comment peut on mettre une barre de reprise au milieu d'une mesure. A chaque
fois finale me la place en fin de mesure et je n'arrive pas à la déplacer.
merci
Le 19/10/05 22:13, dans 4356aa97$0$7330$, « Alain Naigeon » a écrit :
Même problème quand il n'y a pas de mesure (musique ancienne ou... moderne, parfois ?! mais je connais très peu cette dernière).
Absolument ! Pour ma part, je connais plus la musique moderne que la musique ancienne. La notation dite "proportionnelle", c'est une véritable emmerdation avec de tels logiciels !
Et même ce que tu suggères (tempo pour une valeur rythmique) risque de très mal fonctionner pour noter le chant grégorien... à ce sujet, il existe un module de "traduction" qui, paraît-il fonctionne avec Finale (il me semble me souvenir que c'est livré sous forme de plug-in si on achète la police kivabien). J'avoue ne connaître personne qui l'a utilisé, mais les pages internet que j'ai vues à ce sujet sont assez bluffantes... Évidemment, c'est pas gratuit (250 euros !!!).
<http://www.klemm-music.de/medieval/index_f.htm>
--
François
Le 19/10/05 22:13, dans 4356aa97$0$7330$636a55ce@news.free.fr, « Alain
Naigeon » <anaigeon@free.fr> a écrit :
Même problème quand il n'y a pas de mesure (musique ancienne ou...
moderne, parfois ?! mais je connais très peu cette dernière).
Absolument ! Pour ma part, je connais plus la musique moderne que la musique
ancienne. La notation dite "proportionnelle", c'est une véritable
emmerdation avec de tels logiciels !
Et même ce que tu suggères (tempo pour une valeur rythmique) risque de très
mal fonctionner pour noter le chant grégorien... à ce sujet, il existe un
module de "traduction" qui, paraît-il fonctionne avec Finale (il me semble
me souvenir que c'est livré sous forme de plug-in si on achète la police
kivabien). J'avoue ne connaître personne qui l'a utilisé, mais les pages
internet que j'ai vues à ce sujet sont assez bluffantes... Évidemment, c'est
pas gratuit (250 euros !!!).
Le 19/10/05 22:13, dans 4356aa97$0$7330$, « Alain Naigeon » a écrit :
Même problème quand il n'y a pas de mesure (musique ancienne ou... moderne, parfois ?! mais je connais très peu cette dernière).
Absolument ! Pour ma part, je connais plus la musique moderne que la musique ancienne. La notation dite "proportionnelle", c'est une véritable emmerdation avec de tels logiciels !
Et même ce que tu suggères (tempo pour une valeur rythmique) risque de très mal fonctionner pour noter le chant grégorien... à ce sujet, il existe un module de "traduction" qui, paraît-il fonctionne avec Finale (il me semble me souvenir que c'est livré sous forme de plug-in si on achète la police kivabien). J'avoue ne connaître personne qui l'a utilisé, mais les pages internet que j'ai vues à ce sujet sont assez bluffantes... Évidemment, c'est pas gratuit (250 euros !!!).
<http://www.klemm-music.de/medieval/index_f.htm>
--
François
Alain Naigeon
"François Polloli" a écrit dans le message news: BF7E7D61.2D21A%
Et même ce que tu suggères (tempo pour une valeur rythmique) risque de
très
mal fonctionner pour noter le chant grégorien...
Juste ! Bon, si on était embauchés, on y penserait un peu plus longtemps ;-)
à ce sujet, il existe un module de "traduction" qui, paraît-il fonctionne avec Finale (il me semble me souvenir que c'est livré sous forme de plug-in si on achète la police kivabien). J'avoue ne connaître personne qui l'a utilisé, mais les pages internet que j'ai vues à ce sujet sont assez bluffantes... Évidemment,
c'est
pas gratuit (250 euros !!!).
<http://www.klemm-music.de/medieval/index_f.htm>
J'ai récupéré un jour un pseudo facsimile du Kyrie de la messe de Machaut, qui était effectivement bluffant. Je vais aller voir si c'est le truc dont tu parles.
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English midi - facsimiles - ligatures - mensuration http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/ Alain Naigeon - - Strasbourg, France
"François Polloli" <f_polloli@hotmail.com> a écrit dans le message news:
BF7E7D61.2D21A%f_polloli@hotmail.com...
Et même ce que tu suggères (tempo pour une valeur rythmique) risque de
très
mal fonctionner pour noter le chant grégorien...
Juste ! Bon, si on était embauchés, on y penserait un peu plus longtemps
;-)
à ce sujet, il existe un
module de "traduction" qui, paraît-il fonctionne avec Finale (il me semble
me souvenir que c'est livré sous forme de plug-in si on achète la police
kivabien). J'avoue ne connaître personne qui l'a utilisé, mais les pages
internet que j'ai vues à ce sujet sont assez bluffantes... Évidemment,
c'est
pas gratuit (250 euros !!!).
<http://www.klemm-music.de/medieval/index_f.htm>
J'ai récupéré un jour un pseudo facsimile du Kyrie de la messe
de Machaut, qui était effectivement bluffant. Je vais aller voir
si c'est le truc dont tu parles.
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English
midi - facsimiles - ligatures - mensuration
http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/
Alain Naigeon - anaigeon@free.fr - Strasbourg, France
"François Polloli" a écrit dans le message news: BF7E7D61.2D21A%
Et même ce que tu suggères (tempo pour une valeur rythmique) risque de
très
mal fonctionner pour noter le chant grégorien...
Juste ! Bon, si on était embauchés, on y penserait un peu plus longtemps ;-)
à ce sujet, il existe un module de "traduction" qui, paraît-il fonctionne avec Finale (il me semble me souvenir que c'est livré sous forme de plug-in si on achète la police kivabien). J'avoue ne connaître personne qui l'a utilisé, mais les pages internet que j'ai vues à ce sujet sont assez bluffantes... Évidemment,
c'est
pas gratuit (250 euros !!!).
<http://www.klemm-music.de/medieval/index_f.htm>
J'ai récupéré un jour un pseudo facsimile du Kyrie de la messe de Machaut, qui était effectivement bluffant. Je vais aller voir si c'est le truc dont tu parles.
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English midi - facsimiles - ligatures - mensuration http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/ Alain Naigeon - - Strasbourg, France
Gerald
Alain Naigeon wrote:
> En fait, la principale incohérence est de vouloir qu'un logiciel > d'édition de partition, qui, en fait ressort historiquement des arts > graphiques et d'une symbolique ancienne, soit AUSSI un séquenceur qui > respecte les temps etc.
Là je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'une difficulté a été mal résolue (donc affrontée à tort) à une époque où les outils ne le permettaient pas, que le problème est intrinsèquement "pervers". [...]
Le musicien voit une partition sous divers aspects ; certains concernent la métrique, d'autres l'expression
Je maintiens : *dans tous les cas* la partition finie et proposée à la vente est un document qui ressort des "métiers du livre", avec tout le poids de l'histoire de la composition, de la typographie, de la mise en page.
Après la gravure au poinçon (à l'envers !) sur plaques de cuivre ou de plomb, l'époque qui a immédiatement précédé le passage à l'informatique utilisait le Rotring et le normographe. Les problèmes qui se posaient au "graveur" étaient alors uniquement de "présentation" et de répartition des notes dans les mesures, des mesures dans les systèmes des systèmes dans les pages, avec le problème de la "tourne" etc. Des problèmes purement graphiques d'une mise en place la plus esthétique et la plus lisible possible d'un langage conventionnel auquel on demandait toutefois de se plier, création après création, aux exigences de l'innovation permanente des compositeurs.
Et quand le *premier* logiciel permettant de le faire sur informatique est né, (en mode graphique s'entend !) le MIDI balbutiait et les séquenceurs n'existaient pratiquement que sous forme hardware et c'était très bien ! Car pour le graveur professionnel qui *de toutes façons* devait (et doit toujours amha) forcément terminer sous Illustrator pour les boulots vraiment "léchés", il suffisait d'avoir un logiciel capable de *répartir* automatiquement et proprement les notes qu'on saisissait de manière "dactylograpique" et de sortir un eps dégroupable. Le fait d'entendre le résultat sous forme d'une séquence qui défile était non seulement anecdotique mais même, en fait, incongru pour quelqu'un qui sait a priori lire et "entend" ce qu'il lit dans la tête.
Mais notre divorce vient bien de là : je parle du point de vue du professionnel qu'un éditeur paye pour fabriquer des recueils, c'est-à-dire de gravure en tant que *métier* autonome, et on n'est pas nombreux. Tu parles des multiples besoins que peut avoir désormais un musicien ou un enseignant de réaliser une partition (ou une sortie papier d'une oeuvre écrite sur séquenceur) et dans ce cadre, qui n'est pas stricto sensu la gravure de partition mais qui recouvre beaucoup plus de monde et de choix variés, ce que tu dis a évidemment un sens.
Cordialement,
-- Gérald
Alain Naigeon <anaigeon@free.fr> wrote:
> En fait, la principale incohérence est de vouloir qu'un logiciel
> d'édition de partition, qui, en fait ressort historiquement des arts
> graphiques et d'une symbolique ancienne, soit AUSSI un séquenceur qui
> respecte les temps etc.
Là je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'une difficulté a été
mal résolue (donc affrontée à tort) à une époque où les outils ne le
permettaient pas, que le problème est intrinsèquement "pervers".
[...]
Le musicien voit une partition sous divers aspects ; certains
concernent la métrique, d'autres l'expression
Je maintiens : *dans tous les cas* la partition finie et proposée à la
vente est un document qui ressort des "métiers du livre", avec tout le
poids de l'histoire de la composition, de la typographie, de la mise en
page.
Après la gravure au poinçon (à l'envers !) sur plaques de cuivre ou de
plomb, l'époque qui a immédiatement précédé le passage à l'informatique
utilisait le Rotring et le normographe. Les problèmes qui se posaient au
"graveur" étaient alors uniquement de "présentation" et de répartition
des notes dans les mesures, des mesures dans les systèmes des systèmes
dans les pages, avec le problème de la "tourne" etc. Des problèmes
purement graphiques d'une mise en place la plus esthétique et la plus
lisible possible d'un langage conventionnel auquel on demandait
toutefois de se plier, création après création, aux exigences de
l'innovation permanente des compositeurs.
Et quand le *premier* logiciel permettant de le faire sur informatique
est né, (en mode graphique s'entend !) le MIDI balbutiait et les
séquenceurs n'existaient pratiquement que sous forme hardware et c'était
très bien ! Car pour le graveur professionnel qui *de toutes façons*
devait (et doit toujours amha) forcément terminer sous Illustrator pour
les boulots vraiment "léchés", il suffisait d'avoir un logiciel capable
de *répartir* automatiquement et proprement les notes qu'on saisissait
de manière "dactylograpique" et de sortir un eps dégroupable. Le fait
d'entendre le résultat sous forme d'une séquence qui défile était non
seulement anecdotique mais même, en fait, incongru pour quelqu'un qui
sait a priori lire et "entend" ce qu'il lit dans la tête.
Mais notre divorce vient bien de là : je parle du point de vue du
professionnel qu'un éditeur paye pour fabriquer des recueils,
c'est-à-dire de gravure en tant que *métier* autonome, et on n'est pas
nombreux. Tu parles des multiples besoins que peut avoir désormais un
musicien ou un enseignant de réaliser une partition (ou une sortie
papier d'une oeuvre écrite sur séquenceur) et dans ce cadre, qui n'est
pas stricto sensu la gravure de partition mais qui recouvre beaucoup
plus de monde et de choix variés, ce que tu dis a évidemment un sens.
> En fait, la principale incohérence est de vouloir qu'un logiciel > d'édition de partition, qui, en fait ressort historiquement des arts > graphiques et d'une symbolique ancienne, soit AUSSI un séquenceur qui > respecte les temps etc.
Là je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'une difficulté a été mal résolue (donc affrontée à tort) à une époque où les outils ne le permettaient pas, que le problème est intrinsèquement "pervers". [...]
Le musicien voit une partition sous divers aspects ; certains concernent la métrique, d'autres l'expression
Je maintiens : *dans tous les cas* la partition finie et proposée à la vente est un document qui ressort des "métiers du livre", avec tout le poids de l'histoire de la composition, de la typographie, de la mise en page.
Après la gravure au poinçon (à l'envers !) sur plaques de cuivre ou de plomb, l'époque qui a immédiatement précédé le passage à l'informatique utilisait le Rotring et le normographe. Les problèmes qui se posaient au "graveur" étaient alors uniquement de "présentation" et de répartition des notes dans les mesures, des mesures dans les systèmes des systèmes dans les pages, avec le problème de la "tourne" etc. Des problèmes purement graphiques d'une mise en place la plus esthétique et la plus lisible possible d'un langage conventionnel auquel on demandait toutefois de se plier, création après création, aux exigences de l'innovation permanente des compositeurs.
Et quand le *premier* logiciel permettant de le faire sur informatique est né, (en mode graphique s'entend !) le MIDI balbutiait et les séquenceurs n'existaient pratiquement que sous forme hardware et c'était très bien ! Car pour le graveur professionnel qui *de toutes façons* devait (et doit toujours amha) forcément terminer sous Illustrator pour les boulots vraiment "léchés", il suffisait d'avoir un logiciel capable de *répartir* automatiquement et proprement les notes qu'on saisissait de manière "dactylograpique" et de sortir un eps dégroupable. Le fait d'entendre le résultat sous forme d'une séquence qui défile était non seulement anecdotique mais même, en fait, incongru pour quelqu'un qui sait a priori lire et "entend" ce qu'il lit dans la tête.
Mais notre divorce vient bien de là : je parle du point de vue du professionnel qu'un éditeur paye pour fabriquer des recueils, c'est-à-dire de gravure en tant que *métier* autonome, et on n'est pas nombreux. Tu parles des multiples besoins que peut avoir désormais un musicien ou un enseignant de réaliser une partition (ou une sortie papier d'une oeuvre écrite sur séquenceur) et dans ce cadre, qui n'est pas stricto sensu la gravure de partition mais qui recouvre beaucoup plus de monde et de choix variés, ce que tu dis a évidemment un sens.
Cordialement,
-- Gérald
Alain Naigeon
"Gerald" a écrit dans le message news: 1h4tnz2.1yh8urw19uqfgN%
Alain Naigeon wrote:
> > En fait, la principale incohérence est de vouloir qu'un logiciel > > d'édition de partition, qui, en fait ressort historiquement des arts > > graphiques et d'une symbolique ancienne, soit AUSSI un séquenceur qui > > respecte les temps etc. > > Là je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'une difficulté a été > mal résolue (donc affrontée à tort) à une époque où les outils ne le > permettaient pas, que le problème est intrinsèquement "pervers". > [...] > > Le musicien voit une partition sous divers aspects ; certains > concernent la métrique, d'autres l'expression
Je maintiens : *dans tous les cas* la partition finie et proposée à la vente est un document qui ressort des "métiers du livre", avec tout le poids de l'histoire de la composition, de la typographie, de la mise en page.
Eh bien, quand ai-je dit le contraire ? Ou bien tu as légèrement déplacé le débat, ou bien tu n'as pas compris à quelle partie de ton propos je répondais.
Pour résumer : ton propos consistait essentiellement à dire qu'on ne peut intégrer deux métiers différents dans un logiciel.
Et moi je t'ai cité des logiciels qui intègrent de nombreux métiers, tout à fait aussi compliqués et aussi nobles que la gravure.
C'est tout ce je disais...
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English midi - facsimiles - ligatures - mensuration http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/ Alain Naigeon - - Strasbourg, France
"Gerald" <Gerald@alussinan.org> a écrit dans le message news:
1h4tnz2.1yh8urw19uqfgN%Gerald@alussinan.org...
Alain Naigeon <anaigeon@free.fr> wrote:
> > En fait, la principale incohérence est de vouloir qu'un logiciel
> > d'édition de partition, qui, en fait ressort historiquement des arts
> > graphiques et d'une symbolique ancienne, soit AUSSI un séquenceur qui
> > respecte les temps etc.
>
> Là je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'une difficulté a été
> mal résolue (donc affrontée à tort) à une époque où les outils ne le
> permettaient pas, que le problème est intrinsèquement "pervers".
> [...]
>
> Le musicien voit une partition sous divers aspects ; certains
> concernent la métrique, d'autres l'expression
Je maintiens : *dans tous les cas* la partition finie et proposée à la
vente est un document qui ressort des "métiers du livre", avec tout le
poids de l'histoire de la composition, de la typographie, de la mise en
page.
Eh bien, quand ai-je dit le contraire ? Ou bien tu as légèrement déplacé
le débat, ou bien tu n'as pas compris à quelle partie de ton propos je
répondais.
Pour résumer : ton propos consistait essentiellement à dire qu'on ne peut
intégrer deux métiers différents dans un logiciel.
Et moi je t'ai cité des logiciels qui intègrent de nombreux métiers, tout
à fait aussi compliqués et aussi nobles que la gravure.
C'est tout ce je disais...
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English
midi - facsimiles - ligatures - mensuration
http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/
Alain Naigeon - anaigeon@free.fr - Strasbourg, France
"Gerald" a écrit dans le message news: 1h4tnz2.1yh8urw19uqfgN%
Alain Naigeon wrote:
> > En fait, la principale incohérence est de vouloir qu'un logiciel > > d'édition de partition, qui, en fait ressort historiquement des arts > > graphiques et d'une symbolique ancienne, soit AUSSI un séquenceur qui > > respecte les temps etc. > > Là je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'une difficulté a été > mal résolue (donc affrontée à tort) à une époque où les outils ne le > permettaient pas, que le problème est intrinsèquement "pervers". > [...] > > Le musicien voit une partition sous divers aspects ; certains > concernent la métrique, d'autres l'expression
Je maintiens : *dans tous les cas* la partition finie et proposée à la vente est un document qui ressort des "métiers du livre", avec tout le poids de l'histoire de la composition, de la typographie, de la mise en page.
Eh bien, quand ai-je dit le contraire ? Ou bien tu as légèrement déplacé le débat, ou bien tu n'as pas compris à quelle partie de ton propos je répondais.
Pour résumer : ton propos consistait essentiellement à dire qu'on ne peut intégrer deux métiers différents dans un logiciel.
Et moi je t'ai cité des logiciels qui intègrent de nombreux métiers, tout à fait aussi compliqués et aussi nobles que la gravure.
C'est tout ce je disais...
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English midi - facsimiles - ligatures - mensuration http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/ Alain Naigeon - - Strasbourg, France
joebar.hoareau
on ne peut pas placer une barre de reprise en milieu de mesure car la barre de reprise est la barre de mesure il faut changer la metrique de la mesure et ensuite placer la reprise tout simplement. par ex metrique en 4/4 la phrase se finit au mileu de la mesure chngement de metrique 3/4 et barre de reprise. salut "christophe" îl.fr> a écrit dans le message de news: WX25f.66233$
comment peut on mettre une barre de reprise au milieu d'une mesure. A chaque fois finale me la place en fin de mesure et je n'arrive pas à la déplacer. merci
on ne peut pas placer une barre de reprise en milieu de mesure car la barre
de reprise est la barre de mesure il faut changer la metrique de la mesure
et ensuite placer la reprise tout simplement. par ex metrique en 4/4 la
phrase se finit au mileu de la mesure chngement de metrique 3/4 et barre de
reprise.
salut
"christophe" <c.ba@nomaîl.fr> a écrit dans le message de news:
WX25f.66233$M04.64350@news.chello.at...
comment peut on mettre une barre de reprise au milieu d'une mesure. A
chaque fois finale me la place en fin de mesure et je n'arrive pas à la
déplacer.
merci
on ne peut pas placer une barre de reprise en milieu de mesure car la barre de reprise est la barre de mesure il faut changer la metrique de la mesure et ensuite placer la reprise tout simplement. par ex metrique en 4/4 la phrase se finit au mileu de la mesure chngement de metrique 3/4 et barre de reprise. salut "christophe" îl.fr> a écrit dans le message de news: WX25f.66233$
comment peut on mettre une barre de reprise au milieu d'une mesure. A chaque fois finale me la place en fin de mesure et je n'arrive pas à la déplacer. merci