Vendredi 6 février 2004, j'ai constaté un truc incroyable. Deux sortes de
flics se sont croisés sur le quai de la Loire une équipe à vélo et une
équipe en auto non banalisée. Aucun n'a vu une voiture très visiblement
stationnée sur un passage pour piétons qui me gènait, moi piéton, pour
traverser et m'oblogeait à un contour dangereux !
Et pourquoi n'ont-ils rien vu ? Par ce qu'ils ne bossent pas sérieusement
mais se "balladent" aux frais du contribuable ! C'est une honte ! par
contre, allez leur faire la remarque en direct et ils ne vous louperont pas
!
"Olivier" a écrit dans le message de news:c05gn7$viu$
<Bleck-le-Roc> a écrit dans le message de news:40261ed7$0$6966$ >
T'as pas dû fréquenter beaucoupde loubards, toi. Ou alors, c'est que t'en
es
un toi-même !
NON mais il n'y a que cela dans certains quartiers comme le mien : vente
de drogue, protitution de droguées, etc.
"Leo" a écrit dans le message de news:c05o46$lhe$
moi aussi, j'etais sur le quai de loire, et je vous ai remarque. J'ai vu
que
vous etiez outré, moi aussi. Alors, j'ai demande a l'equipe a velo pourquoi ils ne verbalisaient pas. Ils m'ont repondu qu'ils etaient envoyes rue de flandre , car un type
etait
en train de violer une fillette de 4 ans. j'ai suivi la voiture banalisee, et un peu plus loin, ils ont coince une voiture dont les occupants venaient de braquer une banque. comme quoi, tout est relatif, comme disait albert
!
"Leo" <xxx@xxx.com> a écrit dans le message de
news:c05o46$lhe$1@news-reader4.wanadoo.fr...
moi aussi, j'etais sur le quai de loire, et je vous ai remarque. J'ai vu
que
vous etiez outré, moi aussi.
Alors, j'ai demande a l'equipe a velo pourquoi ils ne verbalisaient pas.
Ils m'ont repondu qu'ils etaient envoyes rue de flandre , car un type
etait
en train de violer une fillette de 4 ans.
j'ai suivi la voiture banalisee, et un peu plus loin, ils ont coince une
voiture dont les occupants venaient de braquer une banque.
comme quoi, tout est relatif, comme disait albert
moi aussi, j'etais sur le quai de loire, et je vous ai remarque. J'ai vu
que
vous etiez outré, moi aussi. Alors, j'ai demande a l'equipe a velo pourquoi ils ne verbalisaient pas. Ils m'ont repondu qu'ils etaient envoyes rue de flandre , car un type
etait
en train de violer une fillette de 4 ans. j'ai suivi la voiture banalisee, et un peu plus loin, ils ont coince une voiture dont les occupants venaient de braquer une banque. comme quoi, tout est relatif, comme disait albert
!
Pelic
Le Sun, 8 Feb 2004 19:03:29 +0100, tripotait amoureusement son clavier et disait:
> NON mais il n'y a que cela dans certains quartiers comme le mien : vente de drogue, protitution de droguées, etc.
L'auteur du post précédent a fait une description longue - inutile de la réprendre (très long). Il est né en 1950, donc nous connaissons la même chose.
Il parle de la mobile comme des "brigades d'intevention", je crois que cela s'est fait après 68. On a recruté quasiment des voyous auxquels on a mis des uniformes. C'étaient des "cogneurs". Et on leur a donné l'occasion de se défouler en les envoyant en casseur de grèves (contre les ouvriers) ou contre les étudiants. Ils pouvaient cogner sans se faire enbastiller !!! On a même mis certains sur des motos, un conducteur et un cogneur. Mais ils ne faisaient même pas la distinction entre manifestants et jeunes qui passaient à proximité.
Il y a eu des morts. Un cas connu des interventions à moto est un jeune qui a été tabassé dans le couloir d'un immeuble. Il était insuffisant rénal, il n'avait rien à voir avec la manifestation et il est mort.
C'était tellement abusif que certains "flics" (policiers ou gendarmes, je ne sais plus) ont même essayé de faire grève contre ces brigades qui souillaient leur réputation. En 70 - je crois - pendant les municipales dans des villes où se présentaient des ministre, son a créé des incidents pour provoquer les étudiants et envoyer les brigades d'intervention pour dire "nous, c'est l'ordre, donc votez pour nous".
J'ai aussi connu une mode des contrôles d'identité dans la rue. Personnellement, je l'ai subi sans avoir de problème. En voiture, j'ai même sur un trajet eu droit à 3 contrôles successifs (les cartes d'identité avec appel aux Préfectures sans contrôle ni du permis de conduire ni des papiers du véhicule) - 1/4 d'heures à chaque fois. C'étaient des gendarmes de campagne - pas de problème. Mais dans certains cas, pour ne pas faire ce travail, certains flics ont brutalisé gratuitement ceux à qui ils demandaient les pièces d'identité. Il a fallu interdire ce genre de contrôle. Sans ces incidents, ce genre de contrôle aurait pu être uniquement sécuritaire
Si vous êtes élu et que vous demandez à la police d'aller faire des contrôles, c'est vous l'élu qui allez être tabassé. Lu dans les journaux il y a déjà longtemps. Du côté d'Argenteuil.
Petit rappel.
Mais que sont devenus ces brigades d'intervention. On pourrait se dire que c'est plus ou moins oublié et qu'ils sont devenus "corrects" avec le temps.
Pas tout à fait. Mon épouse et moi avons été insultés avec des propos racistes. Ce gendarme de la mobile en retraite maintenant était venu dans une association dont je faisais partie. J'avais porté plainte, mais sans suite, parce que j'avais trop attendu - j'avais demandé l'avis à l'association pour ne pas lui faire de tort. D'autres avait dit à ce gendarme qu'il les faisait "chier". Et on a retrouvé des "bronzes" devant ...
Pour Noël (oui 2003), à côté, la mobile a fait la fête dans un hôtel. Le lendemain la femme de chambre en a retrouvé un mort et un autre dans le coma (8 jours après, il était toujours dans le coma). Bien sûr les journaux n'ont pas parlé de gendarmes morts en service. Ils testaient sur eux les effets de l'alcool.
Ma description reste au niveau des faits. Mais je pense que cela suffit !
Pourrai tout cela ! A réformer en profondeur ! C'est à chier !
L'auteur du post précédent a fait une description longue - inutile de la
réprendre (très long).
Il est né en 1950, donc nous connaissons la même chose.
Il parle de la mobile comme des "brigades d'intevention", je crois que cela
s'est fait après 68.
On a recruté quasiment des voyous auxquels on a mis des uniformes.
C'étaient des "cogneurs". Et on leur a donné l'occasion de se défouler en
les envoyant en casseur de grèves (contre les ouvriers) ou contre les
étudiants. Ils pouvaient cogner sans se faire enbastiller !!!
On a même mis certains sur des motos, un conducteur et un cogneur.
Mais ils ne faisaient même pas la distinction entre manifestants et jeunes
qui passaient à proximité.
Il y a eu des morts. Un cas connu des interventions à moto est un jeune qui
a été tabassé dans le couloir d'un immeuble. Il était insuffisant rénal, il
n'avait rien à voir avec la manifestation et il est mort.
C'était tellement abusif que certains "flics" (policiers ou gendarmes, je ne
sais plus) ont même essayé de faire grève contre ces brigades qui
souillaient leur réputation.
En 70 - je crois - pendant les municipales dans des villes où se
présentaient des ministre, son a créé des incidents pour provoquer les
étudiants et envoyer les brigades d'intervention pour dire "nous, c'est
l'ordre, donc votez pour nous".
J'ai aussi connu une mode des contrôles d'identité dans la rue.
Personnellement, je l'ai subi sans avoir de problème.
En voiture, j'ai même sur un trajet eu droit à 3 contrôles successifs (les
cartes d'identité avec appel aux Préfectures sans contrôle ni du permis de
conduire ni des papiers du véhicule) - 1/4 d'heures à chaque fois. C'étaient
des gendarmes de campagne - pas de problème.
Mais dans certains cas, pour ne pas faire ce travail, certains flics ont
brutalisé gratuitement ceux à qui ils demandaient les pièces d'identité. Il
a fallu interdire ce genre de contrôle.
Sans ces incidents, ce genre de contrôle aurait pu être uniquement
sécuritaire
Si vous êtes élu et que vous demandez à la police d'aller faire des
contrôles, c'est vous l'élu qui allez être tabassé. Lu dans les journaux il
y a déjà longtemps. Du côté d'Argenteuil.
Petit rappel.
Mais que sont devenus ces brigades d'intervention. On pourrait se dire que
c'est plus ou moins oublié et qu'ils sont devenus "corrects" avec le temps.
Pas tout à fait. Mon épouse et moi avons été insultés avec des propos
racistes. Ce gendarme de la mobile en retraite maintenant était venu dans
une association dont je faisais partie. J'avais porté plainte, mais sans
suite, parce que j'avais trop attendu - j'avais demandé l'avis à
l'association pour ne pas lui faire de tort. D'autres avait dit à ce
gendarme qu'il les faisait "chier". Et on a retrouvé des "bronzes" devant
...
Pour Noël (oui 2003), à côté, la mobile a fait la fête dans un hôtel. Le
lendemain la femme de chambre en a retrouvé un mort et un autre dans le coma
(8 jours après, il était toujours dans le coma).
Bien sûr les journaux n'ont pas parlé de gendarmes morts en service. Ils
testaient sur eux les effets de l'alcool.
Ma description reste au niveau des faits. Mais je pense que cela suffit !
L'auteur du post précédent a fait une description longue - inutile de la réprendre (très long). Il est né en 1950, donc nous connaissons la même chose.
Il parle de la mobile comme des "brigades d'intevention", je crois que cela s'est fait après 68. On a recruté quasiment des voyous auxquels on a mis des uniformes. C'étaient des "cogneurs". Et on leur a donné l'occasion de se défouler en les envoyant en casseur de grèves (contre les ouvriers) ou contre les étudiants. Ils pouvaient cogner sans se faire enbastiller !!! On a même mis certains sur des motos, un conducteur et un cogneur. Mais ils ne faisaient même pas la distinction entre manifestants et jeunes qui passaient à proximité.
Il y a eu des morts. Un cas connu des interventions à moto est un jeune qui a été tabassé dans le couloir d'un immeuble. Il était insuffisant rénal, il n'avait rien à voir avec la manifestation et il est mort.
C'était tellement abusif que certains "flics" (policiers ou gendarmes, je ne sais plus) ont même essayé de faire grève contre ces brigades qui souillaient leur réputation. En 70 - je crois - pendant les municipales dans des villes où se présentaient des ministre, son a créé des incidents pour provoquer les étudiants et envoyer les brigades d'intervention pour dire "nous, c'est l'ordre, donc votez pour nous".
J'ai aussi connu une mode des contrôles d'identité dans la rue. Personnellement, je l'ai subi sans avoir de problème. En voiture, j'ai même sur un trajet eu droit à 3 contrôles successifs (les cartes d'identité avec appel aux Préfectures sans contrôle ni du permis de conduire ni des papiers du véhicule) - 1/4 d'heures à chaque fois. C'étaient des gendarmes de campagne - pas de problème. Mais dans certains cas, pour ne pas faire ce travail, certains flics ont brutalisé gratuitement ceux à qui ils demandaient les pièces d'identité. Il a fallu interdire ce genre de contrôle. Sans ces incidents, ce genre de contrôle aurait pu être uniquement sécuritaire
Si vous êtes élu et que vous demandez à la police d'aller faire des contrôles, c'est vous l'élu qui allez être tabassé. Lu dans les journaux il y a déjà longtemps. Du côté d'Argenteuil.
Petit rappel.
Mais que sont devenus ces brigades d'intervention. On pourrait se dire que c'est plus ou moins oublié et qu'ils sont devenus "corrects" avec le temps.
Pas tout à fait. Mon épouse et moi avons été insultés avec des propos racistes. Ce gendarme de la mobile en retraite maintenant était venu dans une association dont je faisais partie. J'avais porté plainte, mais sans suite, parce que j'avais trop attendu - j'avais demandé l'avis à l'association pour ne pas lui faire de tort. D'autres avait dit à ce gendarme qu'il les faisait "chier". Et on a retrouvé des "bronzes" devant ...
Pour Noël (oui 2003), à côté, la mobile a fait la fête dans un hôtel. Le lendemain la femme de chambre en a retrouvé un mort et un autre dans le coma (8 jours après, il était toujours dans le coma). Bien sûr les journaux n'ont pas parlé de gendarmes morts en service. Ils testaient sur eux les effets de l'alcool.
Ma description reste au niveau des faits. Mais je pense que cela suffit !