Ma femme a un contrat d'assurance-vie dont le bénéficiaire est "mon
époux ou, à défaut, nos deux enfants".
Que se passera-t-il si elle décède avant moi et que je refuse de
percevoir le montant de l'assurance ? Ira-t-il directement, sans frais,
à nos enfants ?
Si ce n'est pas le cas, je voudrais qu'elle puisse modifier la clause
pour que je puisse avoir la possibilité (mais non l'obligation), si elle
décède avant moi, de refuser le montant du contrat pour que mes enfants
en perçoivent la totalité.
Savez-vous comment il faudrait modifier la clause bénéficiaire pour ceci ?
"Laxatif." a écrit dans le message de news: 4a348261$0$17082$
: Bonjour : : Ma femme a un contrat d'assurance-vie dont le bénéficiaire est "mon : époux ou, à défaut, nos deux enfants". : Que se passera-t-il si elle décède avant moi et que je refuse de : percevoir le montant de l'assurance ? Ira-t-il directement, sans frais, : à nos enfants ? : : Si ce n'est pas le cas, je voudrais qu'elle puisse modifier la clause : pour que je puisse avoir la possibilité (mais non l'obligation), si elle : décède avant moi, de refuser le montant du contrat pour que mes enfants : en perçoivent la totalité. : : Savez-vous comment il faudrait modifier la clause bénéficiaire pour ceci ? : : Merci : : Jean-Pierre
Il faut reformuler les bénéficiaires de l'assurance-vie soit par exemple: A mon décès le bénéficiaire est "mon époux ou, à défaut, nos deux enfants. Dans le cas ou mon époux sain de corps et d'esprit refuserait de percevoir cette somme, nos deux enfants X&Y percevront cette somme intégralement".
Oui Laxatif, mais reformuler la clause bénéficiaire ne change pas les effets par rapport à la formualtion actuelle, donc inutile.
"Laxatif." <Laxatif@serrelesfesses.fr> a écrit dans le message de news:
4a348261$0$17082$ba4acef3@news.orange.fr...
: Bonjour
:
: Ma femme a un contrat d'assurance-vie dont le bénéficiaire est "mon
: époux ou, à défaut, nos deux enfants".
: Que se passera-t-il si elle décède avant moi et que je refuse de
: percevoir le montant de l'assurance ? Ira-t-il directement, sans frais,
: à nos enfants ?
:
: Si ce n'est pas le cas, je voudrais qu'elle puisse modifier la clause
: pour que je puisse avoir la possibilité (mais non l'obligation), si elle
: décède avant moi, de refuser le montant du contrat pour que mes enfants
: en perçoivent la totalité.
:
: Savez-vous comment il faudrait modifier la clause bénéficiaire pour ceci
?
:
: Merci
:
: Jean-Pierre
Il faut reformuler les bénéficiaires de l'assurance-vie soit par exemple:
A mon décès le bénéficiaire est "mon époux ou, à défaut, nos deux enfants.
Dans le cas ou mon époux sain de corps et d'esprit refuserait de percevoir
cette somme, nos deux enfants X&Y percevront cette somme intégralement".
Oui Laxatif, mais reformuler la clause bénéficiaire ne change pas les effets
par rapport à la formualtion actuelle, donc inutile.
"Laxatif." a écrit dans le message de news: 4a348261$0$17082$
: Bonjour : : Ma femme a un contrat d'assurance-vie dont le bénéficiaire est "mon : époux ou, à défaut, nos deux enfants". : Que se passera-t-il si elle décède avant moi et que je refuse de : percevoir le montant de l'assurance ? Ira-t-il directement, sans frais, : à nos enfants ? : : Si ce n'est pas le cas, je voudrais qu'elle puisse modifier la clause : pour que je puisse avoir la possibilité (mais non l'obligation), si elle : décède avant moi, de refuser le montant du contrat pour que mes enfants : en perçoivent la totalité. : : Savez-vous comment il faudrait modifier la clause bénéficiaire pour ceci ? : : Merci : : Jean-Pierre
Il faut reformuler les bénéficiaires de l'assurance-vie soit par exemple: A mon décès le bénéficiaire est "mon époux ou, à défaut, nos deux enfants. Dans le cas ou mon époux sain de corps et d'esprit refuserait de percevoir cette somme, nos deux enfants X&Y percevront cette somme intégralement".
Oui Laxatif, mais reformuler la clause bénéficiaire ne change pas les effets par rapport à la formualtion actuelle, donc inutile.
MichelB
Colonel Kilgore a écrit :
RVG a présenté l'énoncé suivant :
belloy a écrit :
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au béné ficiaire et n'entre pas dans la succession. Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: u ne AV se transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sark ozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai. Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une assurance décès.
Ce que vous décrivez serait vrai pour un contrat de capitalisation (proche parent de l'assurance vie, mais ce n'est pas la même chose).
-- Cordialement MichelB
Colonel Kilgore a écrit :
RVG a présenté l'énoncé suivant :
belloy a écrit :
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au béné ficiaire et
n'entre pas dans la succession.
Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: u ne AV se
transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sark ozy
2006).
Non, ce n'est pas vrai.
Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les intérêts
se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une
assurance décès.
Ce que vous décrivez serait vrai pour un contrat de capitalisation
(proche parent de l'assurance vie, mais ce n'est pas la même chose).
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au béné ficiaire et n'entre pas dans la succession. Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: u ne AV se transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sark ozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai. Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une assurance décès.
Ce que vous décrivez serait vrai pour un contrat de capitalisation (proche parent de l'assurance vie, mais ce n'est pas la même chose).
-- Cordialement MichelB
Colonel Kilgore
MichelB a exposé le 14/06/2009 :
Colonel Kilgore a écrit :
RVG a présenté l'énoncé suivant :
belloy a écrit :
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bénéficiaire et n'entre pas dans la succession. Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une AV se transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sarkozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai. Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et récemment - ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui touche le capital.
-- You will understand Captain, that this mission doesn't exist, nor will nerver exist.
MichelB a exposé le 14/06/2009 :
Colonel Kilgore a écrit :
RVG a présenté l'énoncé suivant :
belloy a écrit :
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bénéficiaire et
n'entre pas dans la succession.
Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une AV se
transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sarkozy
2006).
Non, ce n'est pas vrai.
Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les
intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance
vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et récemment
- ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le
bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une
assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui touche le
capital.
--
You will understand Captain, that this mission doesn't exist, nor will
nerver exist.
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bénéficiaire et n'entre pas dans la succession. Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une AV se transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sarkozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai. Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et récemment - ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui touche le capital.
-- You will understand Captain, that this mission doesn't exist, nor will nerver exist.
MichelB
Colonel Kilgore a écrit :
MichelB a exposé le 14/06/2009 :
Colonel Kilgore a écrit :
RVG a présenté l'énoncé suivant :
belloy a écrit :
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bén éficiaire et n'entre pas dans la succession. Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une AV se transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sarkozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai. Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et l es intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et ré cemment - ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui to uche le capital.
Oui, j'ai mal interprété la réponse.
-- Cordialement MichelB
Colonel Kilgore a écrit :
MichelB a exposé le 14/06/2009 :
Colonel Kilgore a écrit :
RVG a présenté l'énoncé suivant :
belloy a écrit :
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bén éficiaire
et n'entre pas dans la succession.
Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une
AV se
transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme
Sarkozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai.
Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et l es
intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une
assurance vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et ré cemment -
ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le
bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une
assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui to uche le capital.
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bén éficiaire et n'entre pas dans la succession. Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une AV se transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sarkozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai. Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et l es intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et ré cemment - ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui to uche le capital.
Oui, j'ai mal interprété la réponse.
-- Cordialement MichelB
JCL
JPT a exposé le 12/06/2009 :
Bonjour
Ma femme a un contrat d'assurance-vie dont le bénéficiaire est "mon époux ou, à défaut, nos deux enfants". Que se passera-t-il si elle décède avant moi et que je refuse de percevoir le montant de l'assurance ? Ira-t-il directement, sans frais, à nos enfants ?
Si ce n'est pas le cas, je voudrais qu'elle puisse modifier la clause pour que je puisse avoir la possibilité (mais non l'obligation), si elle décède avant moi, de refuser le montant du contrat pour que mes enfants en perçoivent la totalité.
Savez-vous comment il faudrait modifier la clause bénéficiaire pour ceci ?
-- Jean-Claude http://www.jcl.new.fr La photo numérique pour débutants et futurs débutants
JPT a exposé le 12/06/2009 :
Bonjour
Ma femme a un contrat d'assurance-vie dont le bénéficiaire est "mon époux ou,
à défaut, nos deux enfants".
Que se passera-t-il si elle décède avant moi et que je refuse de percevoir le
montant de l'assurance ? Ira-t-il directement, sans frais, à nos enfants ?
Si ce n'est pas le cas, je voudrais qu'elle puisse modifier la clause pour
que je puisse avoir la possibilité (mais non l'obligation), si elle décède
avant moi, de refuser le montant du contrat pour que mes enfants en
perçoivent la totalité.
Savez-vous comment il faudrait modifier la clause bénéficiaire pour ceci ?
Ma femme a un contrat d'assurance-vie dont le bénéficiaire est "mon époux ou, à défaut, nos deux enfants". Que se passera-t-il si elle décède avant moi et que je refuse de percevoir le montant de l'assurance ? Ira-t-il directement, sans frais, à nos enfants ?
Si ce n'est pas le cas, je voudrais qu'elle puisse modifier la clause pour que je puisse avoir la possibilité (mais non l'obligation), si elle décède avant moi, de refuser le montant du contrat pour que mes enfants en perçoivent la totalité.
Savez-vous comment il faudrait modifier la clause bénéficiaire pour ceci ?
-- Jean-Claude http://www.jcl.new.fr La photo numérique pour débutants et futurs débutants
RVG
Colonel Kilgore a écrit :
MichelB a exposé le 14/06/2009 :
Colonel Kilgore a écrit :
RVG a présenté l'énoncé suivant :
belloy a écrit :
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bénéficiaire et n'entre pas dans la succession. Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une AV se transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sarkozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai. Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et récemment - ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui touche le capital.
Ben non: au décès de mon père, soit je touchais 2/3 de son AV et ma mère 1/3, soit je laissais à ma mère l'usufruit du bénéfice sans qu'elle puisse toucher au capital jusqu'à son décès. Similaire à un bien immobilier au nom du défunt pour le conjoint qui continue à l'habiter.
"La première arme de la Résistance c'est l'information." Lucie Aubrac
Colonel Kilgore a écrit :
MichelB a exposé le 14/06/2009 :
Colonel Kilgore a écrit :
RVG a présenté l'énoncé suivant :
belloy a écrit :
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bénéficiaire
et n'entre pas dans la succession.
Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une
AV se
transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme
Sarkozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai.
Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les
intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une
assurance vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et récemment -
ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le
bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une
assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui touche le capital.
Ben non: au décès de mon père, soit je touchais 2/3 de son AV et ma mère
1/3, soit je laissais à ma mère l'usufruit du bénéfice sans qu'elle
puisse toucher au capital jusqu'à son décès. Similaire à un bien
immobilier au nom du défunt pour le conjoint qui continue à l'habiter.
Sauf que le capital au décès de l'assuré est versé au bénéficiaire et n'entre pas dans la succession. Quel rapport avec la transmission d'un immeuble ?
C'est ce que le notaire nous a expliqué à la mort de mon père: une AV se transmet dans les mêmes termes qu'un bien immobilier (réforme Sarkozy 2006).
Non, ce n'est pas vrai. Une assurance-vie est hors succession, comme l'a écrit Belloy.
Non, l'assurance vie est un placement d'épargne dont le capital et les intérêts se transmettent. Il faut donc savoir si il s'agit d'une assurance vie ou d'une assurance décès.
????
J'ai malheuresement eu à vérifier - à plusieurs reprises, et récemment - ce qui se passe pour une assurance vie, au décès du souscripteur.
Tout se passe "hors succession", sans intervention du notaire. Seul le bénéficiaire touche, la totalité, point final.
Et sur ce point aucune différence avec une assurance décès : pour une assurance décès, c'est aussi le bénéficiaire désigné qui touche le capital.
Ben non: au décès de mon père, soit je touchais 2/3 de son AV et ma mère 1/3, soit je laissais à ma mère l'usufruit du bénéfice sans qu'elle puisse toucher au capital jusqu'à son décès. Similaire à un bien immobilier au nom du défunt pour le conjoint qui continue à l'habiter.
"La première arme de la Résistance c'est l'information." Lucie Aubrac
Colonel Kilgore
RVG avait soumis l'idée :
Ben non: au décès de mon père, soit je touchais 2/3 de son AV et ma mère 1/3, soit je laissais à ma mère l'usufruit du bénéfice sans qu'elle puisse toucher au capital jusqu'à son décès. Similaire à un bien immobilier au nom du défunt pour le conjoint qui continue à l'habiter.
Pas possible, 2/3 1/3 n'est pas envisageable, ce serait 1/4 et 3/4 sauf si... :
Comment était rédigée la clause bénéficiaire ?
-- If I say its safe to surf this beach Captain, then its safe to surf this beach.
RVG avait soumis l'idée :
Ben non: au décès de mon père, soit je touchais 2/3 de son AV et ma mère
1/3, soit je laissais à ma mère l'usufruit du bénéfice sans qu'elle
puisse toucher au capital jusqu'à son décès. Similaire à un bien
immobilier au nom du défunt pour le conjoint qui continue à l'habiter.
Pas possible, 2/3 1/3 n'est pas envisageable, ce serait 1/4 et 3/4 sauf
si... :
Comment était rédigée la clause bénéficiaire ?
--
If I say its safe to surf this beach Captain, then its safe to surf
this beach.
Ben non: au décès de mon père, soit je touchais 2/3 de son AV et ma mère 1/3, soit je laissais à ma mère l'usufruit du bénéfice sans qu'elle puisse toucher au capital jusqu'à son décès. Similaire à un bien immobilier au nom du défunt pour le conjoint qui continue à l'habiter.
Pas possible, 2/3 1/3 n'est pas envisageable, ce serait 1/4 et 3/4 sauf si... :
Comment était rédigée la clause bénéficiaire ?
-- If I say its safe to surf this beach Captain, then its safe to surf this beach.