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Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
iTunes est une merde voulue comme telle, alors que Word est une merde involontaire.
pas d'accord, Word est volontairement nul ...
format de fichier de psychopathe... confondre document fini et de travail ...
c'est exprès tout ça ...
Stephane Legras-Decussy
Le 27/09/2012 17:18, Alf92 a écrit :
Word ? le traitement de texte ? je le trouve très bien. je suis toujours en version 97 (15 ans d'âge) et je trouve que ça tourne bcp mieux que la version actuelle d'Open Office Writer.
ya juste la fonction principale qui est l'export du texte qui est absente...
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Le 27/09/2012 17:18, Alf92 a écrit :
Word ? le traitement de texte ?
je le trouve très bien.
je suis toujours en version 97 (15 ans d'âge) et je trouve que ça tourne
bcp mieux que la version actuelle d'Open Office Writer.
ya juste la fonction principale qui est l'export du texte
qui est absente...
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Word ? le traitement de texte ? je le trouve très bien. je suis toujours en version 97 (15 ans d'âge) et je trouve que ça tourne bcp mieux que la version actuelle d'Open Office Writer.
ya juste la fonction principale qui est l'export du texte qui est absente...
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Ghost-Rider
Le 27/09/2012 21:03, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 27/09/2012 17:18, Alf92 a écrit :
Word ? le traitement de texte ? je le trouve très bien. je suis toujours en version 97 (15 ans d'âge) et je trouve que ça tourne bcp mieux que la version actuelle d'Open Office Writer.
ya juste la fonction principale qui est l'export du texte qui est absente...
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Tu peux préciser ?
Le 27/09/2012 21:03, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 27/09/2012 17:18, Alf92 a écrit :
Word ? le traitement de texte ?
je le trouve très bien.
je suis toujours en version 97 (15 ans d'âge) et je trouve que ça tourne
bcp mieux que la version actuelle d'Open Office Writer.
ya juste la fonction principale qui est l'export du texte
qui est absente...
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Le 27/09/2012 21:03, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 27/09/2012 17:18, Alf92 a écrit :
Word ? le traitement de texte ? je le trouve très bien. je suis toujours en version 97 (15 ans d'âge) et je trouve que ça tourne bcp mieux que la version actuelle d'Open Office Writer.
ya juste la fonction principale qui est l'export du texte qui est absente...
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Tu peux préciser ?
Stephane Legras-Decussy
Le 27/09/2012 19:18, Ghost-Rider a écrit :
Le 27/09/2012 17:11, Alf92 a écrit :
ma platine de salon à 19.90E fait ça très bien. d'ailleurs lire un DVD sur un ordi, à part dans le train...
Je regarde souvent des DVD sur mon PC en surfant sur les news en même temps.
idem et en plus je coupe du bois et je détartre les WC ...
Le 27/09/2012 19:18, Ghost-Rider a écrit :
Le 27/09/2012 17:11, Alf92 a écrit :
ma platine de salon à 19.90E fait ça très bien.
d'ailleurs lire un DVD sur un ordi, à part dans le train...
Je regarde souvent des DVD sur mon PC en surfant sur les news en même
temps.
idem et en plus je coupe du bois et je détartre les WC ...
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Tu peux préciser ?
ben un document fini c'est un pdf ou un epub ...
imagine photoshop n'exportant pas en jpeg mais uniquement en PSD ...
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 27/09/12 20:22, Erwan David a écrit :
Si il y a des exemples de ce phénomène, alors tu es en droit d'attaquer le vendeur. Peut-tu expliciter ?
Non tu n'es pas en droit c'est dans le contrat que tu acceptes...
Si un contrat que tu acceptes contient des clauses abusives ou illégales ou restreignant des droits que la loi t'accorde, ces clauses sont considérées comme non valides et non existantes, sans affecter la validité du reste du contrat. Mais par contre, avant de se lancer il faut être clair dans ce que l'on achète et dans ce que l'on fait.
Et Amazon l'a déjà fait supprimant 1984 et la ferme des animaux des kindle de ceux qui les avaient achetés
Dans le cas des livres retirés mentionnés, je ne vois aucune faute des utilisateurs qui aurait "justifié" ce comportement de rupture unilatérale de contrat. Les clients auraient du porter plainte pour déni de service.
Cet article n'est pas sans interêt par le sujet abordé mais mélange allégrement des notions différentes pour faire un article plus croustillant. Quand tu achètes un support d'une œuvre de l'esprit, tu n'est jamais propriétaire du contenu ; tu es propriétaire du support et tu en as l'usage. Tu peux transmettre cet usage (qui comporte des limites) en transmettant le support si c'est un support traditionnel. Quand tu achètes un tableau tu as le droit d'en jouir, tu n'a pas le droit de le modifier (eh non) ni de te servir de l'image de ce tableau pour par exemple illustrer les boites de nouilles que tu fabriques sans l'accord du peintre. Quand tu achètes une partition tu peux la jouer ; tu n'es pas pour autant propriétaire de la musique qui est écrite dessus et les droits d'en faire quelque chose comme un disque, une nouvelle édition de la partition, une musique de film. La musique appartient à son auteur (sauf si il est trop mort). Ce dont tu es propriétaire est un papier et un droit limité d'usage à ce qui est écrit dessus. Une licence qui mentionne que tu n'est pas propriétaire du contenu (du texte) n'est pas a priori abusive ; elle rappelle une notion d'usage qui est courante y compris dans des objets plus substanciels. Le fait que cette licence soit nominative (liée à une personne et non cessible) est un mode de fonctionnement qui n'est pas forcément idéal, mais déjà un peu plus souple que de le lier à un matériel physique particulier ; en ce qui me concerne, j'espère une durée de vie supérieure à celle d'un kindle, par exemple. Il y a un certain nombre de choses qui sont des contrats nominatifs, et qui prennent fin avec la personne. C'est souvent le cas des locations, par exemple. Tu ne peux pas transmettre une location à la personne de ton choix. Donc jusque là, pour moi, c'est plus ou moins confortable à l'usage mais rien d'anormalement scandaleux. Ce qui ne va absolument pas, c'est le fait pour celui qui fournit le service de se dégager de la responsabilité de savoir si il a le droit de distribuer l'accès à un contenu en ajoutant une clause de retrait au contrat. Et les éventuelles ambiguités dans la rédaction de contrats de licence entre ce qui ressort des droits sur le contenu (le texte) et des droits sur le contenant immatériel de ce texte ( sa distribution sous forme électronique, la concession d'une licence d'accès).
Le tout est joyeusement mélangé dans les esprits à des problèmes de format propriétaire...Ça c'est pourtant à l'acheteur de faire des choix ouverts ; genre acheter une liseuse qui supporte le plus possible de formats différents, et acheter des livres électroniques qui se lisent sur le plus possible de supports différents.
Noëlle Adam
Le 27/09/12 20:22, Erwan David a écrit :
Si il y a des exemples de ce phénomène, alors tu es en droit
d'attaquer le vendeur.
Peut-tu expliciter ?
Non tu n'es pas en droit c'est dans le contrat que tu acceptes...
Si un contrat que tu acceptes contient des clauses abusives ou illégales
ou restreignant des droits que la loi t'accorde, ces clauses sont
considérées comme non valides et non existantes, sans affecter la
validité du reste du contrat.
Mais par contre, avant de se lancer il faut être clair dans ce que l'on
achète et dans ce que l'on fait.
Et Amazon l'a déjà fait supprimant 1984 et la ferme des animaux des
kindle de ceux qui les avaient achetés
Dans le cas des livres retirés mentionnés, je ne vois aucune faute des
utilisateurs qui aurait "justifié" ce comportement de rupture
unilatérale de contrat.
Les clients auraient du porter plainte pour déni de service.
Cet article n'est pas sans interêt par le sujet abordé mais mélange
allégrement des notions différentes pour faire un article plus
croustillant.
Quand tu achètes un support d'une œuvre de l'esprit, tu n'est jamais
propriétaire du contenu ; tu es propriétaire du support et tu en as
l'usage. Tu peux transmettre cet usage (qui comporte des limites) en
transmettant le support si c'est un support traditionnel.
Quand tu achètes un tableau tu as le droit d'en jouir, tu n'a pas le
droit de le modifier (eh non) ni de te servir de l'image de ce tableau
pour par exemple illustrer les boites de nouilles que tu fabriques sans
l'accord du peintre. Quand tu achètes une partition tu peux la jouer ;
tu n'es pas pour autant propriétaire de la musique qui est écrite dessus
et les droits d'en faire quelque chose comme un disque, une nouvelle
édition de la partition, une musique de film. La musique appartient à
son auteur (sauf si il est trop mort).
Ce dont tu es propriétaire est un papier et un droit limité d'usage à ce
qui est écrit dessus.
Une licence qui mentionne que tu n'est pas propriétaire du contenu (du
texte) n'est pas a priori abusive ; elle rappelle une notion d'usage qui
est courante y compris dans des objets plus substanciels.
Le fait que cette licence soit nominative (liée à une personne et non
cessible) est un mode de fonctionnement qui n'est pas forcément idéal,
mais déjà un peu plus souple que de le lier à un matériel physique
particulier ; en ce qui me concerne, j'espère une durée de vie
supérieure à celle d'un kindle, par exemple.
Il y a un certain nombre de choses qui sont des contrats nominatifs, et
qui prennent fin avec la personne. C'est souvent le cas des locations,
par exemple. Tu ne peux pas transmettre une location à la personne de
ton choix.
Donc jusque là, pour moi, c'est plus ou moins confortable à l'usage mais
rien d'anormalement scandaleux.
Ce qui ne va absolument pas, c'est le fait pour celui qui fournit le
service de se dégager de la responsabilité de savoir si il a le droit de
distribuer l'accès à un contenu en ajoutant une clause de retrait au
contrat.
Et les éventuelles ambiguités dans la rédaction de contrats de licence
entre ce qui ressort des droits sur le contenu (le texte) et des droits
sur le contenant immatériel de ce texte ( sa distribution sous forme
électronique, la concession d'une licence d'accès).
Le tout est joyeusement mélangé dans les esprits à des problèmes de
format propriétaire...Ça c'est pourtant à l'acheteur de faire des choix
ouverts ; genre acheter une liseuse qui supporte le plus possible de
formats différents, et acheter des livres électroniques qui se lisent
sur le plus possible de supports différents.
Si il y a des exemples de ce phénomène, alors tu es en droit d'attaquer le vendeur. Peut-tu expliciter ?
Non tu n'es pas en droit c'est dans le contrat que tu acceptes...
Si un contrat que tu acceptes contient des clauses abusives ou illégales ou restreignant des droits que la loi t'accorde, ces clauses sont considérées comme non valides et non existantes, sans affecter la validité du reste du contrat. Mais par contre, avant de se lancer il faut être clair dans ce que l'on achète et dans ce que l'on fait.
Et Amazon l'a déjà fait supprimant 1984 et la ferme des animaux des kindle de ceux qui les avaient achetés
Dans le cas des livres retirés mentionnés, je ne vois aucune faute des utilisateurs qui aurait "justifié" ce comportement de rupture unilatérale de contrat. Les clients auraient du porter plainte pour déni de service.
Cet article n'est pas sans interêt par le sujet abordé mais mélange allégrement des notions différentes pour faire un article plus croustillant. Quand tu achètes un support d'une œuvre de l'esprit, tu n'est jamais propriétaire du contenu ; tu es propriétaire du support et tu en as l'usage. Tu peux transmettre cet usage (qui comporte des limites) en transmettant le support si c'est un support traditionnel. Quand tu achètes un tableau tu as le droit d'en jouir, tu n'a pas le droit de le modifier (eh non) ni de te servir de l'image de ce tableau pour par exemple illustrer les boites de nouilles que tu fabriques sans l'accord du peintre. Quand tu achètes une partition tu peux la jouer ; tu n'es pas pour autant propriétaire de la musique qui est écrite dessus et les droits d'en faire quelque chose comme un disque, une nouvelle édition de la partition, une musique de film. La musique appartient à son auteur (sauf si il est trop mort). Ce dont tu es propriétaire est un papier et un droit limité d'usage à ce qui est écrit dessus. Une licence qui mentionne que tu n'est pas propriétaire du contenu (du texte) n'est pas a priori abusive ; elle rappelle une notion d'usage qui est courante y compris dans des objets plus substanciels. Le fait que cette licence soit nominative (liée à une personne et non cessible) est un mode de fonctionnement qui n'est pas forcément idéal, mais déjà un peu plus souple que de le lier à un matériel physique particulier ; en ce qui me concerne, j'espère une durée de vie supérieure à celle d'un kindle, par exemple. Il y a un certain nombre de choses qui sont des contrats nominatifs, et qui prennent fin avec la personne. C'est souvent le cas des locations, par exemple. Tu ne peux pas transmettre une location à la personne de ton choix. Donc jusque là, pour moi, c'est plus ou moins confortable à l'usage mais rien d'anormalement scandaleux. Ce qui ne va absolument pas, c'est le fait pour celui qui fournit le service de se dégager de la responsabilité de savoir si il a le droit de distribuer l'accès à un contenu en ajoutant une clause de retrait au contrat. Et les éventuelles ambiguités dans la rédaction de contrats de licence entre ce qui ressort des droits sur le contenu (le texte) et des droits sur le contenant immatériel de ce texte ( sa distribution sous forme électronique, la concession d'une licence d'accès).
Le tout est joyeusement mélangé dans les esprits à des problèmes de format propriétaire...Ça c'est pourtant à l'acheteur de faire des choix ouverts ; genre acheter une liseuse qui supporte le plus possible de formats différents, et acheter des livres électroniques qui se lisent sur le plus possible de supports différents.
Noëlle Adam
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 27/09/12 21:20, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 27/09/2012 21:08, Ghost-Rider a écrit :
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Tu peux préciser ?
ben un document fini c'est un pdf ou un epub ...
imagine photoshop n'exportant pas en jpeg mais uniquement en PSD ...
Ben yaka utiliser the gimp ? Ca ouvre le format photoshop, et ça te le retourne au format word 3.5, nan, je me gourre...
Noëlle Adam
Le 27/09/12 21:20, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 27/09/2012 21:08, Ghost-Rider a écrit :
comme un soft de montage video sans bouton de rendu ...
Tu peux préciser ?
ben un document fini c'est un pdf ou un epub ...
imagine photoshop n'exportant pas en jpeg mais uniquement
en PSD ...
Ben yaka utiliser the gimp ? Ca ouvre le format photoshop, et ça te le
retourne au format word 3.5, nan, je me gourre...
Oui ben ils sont graves Amazon ; ils font office de distributeur et ce qu'ils avaient à faire, c'est se retourner contre les éditeurs indélicats, pas contre leurs propres clients ! Rembourser les clients lésés était sans doute plus facile pour eux que de négocier à part les droits pour les livres déjà distribués auprès des personnes les détenant. Plus facile et pas plus commercial, ni plus honnête ou moral... Quand la justice ordonne la saisie et la destruction d'une publication, ça ne va pas jusque dans les étagères des gens qui l'on achetée de bonne foi, je pense.
Noëlle Adam
Le 27/09/12 21:13, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 27/09/2012 19:57, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Si il y a des exemples de ce phénomène, alors tu es en droit d'attaquer
le vendeur.
Peut-tu expliciter ?
Oui ben ils sont graves Amazon ; ils font office de distributeur et ce
qu'ils avaient à faire, c'est se retourner contre les éditeurs
indélicats, pas contre leurs propres clients !
Rembourser les clients lésés était sans doute plus facile pour eux que
de négocier à part les droits pour les livres déjà distribués auprès des
personnes les détenant. Plus facile et pas plus commercial, ni plus
honnête ou moral...
Quand la justice ordonne la saisie et la destruction d'une publication,
ça ne va pas jusque dans les étagères des gens qui l'on achetée de bonne
foi, je pense.
Oui ben ils sont graves Amazon ; ils font office de distributeur et ce qu'ils avaient à faire, c'est se retourner contre les éditeurs indélicats, pas contre leurs propres clients ! Rembourser les clients lésés était sans doute plus facile pour eux que de négocier à part les droits pour les livres déjà distribués auprès des personnes les détenant. Plus facile et pas plus commercial, ni plus honnête ou moral... Quand la justice ordonne la saisie et la destruction d'une publication, ça ne va pas jusque dans les étagères des gens qui l'on achetée de bonne foi, je pense.