comment faites vous, aimez vous, est ce un style, utilisez vous cette
méthode en vous disant , je me mets ça dnas un coin de la tête et je
reviendrai ?
Ou est ce un genre a part entière, donc pour illustrer , une photo notée " a
tout hasard " ou à debiter au compte du hasard (clin d'oeil au passage à
PL )
Standard téléphonique ancien.
il y en a plus que ca, ici, même si le numérique a réduit le nombre de
boitiers à un au lieu de trois... et je fais des photos quand c'est possible (souvent)
mais tant qu'on aura pas le sensorama complet (avec vent, odeurs...)...
ca , c'est encore autre chose, ceci dit, moi j'apprecie d'avoir un appareil petit, toujours sur moi, un Optio 7 et qui donne malgré tout des résultats au delà du simple bloc note faible en pixels.
-- Ricco
jean-daniel dodin wrote:
il y en a plus que ca, ici, même si le numérique a réduit le nombre de
boitiers à un au lieu de trois... et je fais des photos quand c'est
possible (souvent)
mais tant qu'on aura pas le sensorama complet (avec vent,
odeurs...)...
ca , c'est encore autre chose, ceci dit, moi j'apprecie d'avoir un appareil
petit, toujours sur moi, un Optio 7 et qui donne malgré tout des résultats
au delà du simple bloc note faible en pixels.
il y en a plus que ca, ici, même si le numérique a réduit le nombre de
boitiers à un au lieu de trois... et je fais des photos quand c'est possible (souvent)
mais tant qu'on aura pas le sensorama complet (avec vent, odeurs...)...
ca , c'est encore autre chose, ceci dit, moi j'apprecie d'avoir un appareil petit, toujours sur moi, un Optio 7 et qui donne malgré tout des résultats au delà du simple bloc note faible en pixels.
-- Ricco
alainL
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 471498e0$0$25945$
jean-daniel dodin a écrit ( 4713c7f0$0$32675$ )
il y a aussi beaucoup de sujets impossibles à photographier (coucher de soleil nuancé, brouillards, paysages larges) - en tout cas pas sans s'y prendre à l'avance et longtemps.
On se rapproche sans doute de la fin de ces situations.
Je me faisais la réflexion hier au petit matin. J'étais en voiture, les feux de signalisation et des voitures crachaient des rouges absolus, le ciel se teintait, y avait là une dynamique extraordinaire qu'actuellement aucun capteur n'est capable d'enregistrer. (alors que n'importe quel illustrateur le fait quand il veut)
En parallèle on avait le même problème avec les scènes animées en faible éclairage, soirées, bars, rues, etc. Or les sensibilités actuelles font que ces photos impossibles deviennent accessibles. D'ici dix ans il n'y aura plus aucun mérite à faire des photos difficiles aujourd'hui et impossibles il y a cinquante ans.
Et je me disais que le jour où nos écrans vont être à grande dynamique - ça se dessine - et que les capteurs le seront aussi - ça a failli se faire avec le super CCD de Fujifilm - on va être capable de restituer l'impossible d'aujourd'hui. Ce qu'on ressent devant un paysage ou une scène ne passe sans doute pas que
par les yeux ! Un brouillard matinal sur la rivière offrira des sons ouatés, une odeur humide, une fraîcheur sur la peau, une curiosité de voir au-delà.... Que dire du vent , du vertige et du sentiment d'immensité et de liberté qu'on trouve sur un sommet, du silence et de la paix profonde qui règnent sur la forêt roussie certains jours ensoleillés d'automne... La photo peut l'évoquer, sans doute, s'il y a un précédent, si elle peut rappeler de telles situations déjà vécues. Mais je ne sais pas si un jour elle pourra les créer.... Les Impressionnistes ont essayé .... Il arrive qu'on se sente en phase avec certains tableaux mais là encore, il faut souvent un précédent pour combler le manque, l'image ne suffit pas. alainL
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit dans le message de news:
471498e0$0$25945$ba4acef3@news.orange.fr...
jean-daniel dodin a écrit
( 4713c7f0$0$32675$426a74cc@news.free.fr )
il y a aussi beaucoup de sujets impossibles à photographier (coucher de
soleil nuancé, brouillards, paysages larges) - en tout cas pas sans s'y
prendre à l'avance et longtemps.
On se rapproche sans doute de la fin de ces situations.
Je me faisais la réflexion hier au petit matin. J'étais en voiture, les
feux
de signalisation et des voitures crachaient des rouges absolus, le ciel se
teintait, y avait là une dynamique extraordinaire qu'actuellement aucun
capteur n'est capable d'enregistrer.
(alors que n'importe quel illustrateur le fait quand il veut)
En parallèle on avait le même problème avec les scènes animées en faible
éclairage, soirées, bars, rues, etc. Or les sensibilités actuelles font
que
ces photos impossibles deviennent accessibles. D'ici dix ans il n'y aura
plus aucun mérite à faire des photos difficiles aujourd'hui et impossibles
il y a cinquante ans.
Et je me disais que le jour où nos écrans vont être à grande dynamique -
ça
se dessine - et que les capteurs le seront aussi - ça a failli se faire
avec
le super CCD de Fujifilm - on va être capable de restituer l'impossible
d'aujourd'hui.
Ce qu'on ressent devant un paysage ou une scène ne passe sans doute pas que
par les yeux ! Un brouillard matinal sur la rivière offrira des sons
ouatés, une odeur humide, une fraîcheur sur la peau, une curiosité de voir
au-delà.... Que dire du vent , du vertige et du sentiment d'immensité et de
liberté qu'on trouve sur un sommet, du silence et de la paix profonde qui
règnent sur la forêt roussie certains jours ensoleillés d'automne...
La photo peut l'évoquer, sans doute, s'il y a un précédent, si elle peut
rappeler de telles situations déjà vécues. Mais je ne sais pas si un jour
elle pourra les créer....
Les Impressionnistes ont essayé .... Il arrive qu'on se sente en phase avec
certains tableaux mais là encore, il faut souvent un précédent pour combler
le manque, l'image ne suffit pas.
alainL
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 471498e0$0$25945$
jean-daniel dodin a écrit ( 4713c7f0$0$32675$ )
il y a aussi beaucoup de sujets impossibles à photographier (coucher de soleil nuancé, brouillards, paysages larges) - en tout cas pas sans s'y prendre à l'avance et longtemps.
On se rapproche sans doute de la fin de ces situations.
Je me faisais la réflexion hier au petit matin. J'étais en voiture, les feux de signalisation et des voitures crachaient des rouges absolus, le ciel se teintait, y avait là une dynamique extraordinaire qu'actuellement aucun capteur n'est capable d'enregistrer. (alors que n'importe quel illustrateur le fait quand il veut)
En parallèle on avait le même problème avec les scènes animées en faible éclairage, soirées, bars, rues, etc. Or les sensibilités actuelles font que ces photos impossibles deviennent accessibles. D'ici dix ans il n'y aura plus aucun mérite à faire des photos difficiles aujourd'hui et impossibles il y a cinquante ans.
Et je me disais que le jour où nos écrans vont être à grande dynamique - ça se dessine - et que les capteurs le seront aussi - ça a failli se faire avec le super CCD de Fujifilm - on va être capable de restituer l'impossible d'aujourd'hui. Ce qu'on ressent devant un paysage ou une scène ne passe sans doute pas que
par les yeux ! Un brouillard matinal sur la rivière offrira des sons ouatés, une odeur humide, une fraîcheur sur la peau, une curiosité de voir au-delà.... Que dire du vent , du vertige et du sentiment d'immensité et de liberté qu'on trouve sur un sommet, du silence et de la paix profonde qui règnent sur la forêt roussie certains jours ensoleillés d'automne... La photo peut l'évoquer, sans doute, s'il y a un précédent, si elle peut rappeler de telles situations déjà vécues. Mais je ne sais pas si un jour elle pourra les créer.... Les Impressionnistes ont essayé .... Il arrive qu'on se sente en phase avec certains tableaux mais là encore, il faut souvent un précédent pour combler le manque, l'image ne suffit pas. alainL
Ricco
alainL wrote:
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 471498e0$0$25945$
jean-daniel dodin a écrit ( 4713c7f0$0$32675$ )
il y a aussi beaucoup de sujets impossibles à photographier (coucher de soleil nuancé, brouillards, paysages larges) - en tout cas pas sans s'y prendre à l'avance et longtemps.
On se rapproche sans doute de la fin de ces situations.
Je me faisais la réflexion hier au petit matin. J'étais en voiture, les feux de signalisation et des voitures crachaient des rouges absolus, le ciel se teintait, y avait là une dynamique extraordinaire qu'actuellement aucun capteur n'est capable d'enregistrer. (alors que n'importe quel illustrateur le fait quand il veut)
En parallèle on avait le même problème avec les scènes animées en faible éclairage, soirées, bars, rues, etc. Or les sensibilités actuelles font que ces photos impossibles deviennent accessibles. D'ici dix ans il n'y aura plus aucun mérite à faire des photos difficiles aujourd'hui et impossibles il y a cinquante ans.
Et je me disais que le jour où nos écrans vont être à grande dynamique - ça se dessine - et que les capteurs le seront aussi - ça a failli se faire avec le super CCD de Fujifilm - on va être capable de restituer l'impossible d'aujourd'hui. Ce qu'on ressent devant un paysage ou une scène ne passe sans doute
pas que par les yeux ! Un brouillard matinal sur la rivière offrira des sons ouatés, une odeur humide, une fraîcheur sur la peau, une curiosité de voir au-delà.... Que dire du vent , du vertige et du sentiment d'immensité et de liberté qu'on trouve sur un sommet, du silence et de la paix profonde qui règnent sur la forêt roussie certains jours ensoleillés d'automne... La photo peut l'évoquer, sans doute, s'il y a un précédent, si elle peut rappeler de telles situations déjà vécues. Mais je ne sais pas si un jour elle pourra les créer.... Les Impressionnistes ont essayé .... Il arrive qu'on se sente en phase avec certains tableaux mais là encore, il faut souvent un précédent pour combler le manque, l'image ne suffit pas. alainL
ben oui, mais faute de grives , c'est comme une escalope de veau que tu manges sur une table basse et sur laquelle tu presses un citron, sur la photo tu verras une escalope, tu n'auras pas l'ambiance de fin de journée par la fenêtre ouverte un soir d'été qui s 'attarde, un truc que tu regardes du coin de l'oeil à la télé, mais, et voilà le mais, le pouvoir évocateur de l'image, le regard qui parcourt les lieux, les souvenirs qui remontent, comme quand on entend la chanson d'une époque et que tu te dis, je devais avoir trente ans, là c'est Supertramp , la deuxième plage de Breakfast in América, Parfois on retombe sur une photo anodine, qu on a conservée, on ne sait même pas pourquoi, qu on ne savait même pas qu on l'avait gardée, et voilà, c'est magique. parfois certains tombent sur des photos dont la moitié a été découpée, ça arrivait souvent quand j'avais le labo. -- -- Ricco
alainL wrote:
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit dans le message de news:
471498e0$0$25945$ba4acef3@news.orange.fr...
jean-daniel dodin a écrit
( 4713c7f0$0$32675$426a74cc@news.free.fr )
il y a aussi beaucoup de sujets impossibles à photographier
(coucher de soleil nuancé, brouillards, paysages larges) - en tout
cas pas sans s'y prendre à l'avance et longtemps.
On se rapproche sans doute de la fin de ces situations.
Je me faisais la réflexion hier au petit matin. J'étais en voiture,
les feux
de signalisation et des voitures crachaient des rouges absolus, le
ciel se teintait, y avait là une dynamique extraordinaire
qu'actuellement aucun capteur n'est capable d'enregistrer.
(alors que n'importe quel illustrateur le fait quand il veut)
En parallèle on avait le même problème avec les scènes animées en
faible éclairage, soirées, bars, rues, etc. Or les sensibilités
actuelles font que
ces photos impossibles deviennent accessibles. D'ici dix ans il n'y
aura plus aucun mérite à faire des photos difficiles aujourd'hui et
impossibles il y a cinquante ans.
Et je me disais que le jour où nos écrans vont être à grande
dynamique - ça
se dessine - et que les capteurs le seront aussi - ça a failli se
faire avec
le super CCD de Fujifilm - on va être capable de restituer
l'impossible d'aujourd'hui.
Ce qu'on ressent devant un paysage ou une scène ne passe sans doute
pas que par les yeux ! Un brouillard matinal sur la rivière offrira
des sons ouatés, une odeur humide, une fraîcheur sur la peau, une
curiosité de voir au-delà.... Que dire du vent , du vertige et du
sentiment d'immensité et de liberté qu'on trouve sur un sommet, du
silence et de la paix profonde qui règnent sur la forêt roussie
certains jours ensoleillés d'automne... La photo peut l'évoquer, sans
doute, s'il y a un précédent, si elle
peut rappeler de telles situations déjà vécues. Mais je ne sais pas
si un jour elle pourra les créer....
Les Impressionnistes ont essayé .... Il arrive qu'on se sente en
phase avec certains tableaux mais là encore, il faut souvent un
précédent pour combler le manque, l'image ne suffit pas.
alainL
ben oui, mais faute de grives , c'est comme une escalope de veau que tu
manges sur une table basse et sur laquelle tu presses un citron, sur la
photo tu verras une escalope, tu n'auras pas l'ambiance de fin de journée
par la fenêtre ouverte un soir d'été qui s 'attarde, un truc que tu
regardes du coin de l'oeil à la télé, mais, et voilà le mais, le pouvoir
évocateur de l'image, le regard qui parcourt les lieux, les souvenirs qui
remontent, comme quand on entend la chanson d'une époque et que tu te dis,
je devais avoir trente ans, là c'est Supertramp , la deuxième plage de
Breakfast in América,
Parfois on retombe sur une photo anodine, qu on a conservée, on ne sait même
pas pourquoi, qu on ne savait même pas qu on l'avait gardée, et voilà, c'est
magique.
parfois certains tombent sur des photos dont la moitié a été découpée, ça
arrivait souvent quand j'avais le labo.
--
--
Ricco
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 471498e0$0$25945$
jean-daniel dodin a écrit ( 4713c7f0$0$32675$ )
il y a aussi beaucoup de sujets impossibles à photographier (coucher de soleil nuancé, brouillards, paysages larges) - en tout cas pas sans s'y prendre à l'avance et longtemps.
On se rapproche sans doute de la fin de ces situations.
Je me faisais la réflexion hier au petit matin. J'étais en voiture, les feux de signalisation et des voitures crachaient des rouges absolus, le ciel se teintait, y avait là une dynamique extraordinaire qu'actuellement aucun capteur n'est capable d'enregistrer. (alors que n'importe quel illustrateur le fait quand il veut)
En parallèle on avait le même problème avec les scènes animées en faible éclairage, soirées, bars, rues, etc. Or les sensibilités actuelles font que ces photos impossibles deviennent accessibles. D'ici dix ans il n'y aura plus aucun mérite à faire des photos difficiles aujourd'hui et impossibles il y a cinquante ans.
Et je me disais que le jour où nos écrans vont être à grande dynamique - ça se dessine - et que les capteurs le seront aussi - ça a failli se faire avec le super CCD de Fujifilm - on va être capable de restituer l'impossible d'aujourd'hui. Ce qu'on ressent devant un paysage ou une scène ne passe sans doute
pas que par les yeux ! Un brouillard matinal sur la rivière offrira des sons ouatés, une odeur humide, une fraîcheur sur la peau, une curiosité de voir au-delà.... Que dire du vent , du vertige et du sentiment d'immensité et de liberté qu'on trouve sur un sommet, du silence et de la paix profonde qui règnent sur la forêt roussie certains jours ensoleillés d'automne... La photo peut l'évoquer, sans doute, s'il y a un précédent, si elle peut rappeler de telles situations déjà vécues. Mais je ne sais pas si un jour elle pourra les créer.... Les Impressionnistes ont essayé .... Il arrive qu'on se sente en phase avec certains tableaux mais là encore, il faut souvent un précédent pour combler le manque, l'image ne suffit pas. alainL
ben oui, mais faute de grives , c'est comme une escalope de veau que tu manges sur une table basse et sur laquelle tu presses un citron, sur la photo tu verras une escalope, tu n'auras pas l'ambiance de fin de journée par la fenêtre ouverte un soir d'été qui s 'attarde, un truc que tu regardes du coin de l'oeil à la télé, mais, et voilà le mais, le pouvoir évocateur de l'image, le regard qui parcourt les lieux, les souvenirs qui remontent, comme quand on entend la chanson d'une époque et que tu te dis, je devais avoir trente ans, là c'est Supertramp , la deuxième plage de Breakfast in América, Parfois on retombe sur une photo anodine, qu on a conservée, on ne sait même pas pourquoi, qu on ne savait même pas qu on l'avait gardée, et voilà, c'est magique. parfois certains tombent sur des photos dont la moitié a été découpée, ça arrivait souvent quand j'avais le labo. -- -- Ricco
jean-daniel dodin
Ricco wrote:
jean-daniel dodin wrote:
il y en a plus que ca, ici, même si le numérique a réduit le nombre de
boitiers à un au lieu de trois... et je fais des photos quand c'est possible (souvent)
mais tant qu'on aura pas le sensorama complet (avec vent, odeurs...)...
ca , c'est encore autre chose, ceci dit, moi j'apprecie d'avoir un appareil petit, toujours sur moi, un Optio 7 et qui donne malgré tout des résultats au delà du simple bloc note faible en pixels.
pas si mauvais, un simple téléphone 2Mpix même pas bien noté sur ce point dans les essais (nokia E65):
http://cjoint.com/data/kqrEuEC36F.htm
c'est ce qu'on voit par la fenêtre de mon bureau (en montant sur une chaise, c'est un vélux :-)
jdd
-- http://www.dodin.net
Ricco wrote:
jean-daniel dodin wrote:
il y en a plus que ca, ici, même si le numérique a réduit le nombre de
boitiers à un au lieu de trois... et je fais des photos quand c'est
possible (souvent)
mais tant qu'on aura pas le sensorama complet (avec vent,
odeurs...)...
ca , c'est encore autre chose, ceci dit, moi j'apprecie d'avoir un
appareil petit, toujours sur moi, un Optio 7 et qui donne malgré tout
des résultats au delà du simple bloc note faible en pixels.
pas si mauvais, un simple téléphone 2Mpix même pas bien noté sur ce
point dans les essais (nokia E65):
http://cjoint.com/data/kqrEuEC36F.htm
c'est ce qu'on voit par la fenêtre de mon bureau (en montant sur une
chaise, c'est un vélux :-)
il y en a plus que ca, ici, même si le numérique a réduit le nombre de
boitiers à un au lieu de trois... et je fais des photos quand c'est possible (souvent)
mais tant qu'on aura pas le sensorama complet (avec vent, odeurs...)...
ca , c'est encore autre chose, ceci dit, moi j'apprecie d'avoir un appareil petit, toujours sur moi, un Optio 7 et qui donne malgré tout des résultats au delà du simple bloc note faible en pixels.
pas si mauvais, un simple téléphone 2Mpix même pas bien noté sur ce point dans les essais (nokia E65):
http://cjoint.com/data/kqrEuEC36F.htm
c'est ce qu'on voit par la fenêtre de mon bureau (en montant sur une chaise, c'est un vélux :-)
jdd
-- http://www.dodin.net
Ricco
jean-daniel dodin wrote:
pas si mauvais, un simple téléphone 2Mpix même pas bien noté sur ce point dans les essais (nokia E65):
http://cjoint.com/data/kqrEuEC36F.htm
c'est ce qu'on voit par la fenêtre de mon bureau (en montant sur une chaise, c'est un vélux :-)
vu comme ca sur un écran c'est tres supportable , c'est vrai, si je pouvais n'avoir qu un seul appareil ca ne me déplairait pas
-- Ricco
jean-daniel dodin wrote:
pas si mauvais, un simple téléphone 2Mpix même pas bien noté sur ce
point dans les essais (nokia E65):
http://cjoint.com/data/kqrEuEC36F.htm
c'est ce qu'on voit par la fenêtre de mon bureau (en montant sur une
chaise, c'est un vélux :-)
vu comme ca sur un écran c'est tres supportable , c'est vrai, si je pouvais
n'avoir qu un seul appareil ca ne me déplairait pas
