Je viens de developper un logiciel pour la société où je travaille et on
vient de se rendre compte qu'un brevet (internationnal, ref. WO-X) a été
déposé pour une application peu ou prou similaire.
Il n'y a rien de très novateur dans les techniques employées
l'idée de l'application (qui est plutot originale) ou la technique utilisée
pour la mettre en oeuvre (qui est on ne peut plus commune et répendue).
J'aimerai avoir des avis et eventuellement des references vers des
professionnels pouvant repondre a la question clé : devrons nous verser des
royalties si nous commercialisons le logiciel.
Je viens de developper un logiciel pour la société où je travaille et on
vient de se rendre compte qu'un brevet (internationnal, ref. WO-X) a été
déposé pour une application peu ou prou similaire.
Il n'y a rien de très novateur dans les techniques employées
l'idée de l'application (qui est plutot originale) ou la technique utilisée
pour la mettre en oeuvre (qui est on ne peut plus commune et répendue).
J'aimerai avoir des avis et eventuellement des references vers des
professionnels pouvant repondre a la question clé : devrons nous verser des
royalties si nous commercialisons le logiciel.
Je viens de developper un logiciel pour la société où je travaille et on
vient de se rendre compte qu'un brevet (internationnal, ref. WO-X) a été
déposé pour une application peu ou prou similaire.
Il n'y a rien de très novateur dans les techniques employées
l'idée de l'application (qui est plutot originale) ou la technique utilisée
pour la mettre en oeuvre (qui est on ne peut plus commune et répendue).
J'aimerai avoir des avis et eventuellement des references vers des
professionnels pouvant repondre a la question clé : devrons nous verser des
royalties si nous commercialisons le logiciel.
Bonjour,
Je viens de developper un logiciel pour la société où je travaille et on
vient de se rendre compte qu'un brevet (internationnal, ref. WO-X) a été
déposé pour une application peu ou prou similaire.
Il n'y a rien de très novateur dans les techniques employées
(client/serveur, base de données) et il y a pas mal de différences
d'implementation entre les deux applications.
Le brevet decrit precisemment la technique et n'etant pas habitué a
decortiquer les brevets je me demande ce qui est reellement breveté :
l'idée de l'application (qui est plutot originale) ou la technique utilisée
pour la mettre en oeuvre (qui est on ne peut plus commune et répendue).
J'aimerai avoir des avis et eventuellement des references vers des
professionnels pouvant repondre a la question clé : devrons nous verser des
royalties si nous commercialisons le logiciel.
Bonjour,
Je viens de developper un logiciel pour la société où je travaille et on
vient de se rendre compte qu'un brevet (internationnal, ref. WO-X) a été
déposé pour une application peu ou prou similaire.
Il n'y a rien de très novateur dans les techniques employées
(client/serveur, base de données) et il y a pas mal de différences
d'implementation entre les deux applications.
Le brevet decrit precisemment la technique et n'etant pas habitué a
decortiquer les brevets je me demande ce qui est reellement breveté :
l'idée de l'application (qui est plutot originale) ou la technique utilisée
pour la mettre en oeuvre (qui est on ne peut plus commune et répendue).
J'aimerai avoir des avis et eventuellement des references vers des
professionnels pouvant repondre a la question clé : devrons nous verser des
royalties si nous commercialisons le logiciel.
Bonjour,
Je viens de developper un logiciel pour la société où je travaille et on
vient de se rendre compte qu'un brevet (internationnal, ref. WO-X) a été
déposé pour une application peu ou prou similaire.
Il n'y a rien de très novateur dans les techniques employées
(client/serveur, base de données) et il y a pas mal de différences
d'implementation entre les deux applications.
Le brevet decrit precisemment la technique et n'etant pas habitué a
decortiquer les brevets je me demande ce qui est reellement breveté :
l'idée de l'application (qui est plutot originale) ou la technique utilisée
pour la mettre en oeuvre (qui est on ne peut plus commune et répendue).
J'aimerai avoir des avis et eventuellement des references vers des
professionnels pouvant repondre a la question clé : devrons nous verser des
royalties si nous commercialisons le logiciel.
Si vous commercialisez votre produit en Europe, vous n'avez aucune
royaltie à verser.
Si vous commercialisez votre produit en Europe, vous n'avez aucune
royaltie à verser.
Si vous commercialisez votre produit en Europe, vous n'avez aucune
royaltie à verser.
Charlie wrote:Si vous commercialisez votre produit en Europe, vous n'avez aucune
royaltie à verser.
Attention cependant. Même en europe, la menace existe bien. N'oubliez
pas que le principe du brevet logiciel, c'est l'intimidation. Etre
protégé par le système des brevets logiciels, c'est comme être protégé
par la mafia: cela coûte cher, mais cela permet aussi de se débarasser
de concurrents génants. En toute légalité, bien sûr.
Une illustration par le cas présenté devant le parlement Européen durant
une séance publique organisée par divers parlementaires.
"Bernd Herd20: Losses Caused to me by Software Patents"
FFII Software Patent Legislation Benchmarking Conference
<http://www.softwarepatenten.be/doc/conferentie_ffii.pdf>
Charlie wrote:
Si vous commercialisez votre produit en Europe, vous n'avez aucune
royaltie à verser.
Attention cependant. Même en europe, la menace existe bien. N'oubliez
pas que le principe du brevet logiciel, c'est l'intimidation. Etre
protégé par le système des brevets logiciels, c'est comme être protégé
par la mafia: cela coûte cher, mais cela permet aussi de se débarasser
de concurrents génants. En toute légalité, bien sûr.
Une illustration par le cas présenté devant le parlement Européen durant
une séance publique organisée par divers parlementaires.
"Bernd Herd20: Losses Caused to me by Software Patents"
FFII Software Patent Legislation Benchmarking Conference
<http://www.softwarepatenten.be/doc/conferentie_ffii.pdf>
Charlie wrote:Si vous commercialisez votre produit en Europe, vous n'avez aucune
royaltie à verser.
Attention cependant. Même en europe, la menace existe bien. N'oubliez
pas que le principe du brevet logiciel, c'est l'intimidation. Etre
protégé par le système des brevets logiciels, c'est comme être protégé
par la mafia: cela coûte cher, mais cela permet aussi de se débarasser
de concurrents génants. En toute légalité, bien sûr.
Une illustration par le cas présenté devant le parlement Européen durant
une séance publique organisée par divers parlementaires.
"Bernd Herd20: Losses Caused to me by Software Patents"
FFII Software Patent Legislation Benchmarking Conference
<http://www.softwarepatenten.be/doc/conferentie_ffii.pdf>
Cela dit, la publication que vous référez date du 26 avril 2004. Or
depuis, le Parlement Européen a rejeté la directive sur la brevetabilité
des logiciels.
Ce qui serait intéressant de voir c'est ce qui pourrait se passer depuis.
Cela dit, la publication que vous référez date du 26 avril 2004. Or
depuis, le Parlement Européen a rejeté la directive sur la brevetabilité
des logiciels.
Ce qui serait intéressant de voir c'est ce qui pourrait se passer depuis.
Cela dit, la publication que vous référez date du 26 avril 2004. Or
depuis, le Parlement Européen a rejeté la directive sur la brevetabilité
des logiciels.
Ce qui serait intéressant de voir c'est ce qui pourrait se passer depuis.
Charlie wrote:Cela dit, la publication que vous référez date du 26 avril 2004. Or
depuis, le Parlement Européen a rejeté la directive sur la
brevetabilité des logiciels.
Certes, mais cette affaire s'est déroulée sous le régime actuel, c'est à
dire que le rejet de la directive (qui visait à rendre totalement
légales les pratiques douteuses de l'OEB) signifie un statu-quo.
Donc un tel problème peut très bien ressurgir demain.
Il faut voir le rejet de la directive CII comme un "match nul" et non
pas une victoire (ou bien encore une "non défaite").
De fait, les pro-brevets ont *aussi* voté contre, de peur de laisser le
champ libre aux parlementaires qui auraient peut être amendé le texte de
manière très sévère (empêchant alors des pratiques douteuses et fort
lucratives).
Ce qui serait intéressant de voir c'est ce qui pourrait se passer depuis.
En fait cette affaire ne sera pas réglée tant que le parlement ne
prendra pas les choses en main, c'est à dire:
- confirmation claire de l'illégalite de tout brevet logiciel
- mise au pas et éventuellement mise sous tutelle parlementaire pure et
simple de l'office des brevets (OEB), qui a montré son hostilité aux
principes démocratiques européens, et a probablement trahi ses
engagements initiaux
Et mise sous tutelle parlementaire des offices nationaux, qui eux aussi
ont des pratiques tout à fait discutables.
Charlie wrote:
Cela dit, la publication que vous référez date du 26 avril 2004. Or
depuis, le Parlement Européen a rejeté la directive sur la
brevetabilité des logiciels.
Certes, mais cette affaire s'est déroulée sous le régime actuel, c'est à
dire que le rejet de la directive (qui visait à rendre totalement
légales les pratiques douteuses de l'OEB) signifie un statu-quo.
Donc un tel problème peut très bien ressurgir demain.
Il faut voir le rejet de la directive CII comme un "match nul" et non
pas une victoire (ou bien encore une "non défaite").
De fait, les pro-brevets ont *aussi* voté contre, de peur de laisser le
champ libre aux parlementaires qui auraient peut être amendé le texte de
manière très sévère (empêchant alors des pratiques douteuses et fort
lucratives).
Ce qui serait intéressant de voir c'est ce qui pourrait se passer depuis.
En fait cette affaire ne sera pas réglée tant que le parlement ne
prendra pas les choses en main, c'est à dire:
- confirmation claire de l'illégalite de tout brevet logiciel
- mise au pas et éventuellement mise sous tutelle parlementaire pure et
simple de l'office des brevets (OEB), qui a montré son hostilité aux
principes démocratiques européens, et a probablement trahi ses
engagements initiaux
Et mise sous tutelle parlementaire des offices nationaux, qui eux aussi
ont des pratiques tout à fait discutables.
Charlie wrote:Cela dit, la publication que vous référez date du 26 avril 2004. Or
depuis, le Parlement Européen a rejeté la directive sur la
brevetabilité des logiciels.
Certes, mais cette affaire s'est déroulée sous le régime actuel, c'est à
dire que le rejet de la directive (qui visait à rendre totalement
légales les pratiques douteuses de l'OEB) signifie un statu-quo.
Donc un tel problème peut très bien ressurgir demain.
Il faut voir le rejet de la directive CII comme un "match nul" et non
pas une victoire (ou bien encore une "non défaite").
De fait, les pro-brevets ont *aussi* voté contre, de peur de laisser le
champ libre aux parlementaires qui auraient peut être amendé le texte de
manière très sévère (empêchant alors des pratiques douteuses et fort
lucratives).
Ce qui serait intéressant de voir c'est ce qui pourrait se passer depuis.
En fait cette affaire ne sera pas réglée tant que le parlement ne
prendra pas les choses en main, c'est à dire:
- confirmation claire de l'illégalite de tout brevet logiciel
- mise au pas et éventuellement mise sous tutelle parlementaire pure et
simple de l'office des brevets (OEB), qui a montré son hostilité aux
principes démocratiques européens, et a probablement trahi ses
engagements initiaux
Et mise sous tutelle parlementaire des offices nationaux, qui eux aussi
ont des pratiques tout à fait discutables.