Bonjour,
Effectivement, je crois que je vais laisser tomber l'idée
(séduisante) des UUID pour garder le principe du hash et de la
sauvegarde de chaque état du document.
Pour ce qui est de l'association du document et de son certificat, je
choisis de mettre tout ça dans une archive, elle-même signée. Et le
tout est sauvegardé dans deux fichiers au niveau serveur. Je ne pense
pas qu'effacer la signature de cette archive soit une attaque crédible
: si on gène effectivement le processus, on ne l'empêche pas et on
n'obtient pas de données vitales.
Enfin, je ne pense pas que je vais passer par un système de gestion de
version : ça me paraît trop lourd par rapport à l'objectif, somme
toute modeste, de notre logiciel. Par contre, pour que les workflows ne
gonflent pas démesurement, je prevois un système d'ancienneté : tout
les états de fichiers d'un workflow qui sont plus anciens que la date
indiquée sont effacés.
Cela ne gène pas le processus d'avalisation : c'est juste qu'on ne
garantit plus la chaîne que jusqu'à une certaine date.
Voilà les dernières nouvelles du front !
++
Pierre
Bonjour,
Effectivement, je crois que je vais laisser tomber l'idée
(séduisante) des UUID pour garder le principe du hash et de la
sauvegarde de chaque état du document.
Pour ce qui est de l'association du document et de son certificat, je
choisis de mettre tout ça dans une archive, elle-même signée. Et le
tout est sauvegardé dans deux fichiers au niveau serveur. Je ne pense
pas qu'effacer la signature de cette archive soit une attaque crédible
: si on gène effectivement le processus, on ne l'empêche pas et on
n'obtient pas de données vitales.
Enfin, je ne pense pas que je vais passer par un système de gestion de
version : ça me paraît trop lourd par rapport à l'objectif, somme
toute modeste, de notre logiciel. Par contre, pour que les workflows ne
gonflent pas démesurement, je prevois un système d'ancienneté : tout
les états de fichiers d'un workflow qui sont plus anciens que la date
indiquée sont effacés.
Cela ne gène pas le processus d'avalisation : c'est juste qu'on ne
garantit plus la chaîne que jusqu'à une certaine date.
Voilà les dernières nouvelles du front !
++
Pierre
Bonjour,
Effectivement, je crois que je vais laisser tomber l'idée
(séduisante) des UUID pour garder le principe du hash et de la
sauvegarde de chaque état du document.
Pour ce qui est de l'association du document et de son certificat, je
choisis de mettre tout ça dans une archive, elle-même signée. Et le
tout est sauvegardé dans deux fichiers au niveau serveur. Je ne pense
pas qu'effacer la signature de cette archive soit une attaque crédible
: si on gène effectivement le processus, on ne l'empêche pas et on
n'obtient pas de données vitales.
Enfin, je ne pense pas que je vais passer par un système de gestion de
version : ça me paraît trop lourd par rapport à l'objectif, somme
toute modeste, de notre logiciel. Par contre, pour que les workflows ne
gonflent pas démesurement, je prevois un système d'ancienneté : tout
les états de fichiers d'un workflow qui sont plus anciens que la date
indiquée sont effacés.
Cela ne gène pas le processus d'avalisation : c'est juste qu'on ne
garantit plus la chaîne que jusqu'à une certaine date.
Voilà les dernières nouvelles du front !
++
Pierre
Je n'étais peut-être pas assez précis : a quoi cela sert-il de
calculer le hash du document si vous ne sauvegardez pas ledit document,
et que vous ne pouvez plus vérifier ensuite la signature ?
Je n'étais peut-être pas assez précis : a quoi cela sert-il de
calculer le hash du document si vous ne sauvegardez pas ledit document,
et que vous ne pouvez plus vérifier ensuite la signature ?
Je n'étais peut-être pas assez précis : a quoi cela sert-il de
calculer le hash du document si vous ne sauvegardez pas ledit document,
et que vous ne pouvez plus vérifier ensuite la signature ?
Et bien, oui, l'idée est bonne...Je n'étais peut-être pas assez précis : a quoi cela sert-il de
calculer le hash du document si vous ne sauvegardez pas ledit
document, et que vous ne pouvez plus vérifier ensuite la signature ?
...mais je me propose justement de sauvegarder tous les états du
document.
Et bien, oui, l'idée est bonne...
Je n'étais peut-être pas assez précis : a quoi cela sert-il de
calculer le hash du document si vous ne sauvegardez pas ledit
document, et que vous ne pouvez plus vérifier ensuite la signature ?
...mais je me propose justement de sauvegarder tous les états du
document.
Et bien, oui, l'idée est bonne...Je n'étais peut-être pas assez précis : a quoi cela sert-il de
calculer le hash du document si vous ne sauvegardez pas ledit
document, et que vous ne pouvez plus vérifier ensuite la signature ?
...mais je me propose justement de sauvegarder tous les états du
document.
Tout d'abord, désolé de mon manque de réactivité ! Je n'avais pas
vu qu'il y avait une deuxième page de messages... :s
Ensuite, et bien, oui, je vois l'idée ! Mais je te rassure, le
"dépouillement" sera fait par des moyens purement automatiques. Faut
pas déconner : je suis prêt à bosser deux semaines de plus pour que
mes utilisateurs soient dans le confort.
Pour ce qui est des différentiels, je suis en train de creuser
l'idée. Mais avec celle que j'ai et que je vais exposer ça me paraît
plus difficile.
Je compte mettre un système d'ancienneté des workflows : tous les
états plus anciens qu'une certaine valeur (1 semaine, 1 mois, 1 an,
...) sont effacés et passent à la trappe.
Mais si je fonctionne également par différentiels, ça coince ! Car
si j'efface un état, trop ancien, et que celui-ci est la base de
fichiers plus récents qui n'ont sauvegardé que leurs différences par
rapport à lui, 2 problèmes :
-premièrement, je n'ai pas a priori de moyen de savoir que j'ai
effacé un fichier qui était certes trop vieux, mais dont j'ai besoin
pour reconstituer un workflow, qui lui est toujours d'actualité
-et donc deuxièmement, comment être sûr que les états que je
persiste à conserver, car n'étant pas trop vieux, peuvent être
reconstitués ?
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Cela ne me paraît pas trivial.
Tout d'abord, désolé de mon manque de réactivité ! Je n'avais pas
vu qu'il y avait une deuxième page de messages... :s
Ensuite, et bien, oui, je vois l'idée ! Mais je te rassure, le
"dépouillement" sera fait par des moyens purement automatiques. Faut
pas déconner : je suis prêt à bosser deux semaines de plus pour que
mes utilisateurs soient dans le confort.
Pour ce qui est des différentiels, je suis en train de creuser
l'idée. Mais avec celle que j'ai et que je vais exposer ça me paraît
plus difficile.
Je compte mettre un système d'ancienneté des workflows : tous les
états plus anciens qu'une certaine valeur (1 semaine, 1 mois, 1 an,
...) sont effacés et passent à la trappe.
Mais si je fonctionne également par différentiels, ça coince ! Car
si j'efface un état, trop ancien, et que celui-ci est la base de
fichiers plus récents qui n'ont sauvegardé que leurs différences par
rapport à lui, 2 problèmes :
-premièrement, je n'ai pas a priori de moyen de savoir que j'ai
effacé un fichier qui était certes trop vieux, mais dont j'ai besoin
pour reconstituer un workflow, qui lui est toujours d'actualité
-et donc deuxièmement, comment être sûr que les états que je
persiste à conserver, car n'étant pas trop vieux, peuvent être
reconstitués ?
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Cela ne me paraît pas trivial.
Tout d'abord, désolé de mon manque de réactivité ! Je n'avais pas
vu qu'il y avait une deuxième page de messages... :s
Ensuite, et bien, oui, je vois l'idée ! Mais je te rassure, le
"dépouillement" sera fait par des moyens purement automatiques. Faut
pas déconner : je suis prêt à bosser deux semaines de plus pour que
mes utilisateurs soient dans le confort.
Pour ce qui est des différentiels, je suis en train de creuser
l'idée. Mais avec celle que j'ai et que je vais exposer ça me paraît
plus difficile.
Je compte mettre un système d'ancienneté des workflows : tous les
états plus anciens qu'une certaine valeur (1 semaine, 1 mois, 1 an,
...) sont effacés et passent à la trappe.
Mais si je fonctionne également par différentiels, ça coince ! Car
si j'efface un état, trop ancien, et que celui-ci est la base de
fichiers plus récents qui n'ont sauvegardé que leurs différences par
rapport à lui, 2 problèmes :
-premièrement, je n'ai pas a priori de moyen de savoir que j'ai
effacé un fichier qui était certes trop vieux, mais dont j'ai besoin
pour reconstituer un workflow, qui lui est toujours d'actualité
-et donc deuxièmement, comment être sûr que les états que je
persiste à conserver, car n'étant pas trop vieux, peuvent être
reconstitués ?
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Cela ne me paraît pas trivial.
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Pierre
La réalisation du projet "Avalisation" soulève un problème
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Pierre
La réalisation du projet "Avalisation" soulève un problème
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Pierre
La réalisation du projet "Avalisation" soulève un problème
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Pierre
La réalisation du projet "Avalisation" soulève un problème
capital. Les corrections apportées au texte principal par les membres
du workflow sont-elles de nature mineure ou majeure. En d'autres
termes, si les modifications ne changent pas les idées principales, on
peut concevoir qu'un même texte parcourt toutes les étapes en allant
du premier au dernier signataire. Par contre, on pourrait imaginer
qu'un signataire apporte une modification changeant l'esprit initial.
Dans ces conditions, on crée fatalement de nouveaux textes et le
nombre de nouveaux textes pourraient théoriquement être égal à la
factorielle du nombre des signataires du workflow, ce qui est
imaginable.
Si on se limite à des corrections mineures ou tout au plus si l'on
admet un nombre très restreint de corrections majeures, le logiciel
ClassicSys tel quel est tout indiqué pour cette application. Très
convivial, il garantit la confidentialité et l'intégrité du texte
chiffré avec en prime l'authentification formelle des correspondants
et l'impossibilité de renier une signature.
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Pierre
La réalisation du projet "Avalisation" soulève un problème
capital. Les corrections apportées au texte principal par les membres
du workflow sont-elles de nature mineure ou majeure. En d'autres
termes, si les modifications ne changent pas les idées principales, on
peut concevoir qu'un même texte parcourt toutes les étapes en allant
du premier au dernier signataire. Par contre, on pourrait imaginer
qu'un signataire apporte une modification changeant l'esprit initial.
Dans ces conditions, on crée fatalement de nouveaux textes et le
nombre de nouveaux textes pourraient théoriquement être égal à la
factorielle du nombre des signataires du workflow, ce qui est
imaginable.
Si on se limite à des corrections mineures ou tout au plus si l'on
admet un nombre très restreint de corrections majeures, le logiciel
ClassicSys tel quel est tout indiqué pour cette application. Très
convivial, il garantit la confidentialité et l'intégrité du texte
chiffré avec en prime l'authentification formelle des correspondants
et l'impossibilité de renier une signature.
C'est poser la question suivante : comment être sûr que je garde
toutes les différences, même obsolètes, d'un certain fichier que je
veux garder ?
Pierre
La réalisation du projet "Avalisation" soulève un problème
capital. Les corrections apportées au texte principal par les membres
du workflow sont-elles de nature mineure ou majeure. En d'autres
termes, si les modifications ne changent pas les idées principales, on
peut concevoir qu'un même texte parcourt toutes les étapes en allant
du premier au dernier signataire. Par contre, on pourrait imaginer
qu'un signataire apporte une modification changeant l'esprit initial.
Dans ces conditions, on crée fatalement de nouveaux textes et le
nombre de nouveaux textes pourraient théoriquement être égal à la
factorielle du nombre des signataires du workflow, ce qui est
imaginable.
Si on se limite à des corrections mineures ou tout au plus si l'on
admet un nombre très restreint de corrections majeures, le logiciel
ClassicSys tel quel est tout indiqué pour cette application. Très
convivial, il garantit la confidentialité et l'intégrité du texte
chiffré avec en prime l'authentification formelle des correspondants
et l'impossibilité de renier une signature.