Un "label", ça irait pas sinon?
Un "label", ça irait pas sinon?
Un "label", ça irait pas sinon?
car les UUID sont constants. Seulement voilà, la partition n'a
pas de file system et, dans la pratique que j'ai eu jusque là,
c'est via le formatage en un fs que l'UUID est généré. Sans fs,
ma partition n'a pas d'UUID (le partitionnement a été fait avec
fdisk sous Ubuntu 14.04). Y a-t-il un moyen d'avoir un UUID
associé à une partition « brute » (ie sans fs), UUID qui devra
être reconnu par udev bien sûr ?
car les UUID sont constants. Seulement voilà, la partition n'a
pas de file system et, dans la pratique que j'ai eu jusque là,
c'est via le formatage en un fs que l'UUID est généré. Sans fs,
ma partition n'a pas d'UUID (le partitionnement a été fait avec
fdisk sous Ubuntu 14.04). Y a-t-il un moyen d'avoir un UUID
associé à une partition « brute » (ie sans fs), UUID qui devra
être reconnu par udev bien sûr ?
car les UUID sont constants. Seulement voilà, la partition n'a
pas de file system et, dans la pratique que j'ai eu jusque là,
c'est via le formatage en un fs que l'UUID est généré. Sans fs,
ma partition n'a pas d'UUID (le partitionnement a été fait avec
fdisk sous Ubuntu 14.04). Y a-t-il un moyen d'avoir un UUID
associé à une partition « brute » (ie sans fs), UUID qui devra
être reconnu par udev bien sûr ?
Bonsoir à tous,
Dans un répertoire je dois indiquer un lien symbolique vers une
partition sans file system. Par exemple un lien symbolique vers
/dev/sdb2. Mais je voudrais plutôt utiliser un chemin avec un
UUID comme celui-là par exemple :
/dev/disk/by-uuid/07962804-17c6-456a-ac60-28ac5b0db5cc
car les UUID sont constants. Seulement voilà, la partition n'a
pas de file system et, dans la pratique que j'ai eu jusque là,
c'est via le formatage en un fs que l'UUID est généré. Sans fs,
ma partition n'a pas d'UUID (le partitionnement a été fait avec
fdisk sous Ubuntu 14.04). Y a-t-il un moyen d'avoir un UUID
associé à une partition « brute » (ie sans fs), UUID qui devra
être reconnu par udev bien sûr ?
Et en fait, j'aurais exactement la même question dans le cas non
pas d'une partition mais d'un disque brute, genre /dev/sdb ? On
est d'accord que dans ce cas là je ne peux pas espérer avoir un
UUID associé au disque et que je suis obligé de passer par une
règle udev maison basée par exemple sur le serial number du disque
ou un truc dans le genre. Est-ce correct ?
Merci d'avance.
Bonsoir à tous,
Dans un répertoire je dois indiquer un lien symbolique vers une
partition sans file system. Par exemple un lien symbolique vers
/dev/sdb2. Mais je voudrais plutôt utiliser un chemin avec un
UUID comme celui-là par exemple :
/dev/disk/by-uuid/07962804-17c6-456a-ac60-28ac5b0db5cc
car les UUID sont constants. Seulement voilà, la partition n'a
pas de file system et, dans la pratique que j'ai eu jusque là,
c'est via le formatage en un fs que l'UUID est généré. Sans fs,
ma partition n'a pas d'UUID (le partitionnement a été fait avec
fdisk sous Ubuntu 14.04). Y a-t-il un moyen d'avoir un UUID
associé à une partition « brute » (ie sans fs), UUID qui devra
être reconnu par udev bien sûr ?
Et en fait, j'aurais exactement la même question dans le cas non
pas d'une partition mais d'un disque brute, genre /dev/sdb ? On
est d'accord que dans ce cas là je ne peux pas espérer avoir un
UUID associé au disque et que je suis obligé de passer par une
règle udev maison basée par exemple sur le serial number du disque
ou un truc dans le genre. Est-ce correct ?
Merci d'avance.
Bonsoir à tous,
Dans un répertoire je dois indiquer un lien symbolique vers une
partition sans file system. Par exemple un lien symbolique vers
/dev/sdb2. Mais je voudrais plutôt utiliser un chemin avec un
UUID comme celui-là par exemple :
/dev/disk/by-uuid/07962804-17c6-456a-ac60-28ac5b0db5cc
car les UUID sont constants. Seulement voilà, la partition n'a
pas de file system et, dans la pratique que j'ai eu jusque là,
c'est via le formatage en un fs que l'UUID est généré. Sans fs,
ma partition n'a pas d'UUID (le partitionnement a été fait avec
fdisk sous Ubuntu 14.04). Y a-t-il un moyen d'avoir un UUID
associé à une partition « brute » (ie sans fs), UUID qui devra
être reconnu par udev bien sûr ?
Et en fait, j'aurais exactement la même question dans le cas non
pas d'une partition mais d'un disque brute, genre /dev/sdb ? On
est d'accord que dans ce cas là je ne peux pas espérer avoir un
UUID associé au disque et que je suis obligé de passer par une
règle udev maison basée par exemple sur le serial number du disque
ou un truc dans le genre. Est-ce correct ?
Merci d'avance.
Dans un répertoire je dois indiquer un lien symbolique vers une
partition sans file system.
Et en fait, j'aurais exactement la même question dans le cas non
pas d'une partition mais d'un disque brute, genre /dev/sdb ?
Dans un répertoire je dois indiquer un lien symbolique vers une
partition sans file system.
Et en fait, j'aurais exactement la même question dans le cas non
pas d'une partition mais d'un disque brute, genre /dev/sdb ?
Dans un répertoire je dois indiquer un lien symbolique vers une
partition sans file system.
Et en fait, j'aurais exactement la même question dans le cas non
pas d'une partition mais d'un disque brute, genre /dev/sdb ?
Il y a aussi des identifiants synthétiques à partir de diverses
caractéristiques du disque :
/dev/disk/by-id/scsi-649985ee996ed7975-part1
Si le disque est partitionné en GPT, alors l'UUID de la partition est
disponible, probablement quelque chose du genre :
/dev/disk/by-partuuid/1a404f80-6b2c-4576-8867-22615a216716
Je vois aussi des /dev/disk/by-partlabel qui existent peut-être aussi dans
des circonstances similaires.
Personnellement, comme je n'ai pas le souci de compatibilité avec les
sous-OS, j'utilise LVM pour l'ensemble des disques internes. Une utilisation
élémentaire, juste des volumes logiques simples créés au début
séquentiellement, ça simplifie déjà pas mal la vie.
Il y a aussi des identifiants synthétiques à partir de diverses
caractéristiques du disque :
/dev/disk/by-id/scsi-649985ee996ed7975-part1
Si le disque est partitionné en GPT, alors l'UUID de la partition est
disponible, probablement quelque chose du genre :
/dev/disk/by-partuuid/1a404f80-6b2c-4576-8867-22615a216716
Je vois aussi des /dev/disk/by-partlabel qui existent peut-être aussi dans
des circonstances similaires.
Personnellement, comme je n'ai pas le souci de compatibilité avec les
sous-OS, j'utilise LVM pour l'ensemble des disques internes. Une utilisation
élémentaire, juste des volumes logiques simples créés au début
séquentiellement, ça simplifie déjà pas mal la vie.
Il y a aussi des identifiants synthétiques à partir de diverses
caractéristiques du disque :
/dev/disk/by-id/scsi-649985ee996ed7975-part1
Si le disque est partitionné en GPT, alors l'UUID de la partition est
disponible, probablement quelque chose du genre :
/dev/disk/by-partuuid/1a404f80-6b2c-4576-8867-22615a216716
Je vois aussi des /dev/disk/by-partlabel qui existent peut-être aussi dans
des circonstances similaires.
Personnellement, comme je n'ai pas le souci de compatibilité avec les
sous-OS, j'utilise LVM pour l'ensemble des disques internes. Une utilisation
élémentaire, juste des volumes logiques simples créés au début
séquentiellement, ça simplifie déjà pas mal la vie.
Les labels sont également stockés dans le filesystem lui-même.
C'est pourquoi je trouve personnellement que la mode des UUID et des labels
est assez idiote pour les disques système.
Les labels sont également stockés dans le filesystem lui-même.
C'est pourquoi je trouve personnellement que la mode des UUID et des labels
est assez idiote pour les disques système.
Les labels sont également stockés dans le filesystem lui-même.
C'est pourquoi je trouve personnellement que la mode des UUID et des labels
est assez idiote pour les disques système.
Merci à tous pour vos réponses.
Du coup, j'ai voulu tester un partitionnement « GPT » avec gdisk
(dont l'utilisation est très similaire à fdisk) et l'idée qu'il
y ait un UUID pour les partitions est assez sympa je trouve.
D'après mes essais, je peux même définir un label au niveau d'une
partition de sorte que je me retrouve avec un symlink du genre :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
Je trouve ça pas mal. Perso, j'aime bien les label et si je peux en
avoir pour des partitions (a priori) sans fs alors ça ma convient assez
bien je crois.
begin{petite-remarque-en-passant}
En supposant qu'on mette un fs ensuite dans cette partition, d'après
ce que j'ai vu sur le web, il apparaissait sur certains sites qu'on pouvait
monter le fs dans fstab via des lignes comme :
# On utilise l'UUID de la partition GPT.
PARTUUID=.... etc.
# Ici on utilise le label de la partition GPT.
PARTLABEL=... etc.
Seulement ça ne marche pas sur une Ubuntu 14.04 (machine sur laquelle
j'ai fait mes essais) car, d'après ce que j'ai pu comprendre, ça ne
fonctionne que sur un Linux qui utilise systemd ce qui n'est pas le cas
de Ubuntu 14.04.
Ceci étant, on peut toujours utiliser le symlink dans
fstab j'imagine :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
end{petite-remarque-en-passant}
Quant à un disque brut sans partition ni fs a priori, à part utiliser
une règle udev spécifique sur le S/N où un truc dans le genre, je ne
pense pas qu'il y ait d'autre possibilité.
J'aurais une dernière question : perso, je partitionne avec fdisk depuis
« toujours ». Est-ce que Linux gère bien les partitions GPT ?
Pas de problème particulier ?
Pour moi, GPT ça évoque des trucs inconnus et un peu troubles
comme "UEFI" etc. autrement dit pas des trucs qui font peur. ;)
Merci à tous pour vos réponses.
Du coup, j'ai voulu tester un partitionnement « GPT » avec gdisk
(dont l'utilisation est très similaire à fdisk) et l'idée qu'il
y ait un UUID pour les partitions est assez sympa je trouve.
D'après mes essais, je peux même définir un label au niveau d'une
partition de sorte que je me retrouve avec un symlink du genre :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
Je trouve ça pas mal. Perso, j'aime bien les label et si je peux en
avoir pour des partitions (a priori) sans fs alors ça ma convient assez
bien je crois.
begin{petite-remarque-en-passant}
En supposant qu'on mette un fs ensuite dans cette partition, d'après
ce que j'ai vu sur le web, il apparaissait sur certains sites qu'on pouvait
monter le fs dans fstab via des lignes comme :
# On utilise l'UUID de la partition GPT.
PARTUUID=.... etc.
# Ici on utilise le label de la partition GPT.
PARTLABEL=... etc.
Seulement ça ne marche pas sur une Ubuntu 14.04 (machine sur laquelle
j'ai fait mes essais) car, d'après ce que j'ai pu comprendre, ça ne
fonctionne que sur un Linux qui utilise systemd ce qui n'est pas le cas
de Ubuntu 14.04.
Ceci étant, on peut toujours utiliser le symlink dans
fstab j'imagine :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
end{petite-remarque-en-passant}
Quant à un disque brut sans partition ni fs a priori, à part utiliser
une règle udev spécifique sur le S/N où un truc dans le genre, je ne
pense pas qu'il y ait d'autre possibilité.
J'aurais une dernière question : perso, je partitionne avec fdisk depuis
« toujours ». Est-ce que Linux gère bien les partitions GPT ?
Pas de problème particulier ?
Pour moi, GPT ça évoque des trucs inconnus et un peu troubles
comme "UEFI" etc. autrement dit pas des trucs qui font peur. ;)
Merci à tous pour vos réponses.
Du coup, j'ai voulu tester un partitionnement « GPT » avec gdisk
(dont l'utilisation est très similaire à fdisk) et l'idée qu'il
y ait un UUID pour les partitions est assez sympa je trouve.
D'après mes essais, je peux même définir un label au niveau d'une
partition de sorte que je me retrouve avec un symlink du genre :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
Je trouve ça pas mal. Perso, j'aime bien les label et si je peux en
avoir pour des partitions (a priori) sans fs alors ça ma convient assez
bien je crois.
begin{petite-remarque-en-passant}
En supposant qu'on mette un fs ensuite dans cette partition, d'après
ce que j'ai vu sur le web, il apparaissait sur certains sites qu'on pouvait
monter le fs dans fstab via des lignes comme :
# On utilise l'UUID de la partition GPT.
PARTUUID=.... etc.
# Ici on utilise le label de la partition GPT.
PARTLABEL=... etc.
Seulement ça ne marche pas sur une Ubuntu 14.04 (machine sur laquelle
j'ai fait mes essais) car, d'après ce que j'ai pu comprendre, ça ne
fonctionne que sur un Linux qui utilise systemd ce qui n'est pas le cas
de Ubuntu 14.04.
Ceci étant, on peut toujours utiliser le symlink dans
fstab j'imagine :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
end{petite-remarque-en-passant}
Quant à un disque brut sans partition ni fs a priori, à part utiliser
une règle udev spécifique sur le S/N où un truc dans le genre, je ne
pense pas qu'il y ait d'autre possibilité.
J'aurais une dernière question : perso, je partitionne avec fdisk depuis
« toujours ». Est-ce que Linux gère bien les partitions GPT ?
Pas de problème particulier ?
Pour moi, GPT ça évoque des trucs inconnus et un peu troubles
comme "UEFI" etc. autrement dit pas des trucs qui font peur. ;)
Francois Lafont a écrit :Merci à tous pour vos réponses.
Du coup, j'ai voulu tester un partitionnement « GPT » avec gdisk
(dont l'utilisation est très similaire à fdisk) et l'idée qu'il
y ait un UUID pour les partitions est assez sympa je trouve.
C'est loin d'être le plus gros avantage de GPT. Loin devant je place la
disparition de la distinction entre partitions primaire, étendue et logique.D'après mes essais, je peux même définir un label au niveau d'une
partition de sorte que je me retrouve avec un symlink du genre :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
Je trouve ça pas mal. Perso, j'aime bien les label et si je peux en
avoir pour des partitions (a priori) sans fs alors ça ma convient assez
bien je crois.
begin{petite-remarque-en-passant}
En supposant qu'on mette un fs ensuite dans cette partition, d'après
ce que j'ai vu sur le web, il apparaissait sur certains sites qu'on pouvait
monter le fs dans fstab via des lignes comme :
# On utilise l'UUID de la partition GPT.
PARTUUID=.... etc.
# Ici on utilise le label de la partition GPT.
PARTLABEL=... etc.
Seulement ça ne marche pas sur une Ubuntu 14.04 (machine sur laquelle
j'ai fait mes essais) car, d'après ce que j'ai pu comprendre, ça ne
fonctionne que sur un Linux qui utilise systemd ce qui n'est pas le cas
de Ubuntu 14.04.
Je ne sais pas si c'est lié à systemd, mais la page de manuel d'une
version assez récente de la commande 'mount' (comme celle de Debian
8/Jessie) indique que les UUID et labels de partition sont aussi
supportés. Par contre il n'est pas clair si dans ce cas la syntaxe reste
UUID= et LABEL= ou devient PARTUUID= et PARTLABEL=. Je n'ai pas
d'installation de Debian Jessie pour tester.
<http://manpages.debian.org/cgi-bin/man.cgi?query=mount&apropos=0&sektion=0&manpathÞbian+testing+jessie&format=html&locale=fr>
Ceci étant, on peut toujours utiliser le symlink dans
fstab j'imagine :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
end{petite-remarque-en-passant}
Quant à un disque brut sans partition ni fs a priori, à part utiliser
une règle udev spécifique sur le S/N où un truc dans le genre, je ne
pense pas qu'il y ait d'autre possibilité.
Si, avec le liens symboliques dans /dev/disk/by-id/ ou
/dev/disk/by-path/ comme déjà signalé.
J'aurais une dernière question : perso, je partitionne avec fdisk depuis
« toujours ». Est-ce que Linux gère bien les partitions GPT ?
Oui.
Pas de problème particulier ?
Le site de l'auteur de gdisk mentionne des limitations du noyau Linux et
de GRUB avec un MBR hybride, mais c'est non standard. Avec un disque au
format GPT pur, je n'ai jamais eu de problème.
Ah, si : certains outils de partitionnement, et notamment ceux inclus
dans l'installateur de distributions comme Debian, considèrent que le
disque est au format GPT s'il comporte une signature GPT, même si le MBR
n'est manifestement pas conforme au format GPT (signe que le disque a
été repartitionné au format MSDOS par un outil non compatible GPT). Par
conséquent ils ne voient pas les partitions existantes. Attention donc à
la réutilisation au format MSDOS d'un disque précédemment au format GPT.
Bien effacer la signature GPT avant.
Il est aussi un peu plus compliqué de cloner proprement un disque GPT
vers un disque de taille différente.Pour moi, GPT ça évoque des trucs inconnus et un peu troubles
comme "UEFI" etc. autrement dit pas des trucs qui font peur. ;)
En ce qui concerne GNU/Linux, UEFI et GPT sont indépendants. Si
l'amorçage se fait en mode BIOS/CSM/legacy avec GRUB sur un disque au
format GPT, il faut juste penser à créer une partition de type "BIOS
boot" (bios_grub) pour GRUB. Les problèmes seraient plutôt du côté de
Windows qui n'accepte de s'installer sur un disque GPT qu'en UEFI.
Francois Lafont a écrit :
Merci à tous pour vos réponses.
Du coup, j'ai voulu tester un partitionnement « GPT » avec gdisk
(dont l'utilisation est très similaire à fdisk) et l'idée qu'il
y ait un UUID pour les partitions est assez sympa je trouve.
C'est loin d'être le plus gros avantage de GPT. Loin devant je place la
disparition de la distinction entre partitions primaire, étendue et logique.
D'après mes essais, je peux même définir un label au niveau d'une
partition de sorte que je me retrouve avec un symlink du genre :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
Je trouve ça pas mal. Perso, j'aime bien les label et si je peux en
avoir pour des partitions (a priori) sans fs alors ça ma convient assez
bien je crois.
begin{petite-remarque-en-passant}
En supposant qu'on mette un fs ensuite dans cette partition, d'après
ce que j'ai vu sur le web, il apparaissait sur certains sites qu'on pouvait
monter le fs dans fstab via des lignes comme :
# On utilise l'UUID de la partition GPT.
PARTUUID=.... etc.
# Ici on utilise le label de la partition GPT.
PARTLABEL=... etc.
Seulement ça ne marche pas sur une Ubuntu 14.04 (machine sur laquelle
j'ai fait mes essais) car, d'après ce que j'ai pu comprendre, ça ne
fonctionne que sur un Linux qui utilise systemd ce qui n'est pas le cas
de Ubuntu 14.04.
Je ne sais pas si c'est lié à systemd, mais la page de manuel d'une
version assez récente de la commande 'mount' (comme celle de Debian
8/Jessie) indique que les UUID et labels de partition sont aussi
supportés. Par contre il n'est pas clair si dans ce cas la syntaxe reste
UUID= et LABEL= ou devient PARTUUID= et PARTLABEL=. Je n'ai pas
d'installation de Debian Jessie pour tester.
<http://manpages.debian.org/cgi-bin/man.cgi?query=mount&apropos=0&sektion=0&manpathÞbian+testing+jessie&format=html&locale=fr>
Ceci étant, on peut toujours utiliser le symlink dans
fstab j'imagine :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
end{petite-remarque-en-passant}
Quant à un disque brut sans partition ni fs a priori, à part utiliser
une règle udev spécifique sur le S/N où un truc dans le genre, je ne
pense pas qu'il y ait d'autre possibilité.
Si, avec le liens symboliques dans /dev/disk/by-id/ ou
/dev/disk/by-path/ comme déjà signalé.
J'aurais une dernière question : perso, je partitionne avec fdisk depuis
« toujours ». Est-ce que Linux gère bien les partitions GPT ?
Oui.
Pas de problème particulier ?
Le site de l'auteur de gdisk mentionne des limitations du noyau Linux et
de GRUB avec un MBR hybride, mais c'est non standard. Avec un disque au
format GPT pur, je n'ai jamais eu de problème.
Ah, si : certains outils de partitionnement, et notamment ceux inclus
dans l'installateur de distributions comme Debian, considèrent que le
disque est au format GPT s'il comporte une signature GPT, même si le MBR
n'est manifestement pas conforme au format GPT (signe que le disque a
été repartitionné au format MSDOS par un outil non compatible GPT). Par
conséquent ils ne voient pas les partitions existantes. Attention donc à
la réutilisation au format MSDOS d'un disque précédemment au format GPT.
Bien effacer la signature GPT avant.
Il est aussi un peu plus compliqué de cloner proprement un disque GPT
vers un disque de taille différente.
Pour moi, GPT ça évoque des trucs inconnus et un peu troubles
comme "UEFI" etc. autrement dit pas des trucs qui font peur. ;)
En ce qui concerne GNU/Linux, UEFI et GPT sont indépendants. Si
l'amorçage se fait en mode BIOS/CSM/legacy avec GRUB sur un disque au
format GPT, il faut juste penser à créer une partition de type "BIOS
boot" (bios_grub) pour GRUB. Les problèmes seraient plutôt du côté de
Windows qui n'accepte de s'installer sur un disque GPT qu'en UEFI.
Francois Lafont a écrit :Merci à tous pour vos réponses.
Du coup, j'ai voulu tester un partitionnement « GPT » avec gdisk
(dont l'utilisation est très similaire à fdisk) et l'idée qu'il
y ait un UUID pour les partitions est assez sympa je trouve.
C'est loin d'être le plus gros avantage de GPT. Loin devant je place la
disparition de la distinction entre partitions primaire, étendue et logique.D'après mes essais, je peux même définir un label au niveau d'une
partition de sorte que je me retrouve avec un symlink du genre :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
Je trouve ça pas mal. Perso, j'aime bien les label et si je peux en
avoir pour des partitions (a priori) sans fs alors ça ma convient assez
bien je crois.
begin{petite-remarque-en-passant}
En supposant qu'on mette un fs ensuite dans cette partition, d'après
ce que j'ai vu sur le web, il apparaissait sur certains sites qu'on pouvait
monter le fs dans fstab via des lignes comme :
# On utilise l'UUID de la partition GPT.
PARTUUID=.... etc.
# Ici on utilise le label de la partition GPT.
PARTLABEL=... etc.
Seulement ça ne marche pas sur une Ubuntu 14.04 (machine sur laquelle
j'ai fait mes essais) car, d'après ce que j'ai pu comprendre, ça ne
fonctionne que sur un Linux qui utilise systemd ce qui n'est pas le cas
de Ubuntu 14.04.
Je ne sais pas si c'est lié à systemd, mais la page de manuel d'une
version assez récente de la commande 'mount' (comme celle de Debian
8/Jessie) indique que les UUID et labels de partition sont aussi
supportés. Par contre il n'est pas clair si dans ce cas la syntaxe reste
UUID= et LABEL= ou devient PARTUUID= et PARTLABEL=. Je n'ai pas
d'installation de Debian Jessie pour tester.
<http://manpages.debian.org/cgi-bin/man.cgi?query=mount&apropos=0&sektion=0&manpathÞbian+testing+jessie&format=html&locale=fr>
Ceci étant, on peut toujours utiliser le symlink dans
fstab j'imagine :
/dev/disk/by-partlabel/<un-nom-discriminant-et-évocateur>
end{petite-remarque-en-passant}
Quant à un disque brut sans partition ni fs a priori, à part utiliser
une règle udev spécifique sur le S/N où un truc dans le genre, je ne
pense pas qu'il y ait d'autre possibilité.
Si, avec le liens symboliques dans /dev/disk/by-id/ ou
/dev/disk/by-path/ comme déjà signalé.
J'aurais une dernière question : perso, je partitionne avec fdisk depuis
« toujours ». Est-ce que Linux gère bien les partitions GPT ?
Oui.
Pas de problème particulier ?
Le site de l'auteur de gdisk mentionne des limitations du noyau Linux et
de GRUB avec un MBR hybride, mais c'est non standard. Avec un disque au
format GPT pur, je n'ai jamais eu de problème.
Ah, si : certains outils de partitionnement, et notamment ceux inclus
dans l'installateur de distributions comme Debian, considèrent que le
disque est au format GPT s'il comporte une signature GPT, même si le MBR
n'est manifestement pas conforme au format GPT (signe que le disque a
été repartitionné au format MSDOS par un outil non compatible GPT). Par
conséquent ils ne voient pas les partitions existantes. Attention donc à
la réutilisation au format MSDOS d'un disque précédemment au format GPT.
Bien effacer la signature GPT avant.
Il est aussi un peu plus compliqué de cloner proprement un disque GPT
vers un disque de taille différente.Pour moi, GPT ça évoque des trucs inconnus et un peu troubles
comme "UEFI" etc. autrement dit pas des trucs qui font peur. ;)
En ce qui concerne GNU/Linux, UEFI et GPT sont indépendants. Si
l'amorçage se fait en mode BIOS/CSM/legacy avec GRUB sur un disque au
format GPT, il faut juste penser à créer une partition de type "BIOS
boot" (bios_grub) pour GRUB. Les problèmes seraient plutôt du côté de
Windows qui n'accepte de s'installer sur un disque GPT qu'en UEFI.
Les labels sont également stockés dans le filesystem lui-même.
C'est pourquoi je trouve personnellement que la mode des UUID et des labels
est assez idiote pour les disques système.
Pourquoi ?
Si le but reste d'identifier le contenu (le système de fichiers) plus
que le contenant (la partition), alors l'UUID ou le label me semble
approprié.
Les labels sont également stockés dans le filesystem lui-même.
C'est pourquoi je trouve personnellement que la mode des UUID et des labels
est assez idiote pour les disques système.
Pourquoi ?
Si le but reste d'identifier le contenu (le système de fichiers) plus
que le contenant (la partition), alors l'UUID ou le label me semble
approprié.
Les labels sont également stockés dans le filesystem lui-même.
C'est pourquoi je trouve personnellement que la mode des UUID et des labels
est assez idiote pour les disques système.
Pourquoi ?
Si le but reste d'identifier le contenu (le système de fichiers) plus
que le contenant (la partition), alors l'UUID ou le label me semble
approprié.