou moins bien.
Dans une démarche d'apprentissage, il vaut mieux commencer par C, qui force d'apprendre à développer de façon raisonnée, dans un cadre relativement rigoureux. Perl est un très mauvais langage d'enseignement.
-- Jérémy JUST
On Sun, 28 Nov 2004 11:14:41 GMT
françois <francois.dimo@hotmail.coml> wrote:
pourquoi pas perl, et enfin le C
Le risque est de rester à Perl parce qu'il permet de tout faire, plus
ou moins bien.
Dans une démarche d'apprentissage, il vaut mieux commencer par C, qui
force d'apprendre à développer de façon raisonnée, dans un cadre
relativement rigoureux.
Perl est un très mauvais langage d'enseignement.
Le risque est de rester à Perl parce qu'il permet de tout faire, plus ou moins bien.
Dans une démarche d'apprentissage, il vaut mieux commencer par C, qui force d'apprendre à développer de façon raisonnée, dans un cadre relativement rigoureux. Perl est un très mauvais langage d'enseignement.
-- Jérémy JUST
Jérémy JUST
On file droit vers le débat, donc je mets le FU2 qui va bien et je laisse plus de texte que de coutume.
On Wed, 01 Dec 2004 10:31:29 GMT françois wrote:
pourquoi pas perl, et enfin le C Le risque est de rester à Perl parce qu'il permet de tout faire,
plus ou moins bien.
Dans une démarche d'apprentissage, il vaut mieux commencer par C, qui force d'apprendre à développer de façon raisonnée, dans un cadre relativement rigoureux.
effectivement
Perl est un très mauvais langage d'enseignement.
pourquoi? trop de façon différente de faire la même chose?
Oui. Enfin, ce qui est gênant, ce n'est pas d'avoir beaucoup de possibilités, c'est que certaines soient inefficaces, illisibles ou peu robustes. Il est trop facile pour un débutant en programmation de prendre des mauvaises habitudes avec Perl; ce n'est qu'avec de l'expérience dans des langages moins souples qu'on peut prendre conscience rapidement des erreurs à ne pas commettre.
J'ai appris à programmer en BASIC, et encore maintenant, j'ai parfois de fâcheuses réminiscences... Ce sera pareil pour quelqu'un qui a appris en Perl (sauf qu'avec Perl, à la différence du BASIC, il est possible et conseillé d'écrire proprement).
C'est aussi un langage assez difficile à enseigner du fait du grand nombre de constructions synonymes, de l'écriture très compacte, des possibilités de confusion entre les différents types et des variables implicites.
Il va sans dire que tous ces « inconvénients pédagogiques » sont vus comme des avantages quand on programme quotidiennement avec!!
-- Jérémy JUST
On file droit vers le débat, donc je mets le FU2 qui va bien et je
laisse plus de texte que de coutume.
On Wed, 01 Dec 2004 10:31:29 GMT
françois <francois.dimo@hotmail.coml> wrote:
pourquoi pas perl, et enfin le C
Le risque est de rester à Perl parce qu'il permet de tout faire,
plus ou moins bien.
Dans une démarche d'apprentissage, il vaut mieux commencer par C,
qui force d'apprendre à développer de façon raisonnée, dans un cadre
relativement rigoureux.
effectivement
Perl est un très mauvais langage d'enseignement.
pourquoi? trop de façon différente de faire la même chose?
Oui. Enfin, ce qui est gênant, ce n'est pas d'avoir beaucoup de
possibilités, c'est que certaines soient inefficaces, illisibles ou peu
robustes.
Il est trop facile pour un débutant en programmation de prendre des
mauvaises habitudes avec Perl; ce n'est qu'avec de l'expérience dans des
langages moins souples qu'on peut prendre conscience rapidement des
erreurs à ne pas commettre.
J'ai appris à programmer en BASIC, et encore maintenant, j'ai parfois
de fâcheuses réminiscences... Ce sera pareil pour quelqu'un qui a appris
en Perl (sauf qu'avec Perl, à la différence du BASIC, il est possible et
conseillé d'écrire proprement).
C'est aussi un langage assez difficile à enseigner du fait du grand
nombre de constructions synonymes, de l'écriture très compacte, des
possibilités de confusion entre les différents types et des variables
implicites.
Il va sans dire que tous ces « inconvénients pédagogiques » sont vus
comme des avantages quand on programme quotidiennement avec!!
On file droit vers le débat, donc je mets le FU2 qui va bien et je laisse plus de texte que de coutume.
On Wed, 01 Dec 2004 10:31:29 GMT françois wrote:
pourquoi pas perl, et enfin le C Le risque est de rester à Perl parce qu'il permet de tout faire,
plus ou moins bien.
Dans une démarche d'apprentissage, il vaut mieux commencer par C, qui force d'apprendre à développer de façon raisonnée, dans un cadre relativement rigoureux.
effectivement
Perl est un très mauvais langage d'enseignement.
pourquoi? trop de façon différente de faire la même chose?
Oui. Enfin, ce qui est gênant, ce n'est pas d'avoir beaucoup de possibilités, c'est que certaines soient inefficaces, illisibles ou peu robustes. Il est trop facile pour un débutant en programmation de prendre des mauvaises habitudes avec Perl; ce n'est qu'avec de l'expérience dans des langages moins souples qu'on peut prendre conscience rapidement des erreurs à ne pas commettre.
J'ai appris à programmer en BASIC, et encore maintenant, j'ai parfois de fâcheuses réminiscences... Ce sera pareil pour quelqu'un qui a appris en Perl (sauf qu'avec Perl, à la différence du BASIC, il est possible et conseillé d'écrire proprement).
C'est aussi un langage assez difficile à enseigner du fait du grand nombre de constructions synonymes, de l'écriture très compacte, des possibilités de confusion entre les différents types et des variables implicites.
Il va sans dire que tous ces « inconvénients pédagogiques » sont vus comme des avantages quand on programme quotidiennement avec!!