Il y a quelques jours j'ai été très violemment prise à partie par des
voisins à cause d'un problème de bruit de leur part (ils ne savent tout
simplement pas ce qu'est la discrétion et surtout, ils s'en moquent
ouvertement et le disent). J'ai été traitée de tout: tutoiement ordurier,
insultes, obscénités, considérations sur ma personne et ma vie, ordres de me
taire, menaces de me tabasser ("on s'en fout que tu ailles à la gendarmerie
ils vont rigoler, j'assume"), etc. Difficile de tomber plus bas.
Pour la gendarmerie ce n'est pas tout à fait faux car elle n'a daigné
enregistrer qu'une main courante insuffisamment renseignée et on m'a
fortement découragée à porter plainte. Je ne peux donc pas faire jouer cela
auprès du syndic, car j'aimerais faire parvenir une lettre recommandée à
leur propriétaire pour les informer.
A partir du moment où il ne m'a pas été possible de déposer une vraie
plainte, est-ce que je risque des poursuites pour diffamation ?
Je précise que tout le voisinage a entendu les hurlements hystériques des
individus concernés, mais je ne compte pas sur un quelconque témoigage car
soit ils sont indifférents soit ils ont peur de représailles. Ca peut au
mieux intervenir s'il y a enquête de voisinage un jour, et encore.
x-no-archive: yes Dans les news : , yitzhak isaac goldstein écrivit :
In article <g6pkuq$j6n$, anon wrote:
J'ai des voisins bruyants également, mais pas au point de dépasser les limites légales: lorsque quelqu'un marche pied nus sur ses talons au dessus de votre tête, cela n'est pas illégal, le bruit reste "raisonnable juridiquement", mais le "toc toc dong dong " régulier durant la nuit vous empêche de fermer l'oeil. Aucune aide de la police n'est possible, car les gens ne font rien de mal vis à vis de la loi, mais vous empêchent tout de même de dormir.
Moi je ne suis pas d'accord. A mon avis, Paris est déjà suffisament bruyant, et quant aux bruits des voisins, je pars du principe que si je les entends, c'est que c'est trop fort.
Quelqu'un dans l'immeuble m'a fait le commentaire l'autre jour que s'ils ne me voyaient pas entrer et sortir, ils ne sauraient même pas que je suis là. L'autre soir, j'ai eu envie de regarder un DVD, et sans même y réfléchir, j'ai mis les oreillettes dans mon Mac.
On appelle ça le respect. Je ne claque pas ma porte, j'ôte mes chaussures quand je suis chez moi, je ne mets pas la musique fort, ou bien si j'ai envie de monter le son un peu, ce sont les oreillettes qui s'imposent.
Le respect.
Il y a dix ans un voisin qui foutait le boucan (ça existait, bien sûr), on va chez lui, on en discute, il dit qu'il va faire un effort. Aujourd'hui, je n'oserais même pas aller frapper chez lui, de peur qu'il ne me foute un couteau dans le ventre.
Tant mieux pour vous si vous arrivez à régler ça. Il doit y avoir moins de racaille que dans cet immeuble pourri où j'ai eu le malheur d'attérir.
Vos voisins doivent être islamistes !
x-no-archive: yes
Dans les news : yitzhak-19527C.15385130072008@news.free.fr,
yitzhak isaac goldstein <yitzhak@yahoo.fr> écrivit :
In article <g6pkuq$j6n$1@news-rocq.inria.fr>, anon <anonyme@gmail.com>
wrote:
J'ai des voisins bruyants également, mais pas au point de dépasser
les limites légales: lorsque quelqu'un marche pied nus sur ses
talons au dessus de votre tête, cela n'est pas illégal, le bruit
reste "raisonnable juridiquement", mais le "toc toc dong dong "
régulier durant la nuit vous empêche de fermer l'oeil. Aucune aide
de la police n'est possible, car les gens ne font rien de mal vis à
vis de la loi, mais vous empêchent tout de même de dormir.
Moi je ne suis pas d'accord. A mon avis, Paris est déjà suffisament
bruyant, et quant aux bruits des voisins, je pars du principe que si
je les entends, c'est que c'est trop fort.
Quelqu'un dans l'immeuble m'a fait le commentaire l'autre jour que
s'ils ne me voyaient pas entrer et sortir, ils ne sauraient même pas
que je suis là. L'autre soir, j'ai eu envie de regarder un DVD, et
sans même y réfléchir, j'ai mis les oreillettes dans mon Mac.
On appelle ça le respect. Je ne claque pas ma porte, j'ôte mes
chaussures quand je suis chez moi, je ne mets pas la musique fort, ou
bien si j'ai envie de monter le son un peu, ce sont les oreillettes
qui s'imposent.
Le respect.
Il y a dix ans un voisin qui foutait le boucan (ça existait, bien
sûr), on va chez lui, on en discute, il dit qu'il va faire un effort.
Aujourd'hui, je n'oserais même pas aller frapper chez lui, de peur
qu'il ne me foute un couteau dans le ventre.
Tant mieux pour vous si vous arrivez à régler ça. Il doit y avoir
moins de racaille que dans cet immeuble pourri où j'ai eu le malheur
d'attérir.
x-no-archive: yes Dans les news : , yitzhak isaac goldstein écrivit :
In article <g6pkuq$j6n$, anon wrote:
J'ai des voisins bruyants également, mais pas au point de dépasser les limites légales: lorsque quelqu'un marche pied nus sur ses talons au dessus de votre tête, cela n'est pas illégal, le bruit reste "raisonnable juridiquement", mais le "toc toc dong dong " régulier durant la nuit vous empêche de fermer l'oeil. Aucune aide de la police n'est possible, car les gens ne font rien de mal vis à vis de la loi, mais vous empêchent tout de même de dormir.
Moi je ne suis pas d'accord. A mon avis, Paris est déjà suffisament bruyant, et quant aux bruits des voisins, je pars du principe que si je les entends, c'est que c'est trop fort.
Quelqu'un dans l'immeuble m'a fait le commentaire l'autre jour que s'ils ne me voyaient pas entrer et sortir, ils ne sauraient même pas que je suis là. L'autre soir, j'ai eu envie de regarder un DVD, et sans même y réfléchir, j'ai mis les oreillettes dans mon Mac.
On appelle ça le respect. Je ne claque pas ma porte, j'ôte mes chaussures quand je suis chez moi, je ne mets pas la musique fort, ou bien si j'ai envie de monter le son un peu, ce sont les oreillettes qui s'imposent.
Le respect.
Il y a dix ans un voisin qui foutait le boucan (ça existait, bien sûr), on va chez lui, on en discute, il dit qu'il va faire un effort. Aujourd'hui, je n'oserais même pas aller frapper chez lui, de peur qu'il ne me foute un couteau dans le ventre.
Tant mieux pour vous si vous arrivez à régler ça. Il doit y avoir moins de racaille que dans cet immeuble pourri où j'ai eu le malheur d'attérir.
Vos voisins doivent être islamistes !
JCL
""Séb."" a écrit dans le message de news: 48907937$0$875$
monsieur qui pisse en visant bien l'eau au fond pour faire des bulles...)
Bonjour.
Pouvez-vous détailler?
-- Jean-Claude La photo numérique pour débutants et futurs débutants http://www.jcl.new.fr
""Séb."" <poussin_stop_006_pots@mamamou.fre> a écrit dans le message de
news: 48907937$0$875$ba4acef3@news.orange.fr...
monsieur qui pisse en visant bien
l'eau au fond pour faire des bulles...)
Bonjour.
Pouvez-vous détailler?
--
Jean-Claude
La photo numérique pour débutants et futurs débutants
http://www.jcl.new.fr
Dans le message 4890b4a0$0$15497$, vilma exprime ceci:
Merci pour ces infos, mais là il s'agit plus de déposer plainte pour les insultes ordurières et les menaces que pour le bruit proprement dit.
...et je ne sais toujours pas s'ils peuvent s'en servir pour se retourner contre moi en prétextant la diffamation, objet initial de mon post :(
Tout au plus dénonciation calomnieuse et non diffamation. Cela sera le cas si vous ne rapportez aucune preuve à l'appui de vos doléances.
--
vilma
"Moisse" a écrit dans le message de news: 489158c2$0$18577$
Dans le message 4890b4a0$0$15497$, vilma exprime ceci:
Merci pour ces infos, mais là il s'agit plus de déposer plainte pour les insultes ordurières et les menaces que pour le bruit proprement dit.
...et je ne sais toujours pas s'ils peuvent s'en servir pour se retourner contre moi en prétextant la diffamation, objet initial de mon post :(
Tout au plus dénonciation calomnieuse et non diffamation. Cela sera le cas si vous ne rapportez aucune preuve à l'appui de vos doléances.
Ok merci.
Je pensais à autre chose. Déposer une lettre chez les autres voisins pour raconter ce qui s'est passé, sans nommer les intervenants (même si tout le monde sait de qui il s'agit) et de la manière la plus neutre et la plus sobre possible. Car je sais qu'en plus du reste la personne concernée a déjà cassé du sucre dans mon dos auprès de mes autres voisins, avec lesquels j'ai des rapports cordiaux et aucun problème particulier, mais que je ne fréquente pour ainsi dire pas. Ce serait donc des phrases du style: "j'ai fait l'objet de violentes attaques de la part de certains résidents" et "il semblerait que des racontars circulent sur ma personne". Je citerais aussi les propos car ils ont été hurlés en public à l'extérieur (cela dit il n'y avait pas foule pour écouter, mais bon) donc pas de calomnie possible. J'espère ainsi obtenir un retour de ce qui se passe réellement dans mon dos. Je préciserais aussi qu'il n'y aurait aucun autre courrier de ma part. Dites-moi que je ne peux pas faire ça (parce que ce serait trop beau pour être vrai si je pouvais).
"Moisse" <moisse@ifrance.etcom> a écrit dans le message de news:
489158c2$0$18577$426a34cc@news.free.fr...
Dans le message 4890b4a0$0$15497$426a74cc@news.free.fr, vilma
<qskf@sdfsf> exprime ceci:
Merci pour ces infos, mais là il s'agit plus de déposer plainte pour
les insultes ordurières et les menaces que pour le bruit proprement
dit.
...et je ne sais toujours pas s'ils peuvent s'en servir pour se
retourner contre moi en prétextant la diffamation, objet initial de
mon post :(
Tout au plus dénonciation calomnieuse et non diffamation.
Cela sera le cas si vous ne rapportez aucune preuve à l'appui de vos
doléances.
Ok merci.
Je pensais à autre chose. Déposer une lettre chez les autres voisins pour
raconter ce qui s'est passé, sans nommer les intervenants (même si tout le
monde sait de qui il s'agit) et de la manière la plus neutre et la plus
sobre possible. Car je sais qu'en plus du reste la personne concernée a déjà
cassé du sucre dans mon dos auprès de mes autres voisins, avec lesquels j'ai
des rapports cordiaux et aucun problème particulier, mais que je ne
fréquente pour ainsi dire pas. Ce serait donc des phrases du style: "j'ai
fait l'objet de violentes attaques de la part de certains résidents" et "il
semblerait que des racontars circulent sur ma personne". Je citerais aussi
les propos car ils ont été hurlés en public à l'extérieur (cela dit il n'y
avait pas foule pour écouter, mais bon) donc pas de calomnie possible.
J'espère ainsi obtenir un retour de ce qui se passe réellement dans mon dos.
Je préciserais aussi qu'il n'y aurait aucun autre courrier de ma part.
Dites-moi que je ne peux pas faire ça (parce que ce serait trop beau pour
être vrai si je pouvais).
"Moisse" a écrit dans le message de news: 489158c2$0$18577$
Dans le message 4890b4a0$0$15497$, vilma exprime ceci:
Merci pour ces infos, mais là il s'agit plus de déposer plainte pour les insultes ordurières et les menaces que pour le bruit proprement dit.
...et je ne sais toujours pas s'ils peuvent s'en servir pour se retourner contre moi en prétextant la diffamation, objet initial de mon post :(
Tout au plus dénonciation calomnieuse et non diffamation. Cela sera le cas si vous ne rapportez aucune preuve à l'appui de vos doléances.
Ok merci.
Je pensais à autre chose. Déposer une lettre chez les autres voisins pour raconter ce qui s'est passé, sans nommer les intervenants (même si tout le monde sait de qui il s'agit) et de la manière la plus neutre et la plus sobre possible. Car je sais qu'en plus du reste la personne concernée a déjà cassé du sucre dans mon dos auprès de mes autres voisins, avec lesquels j'ai des rapports cordiaux et aucun problème particulier, mais que je ne fréquente pour ainsi dire pas. Ce serait donc des phrases du style: "j'ai fait l'objet de violentes attaques de la part de certains résidents" et "il semblerait que des racontars circulent sur ma personne". Je citerais aussi les propos car ils ont été hurlés en public à l'extérieur (cela dit il n'y avait pas foule pour écouter, mais bon) donc pas de calomnie possible. J'espère ainsi obtenir un retour de ce qui se passe réellement dans mon dos. Je préciserais aussi qu'il n'y aurait aucun autre courrier de ma part. Dites-moi que je ne peux pas faire ça (parce que ce serait trop beau pour être vrai si je pouvais).
Moisse
Dans le message 4891e1d6$0$20496$, vilma exprime ceci:
"Moisse" a écrit dans le message de news: 489158c2$0$18577$
Dans le message 4890b4a0$0$15497$, vilma exprime ceci:
Merci pour ces infos, mais là il s'agit plus de déposer plainte pour les insultes ordurières et les menaces que pour le bruit proprement dit.
...et je ne sais toujours pas s'ils peuvent s'en servir pour se retourner contre moi en prétextant la diffamation, objet initial de mon post :(
Tout au plus dénonciation calomnieuse et non diffamation. Cela sera le cas si vous ne rapportez aucune preuve à l'appui de vos doléances.
Ok merci.
Je pensais à autre chose. Déposer une lettre chez les autres voisins pour raconter ce qui s'est passé, sans nommer les intervenants (même si tout le monde sait de qui il s'agit) et de la manière la plus neutre et la plus sobre possible. Car je sais qu'en plus du reste la personne concernée a déjà cassé du sucre dans mon dos auprès de mes autres voisins, avec lesquels j'ai des rapports cordiaux et aucun problème particulier, mais que je ne fréquente pour ainsi dire pas. Ce serait donc des phrases du style: "j'ai fait l'objet de violentes attaques de la part de certains résidents" et "il semblerait que des racontars circulent sur ma personne". Je citerais aussi les propos car ils ont été hurlés en public à l'extérieur (cela dit il n'y avait pas foule pour écouter, mais bon) donc pas de calomnie possible. J'espère ainsi obtenir un retour de ce qui se passe réellement dans mon dos. Je préciserais aussi qu'il n'y aurait aucun autre courrier de ma part. Dites-moi que je ne peux pas faire ça (parce que ce serait trop beau pour être vrai si je pouvais).
Votre démarche n'a guère de sens. Allez donc faire un tour chez ces voisins pour leur demander de vive voix ce que vous espérez qu'ils vous confient par écrit. Ensuite et selon kes réponses positives, ce dont je doute, vous serez le cas échéant en mesure d'étoffer une réclamation auprès du bailleur si l'importun est locataire, ou de porter plainte pour injures publiques (prescription 3 mois).
--
Dans le message 4891e1d6$0$20496$426a74cc@news.free.fr, vilma
<fmkjq@qsdfsqf.df> exprime ceci:
"Moisse" <moisse@ifrance.etcom> a écrit dans le message de news:
489158c2$0$18577$426a34cc@news.free.fr...
Dans le message 4890b4a0$0$15497$426a74cc@news.free.fr, vilma
<qskf@sdfsf> exprime ceci:
Merci pour ces infos, mais là il s'agit plus de déposer plainte
pour les insultes ordurières et les menaces que pour le bruit
proprement dit.
...et je ne sais toujours pas s'ils peuvent s'en servir pour se
retourner contre moi en prétextant la diffamation, objet initial de
mon post :(
Tout au plus dénonciation calomnieuse et non diffamation.
Cela sera le cas si vous ne rapportez aucune preuve à l'appui de vos
doléances.
Ok merci.
Je pensais à autre chose. Déposer une lettre chez les autres voisins
pour raconter ce qui s'est passé, sans nommer les intervenants (même
si tout le monde sait de qui il s'agit) et de la manière la plus
neutre et la plus sobre possible. Car je sais qu'en plus du reste la
personne concernée a déjà cassé du sucre dans mon dos auprès de mes
autres voisins, avec lesquels j'ai des rapports cordiaux et aucun
problème particulier, mais que je ne fréquente pour ainsi dire pas.
Ce serait donc des phrases du style: "j'ai fait l'objet de violentes
attaques de la part de certains résidents" et "il semblerait que des
racontars circulent sur ma personne". Je citerais aussi les propos
car ils ont été hurlés en public à l'extérieur (cela dit il n'y avait
pas foule pour écouter, mais bon) donc pas de calomnie possible.
J'espère ainsi obtenir un retour de ce qui se passe réellement dans
mon dos. Je préciserais aussi qu'il n'y aurait aucun autre courrier
de ma part. Dites-moi que je ne peux pas faire ça (parce que ce
serait trop beau pour être vrai si je pouvais).
Votre démarche n'a guère de sens.
Allez donc faire un tour chez ces voisins pour leur demander de vive
voix ce que vous espérez qu'ils vous confient par écrit.
Ensuite et selon kes réponses positives, ce dont je doute, vous serez le
cas échéant en mesure d'étoffer une réclamation auprès du bailleur si
l'importun est locataire, ou de porter plainte pour injures publiques
(prescription 3 mois).
Dans le message 4891e1d6$0$20496$, vilma exprime ceci:
"Moisse" a écrit dans le message de news: 489158c2$0$18577$
Dans le message 4890b4a0$0$15497$, vilma exprime ceci:
Merci pour ces infos, mais là il s'agit plus de déposer plainte pour les insultes ordurières et les menaces que pour le bruit proprement dit.
...et je ne sais toujours pas s'ils peuvent s'en servir pour se retourner contre moi en prétextant la diffamation, objet initial de mon post :(
Tout au plus dénonciation calomnieuse et non diffamation. Cela sera le cas si vous ne rapportez aucune preuve à l'appui de vos doléances.
Ok merci.
Je pensais à autre chose. Déposer une lettre chez les autres voisins pour raconter ce qui s'est passé, sans nommer les intervenants (même si tout le monde sait de qui il s'agit) et de la manière la plus neutre et la plus sobre possible. Car je sais qu'en plus du reste la personne concernée a déjà cassé du sucre dans mon dos auprès de mes autres voisins, avec lesquels j'ai des rapports cordiaux et aucun problème particulier, mais que je ne fréquente pour ainsi dire pas. Ce serait donc des phrases du style: "j'ai fait l'objet de violentes attaques de la part de certains résidents" et "il semblerait que des racontars circulent sur ma personne". Je citerais aussi les propos car ils ont été hurlés en public à l'extérieur (cela dit il n'y avait pas foule pour écouter, mais bon) donc pas de calomnie possible. J'espère ainsi obtenir un retour de ce qui se passe réellement dans mon dos. Je préciserais aussi qu'il n'y aurait aucun autre courrier de ma part. Dites-moi que je ne peux pas faire ça (parce que ce serait trop beau pour être vrai si je pouvais).
Votre démarche n'a guère de sens. Allez donc faire un tour chez ces voisins pour leur demander de vive voix ce que vous espérez qu'ils vous confient par écrit. Ensuite et selon kes réponses positives, ce dont je doute, vous serez le cas échéant en mesure d'étoffer une réclamation auprès du bailleur si l'importun est locataire, ou de porter plainte pour injures publiques (prescription 3 mois).
--
vilma
> Votre démarche n'a guère de sens.
Parce que vous avez mal interprété: c'est moi qui fais l'écrit, pas eux. Ai-je donc le droit de poster dans leurs boîtes aux lettres un courrier rappelant les faits sans que mes agresseurs puissent s'en servir pour porter plainte pour diffamation (malgré le fait que je ne citerai pas leurs noms) ?
Allez donc faire un tour chez ces voisins pour leur demander de vive voix ce que vous espérez qu'ils vous confient par écrit. Ensuite et selon kes réponses positives, ce dont je doute, vous serez le cas échéant en mesure d'étoffer une réclamation auprès du bailleur si l'importun est locataire, ou de porter plainte pour injures publiques (prescription 3 mois).
Je ne m'attends à strictement aucun témoignage écrit de leur part. Si les gens avaient simplement le courage de témoigner de ce qu'ils ont vu ou entendu, cela se saurait. Et dans ce cas il est bien évident que je porterais plainte. Là, je veux seulement savoir ce que ces tordus disent sur moi.
> Votre démarche n'a guère de sens.
Parce que vous avez mal interprété: c'est moi qui fais l'écrit, pas eux.
Ai-je donc le droit de poster dans leurs boîtes aux lettres un courrier
rappelant les faits sans que mes agresseurs puissent s'en servir pour porter
plainte pour diffamation (malgré le fait que je ne citerai pas leurs noms) ?
Allez donc faire un tour chez ces voisins pour leur demander de vive voix
ce que vous espérez qu'ils vous confient par écrit.
Ensuite et selon kes réponses positives, ce dont je doute, vous serez le
cas échéant en mesure d'étoffer une réclamation auprès du bailleur si
l'importun est locataire, ou de porter plainte pour injures publiques
(prescription 3 mois).
Je ne m'attends à strictement aucun témoignage écrit de leur part. Si les
gens avaient simplement le courage de témoigner de ce qu'ils ont vu ou
entendu, cela se saurait. Et dans ce cas il est bien évident que je
porterais plainte. Là, je veux seulement savoir ce que ces tordus disent sur
moi.
Parce que vous avez mal interprété: c'est moi qui fais l'écrit, pas eux. Ai-je donc le droit de poster dans leurs boîtes aux lettres un courrier rappelant les faits sans que mes agresseurs puissent s'en servir pour porter plainte pour diffamation (malgré le fait que je ne citerai pas leurs noms) ?
Allez donc faire un tour chez ces voisins pour leur demander de vive voix ce que vous espérez qu'ils vous confient par écrit. Ensuite et selon kes réponses positives, ce dont je doute, vous serez le cas échéant en mesure d'étoffer une réclamation auprès du bailleur si l'importun est locataire, ou de porter plainte pour injures publiques (prescription 3 mois).
Je ne m'attends à strictement aucun témoignage écrit de leur part. Si les gens avaient simplement le courage de témoigner de ce qu'ils ont vu ou entendu, cela se saurait. Et dans ce cas il est bien évident que je porterais plainte. Là, je veux seulement savoir ce que ces tordus disent sur moi.
Moisse
Dans le message 489211e4$0$26974$, vilma exprime ceci:
Votre démarche n'a guère de sens.
Parce que vous avez mal interprété: c'est moi qui fais l'écrit, pas eux. Ai-je donc le droit de poster dans leurs boîtes aux lettres un courrier rappelant les faits sans que mes agresseurs puissent s'en servir pour porter plainte pour diffamation (malgré le fait que je ne citerai pas leurs noms) ?
Même sans citer les noms, si la description permet l'identification, la reconnaissance, le délit de diffamation sera constitué. Pour le reste j'ai bien compirs que c'est vous qui désirez rédiger un écrit, et je vous répète que votre démarche n'a guère de sens, il vaut bien mieux une visite chez les voisins en question.
--
Dans le message 489211e4$0$26974$426a74cc@news.free.fr, vilma
<fmkjq@qsdfsqf.df> exprime ceci:
Votre démarche n'a guère de sens.
Parce que vous avez mal interprété: c'est moi qui fais l'écrit, pas
eux. Ai-je donc le droit de poster dans leurs boîtes aux lettres un
courrier rappelant les faits sans que mes agresseurs puissent s'en
servir pour porter plainte pour diffamation (malgré le fait que je ne
citerai pas leurs noms) ?
Même sans citer les noms, si la description permet l'identification, la
reconnaissance, le délit de diffamation sera constitué.
Pour le reste j'ai bien compirs que c'est vous qui désirez rédiger un
écrit, et je vous répète que votre démarche n'a guère de sens, il vaut
bien mieux une visite chez les voisins en question.
Dans le message 489211e4$0$26974$, vilma exprime ceci:
Votre démarche n'a guère de sens.
Parce que vous avez mal interprété: c'est moi qui fais l'écrit, pas eux. Ai-je donc le droit de poster dans leurs boîtes aux lettres un courrier rappelant les faits sans que mes agresseurs puissent s'en servir pour porter plainte pour diffamation (malgré le fait que je ne citerai pas leurs noms) ?
Même sans citer les noms, si la description permet l'identification, la reconnaissance, le délit de diffamation sera constitué. Pour le reste j'ai bien compirs que c'est vous qui désirez rédiger un écrit, et je vous répète que votre démarche n'a guère de sens, il vaut bien mieux une visite chez les voisins en question.
--
bahn po
vilma avait prétendu :
Bonjour,
Il y a quelques jours j'ai été très violemment prise à partie par des voisins à cause d'un problème de bruit de leur part (ils ne savent tout simplement pas ce qu'est la discrétion et surtout, ils s'en moquent ouvertement et le disent). J'ai été traitée de tout: tutoiement ordurier, insultes, obscénités, considérations sur ma personne et ma vie, ordres de me taire, menaces de me tabasser ("on s'en fout que tu ailles à la gendarmerie ils vont rigoler, j'assume"), etc. Difficile de tomber plus bas.
Pour la gendarmerie ce n'est pas tout à fait faux car elle n'a daigné enregistrer qu'une main courante insuffisamment renseignée et on m'a fortement découragée à porter plainte. Je ne peux donc pas faire jouer cela auprès du syndic, car j'aimerais faire parvenir une lettre recommandée à leur propriétaire pour les informer.
A partir du moment où il ne m'a pas été possible de déposer une vraie plainte, est-ce que je risque des poursuites pour diffamation ?
Je précise que tout le voisinage a entendu les hurlements hystériques des individus concernés, mais je ne compte pas sur un quelconque témoigage car soit ils sont indifférents soit ils ont peur de représailles. Ca peut au mieux intervenir s'il y a enquête de voisinage un jour, et encore.
Merci pour vos conseils.
De façon pragmatique, il n'y a qu'une solution, c'est le déménagement. Le reste, ce que certains appellent le droit en se fondant sur l'article xxx.yyy du code machin_truc est tout juste utilisable dans sa forme papier à se torcher le cul. Du code à la réalité il y a un abîme. La justice n'a pas de moyens, la police non plus et le politique que des promesses.
Redescend donc sur terre. Tes voisins bien qu'abrutis ont gagné la partie. Au pire il te pousseront à bout et tu feras une connerie que tu devras payer. Au mieux ta santé sera bousillée.
Désolé pour toi.
vilma avait prétendu :
Bonjour,
Il y a quelques jours j'ai été très violemment prise à partie par des voisins
à cause d'un problème de bruit de leur part (ils ne savent tout simplement
pas ce qu'est la discrétion et surtout, ils s'en moquent ouvertement et le
disent). J'ai été traitée de tout: tutoiement ordurier, insultes, obscénités,
considérations sur ma personne et ma vie, ordres de me taire, menaces de me
tabasser ("on s'en fout que tu ailles à la gendarmerie ils vont rigoler,
j'assume"), etc. Difficile de tomber plus bas.
Pour la gendarmerie ce n'est pas tout à fait faux car elle n'a daigné
enregistrer qu'une main courante insuffisamment renseignée et on m'a
fortement découragée à porter plainte. Je ne peux donc pas faire jouer cela
auprès du syndic, car j'aimerais faire parvenir une lettre recommandée à leur
propriétaire pour les informer.
A partir du moment où il ne m'a pas été possible de déposer une vraie
plainte, est-ce que je risque des poursuites pour diffamation ?
Je précise que tout le voisinage a entendu les hurlements hystériques des
individus concernés, mais je ne compte pas sur un quelconque témoigage car
soit ils sont indifférents soit ils ont peur de représailles. Ca peut au
mieux intervenir s'il y a enquête de voisinage un jour, et encore.
Merci pour vos conseils.
De façon pragmatique, il n'y a qu'une solution, c'est le déménagement.
Le reste, ce que certains appellent le droit en se fondant sur
l'article xxx.yyy du code machin_truc est tout juste utilisable dans sa
forme papier à se torcher le cul. Du code à la réalité il y a un abîme.
La justice n'a pas de moyens, la police non plus et le politique que
des promesses.
Redescend donc sur terre. Tes voisins bien qu'abrutis ont gagné la
partie. Au pire il te pousseront à bout et tu feras une connerie que tu
devras payer. Au mieux ta santé sera bousillée.
Il y a quelques jours j'ai été très violemment prise à partie par des voisins à cause d'un problème de bruit de leur part (ils ne savent tout simplement pas ce qu'est la discrétion et surtout, ils s'en moquent ouvertement et le disent). J'ai été traitée de tout: tutoiement ordurier, insultes, obscénités, considérations sur ma personne et ma vie, ordres de me taire, menaces de me tabasser ("on s'en fout que tu ailles à la gendarmerie ils vont rigoler, j'assume"), etc. Difficile de tomber plus bas.
Pour la gendarmerie ce n'est pas tout à fait faux car elle n'a daigné enregistrer qu'une main courante insuffisamment renseignée et on m'a fortement découragée à porter plainte. Je ne peux donc pas faire jouer cela auprès du syndic, car j'aimerais faire parvenir une lettre recommandée à leur propriétaire pour les informer.
A partir du moment où il ne m'a pas été possible de déposer une vraie plainte, est-ce que je risque des poursuites pour diffamation ?
Je précise que tout le voisinage a entendu les hurlements hystériques des individus concernés, mais je ne compte pas sur un quelconque témoigage car soit ils sont indifférents soit ils ont peur de représailles. Ca peut au mieux intervenir s'il y a enquête de voisinage un jour, et encore.
Merci pour vos conseils.
De façon pragmatique, il n'y a qu'une solution, c'est le déménagement. Le reste, ce que certains appellent le droit en se fondant sur l'article xxx.yyy du code machin_truc est tout juste utilisable dans sa forme papier à se torcher le cul. Du code à la réalité il y a un abîme. La justice n'a pas de moyens, la police non plus et le politique que des promesses.
Redescend donc sur terre. Tes voisins bien qu'abrutis ont gagné la partie. Au pire il te pousseront à bout et tu feras une connerie que tu devras payer. Au mieux ta santé sera bousillée.
