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bruxelles totlitarisme

30 réponses
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cicis
la question est
veux ton de bruxelles plein pouvoir ?

c une debat du citoyen face a bruxelles
et non face a l'europe

le debat est faussé
les hommes politique sont tous faux

ca n'est pas une debat gauche droite
ce 'est meme pas un debat liberal ou social
ca a rien a voir
de toute facon apres les gourvernement gauche droite
c a peu pres la meme chose

moi je suis pour l'europe sauf la turquie
mais CONTRE BrUXELLES
totalitarisme ayant les pleins pouvoirs
aucune democratie

la france a plus de pouvoir depuis longtemps
plus de dependance
et repond a des lois europeenes
et subis les directives de bruxelles

10 réponses

1 2 3
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Jean-Marc DURO
"cicis" a écrit dans le message de
news:42913737$0$31726$
| Le Président de la Commission européenne Romano Prodi
| a été membre du comité de direction du Groupe Bilderberg.
| ======================================= > | ======================================= >
Quelle est la capacité du disque dur ?

De combien de RAM dispose cet appareil ?

Serge




A t'il été monté par des plombiers polonais sous contrat portuguais ?

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cicis
1) exemple de la manipulation
2) preuve de la manipultiton

1)
de Journal de 13h (France Inter) - le 3 juin 2004
Accueil
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bilderberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%
3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-20,GGLD:fr> > Dérapages
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/rubrique.php3%3Fid_rubrique%3D28&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bilderberg
.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-20,GGLD:
fr>
4 juin 2004, par Philippe Arnaud
Entendu au journal de 13h sur France inter jeudi 03 juin 2004.
Chers tous, aujourd'hui jeudi 03 juin, au journal de France Inter de 13 h, j
'ai écouté ceci : « La bataille de Normandie, qui fut la plus grande
bataille de l'Histoire et qui, pour l'Allemagne nazie, marqua le
commencement de la fin... » [Je cite de mémoire et prierai donc les
lecteurs(trices) de me rectifier, mais les informations énoncées étaient
bien celles-ci]. Cette phrase suscite plusieurs commentaires.
1. Le débarquement en Normandie et les combats qui s'ensuivirent dans la
région jusqu'au 31 juillet, peuvent, en effet, être considérées comme les
divers éléments d'une bataille gigantesque. Mais fut-ce « la plus grande
bataille de l'Histoire » ? Fut-ce « le commencement de la fin » pour l'
Allemagne nazie ? Cela, à beaucoup d'égards, est contestable. En outre, on
peut soupçonner - et on s'efforcera de le démontrer - que, derrière ce
dithyrambe, se cache un dessein idéologique.
2. La bataille de Normandie, plus grande bataille de l'Histoire ? On
pourrait presque dire que la bataille, comme la tragédie classique, obéit à
la règle des trois unités (un temps, un jour et une action). C'est
curieusement assez vrai, encore aujourd'hui, alors que les moyens
logistiques modernes permettent de s'affranchir des contraintes du temps
(aux deux sens de temps qui passe et de temps météorologique) et de mener
une action sur plusieurs jours, plusieurs semaines, voire plusieurs mois. A
cette aune, certaines des guerres les plus récentes (les Malouines, en 1982,
ou la dernière guerre d'Irak, en 2003) ont pu voir des succès décisifs
obtenus en seulement un ou deux jours.
3. A l'inverse, jadis, une « bataille » pouvait durer plusieurs jours, voire
plusieurs semaines. Le cas le plus typique est bien entendu celui des
sièges. Le siège de Constantinople (le 5e et définitif) dura du 6 avril au
29 mai 1453. Le siège de Vienne (le second, celui auquel on se réfère
habituellement) dura du 14 juillet au 12 septembre 1683. Le siège de Paris,
durant la guerre de 70, s'étala du 20 septembre 1870 au 28 janvier 1871. La
durée de ces sièges est comparable à celle de la bataille de Normandie et
leur importance, dans l'Histoire, ne fut pas moindre. On se limitera à ces
exemples, mais on pourrait les multiplier.
4. D'un autre point de vue, certaines batailles (entendu au sens classique)
durèrent plusieurs jours. La bataille de Leipzig se déroula du 16 au 19
octobre 1813. La bataille de Waterloo est considérée par certains historiens
comme un ensemble où entrent également Ligny (le 16 juin 1815) et Wavre (le
18 juin), cette dernière bataille voyant la victoire (tactique) de Grouchy
sur Thielmann... qui entraîna la défaite (stratégique, celle-là) de Waterloo
(également nommée Belle-Alliance, selon certains historiens militaires). A l
'inverse, on peut considérer le 6 juin 1944 comme une bataille (qu'on
appellerait, par exemple, bataille du Littoral normand), et qui fut gagnée
du simple fait qu'à minuit les alliés n'avaient pas été rejetés à la mer. On
peut, sur la même lancée, considérer les batailles ultérieures de Caen,
Cherbourg, Avranches, Falaise, etc., comme autant de batailles
individuelles, à l'instar de ce qu'on pourrait dire de Montenotte,
Millesimo, Castiglione, Lodi, Arcole, Rivoli, etc., dans la campagne d'
Italie de 1796.
5. Les comparaisons évoquées ci-dessus ont toutes (à l'exception d'une
seule), été faites avec des batailles de l'ère pré-industrielle. Et l'on
constate que, même en se limitant à ces cas, la bataille de Normandie, perd
son caractère exceptionnel. A plus forte raison, cette bataille rentre dans
le rang (si l'on peut dire) par comparaison avec les combats de l'ère
industrielle, qui débutent avec la guerre de Sécession. On a déjà vu un
exemple avec le siège de Paris, considéré par la tradition de l'histoire
militaire allemande comme « une » grande bataille, à l'instar de Spicheren,
Wörth, Gravelotte-Saint-Privat ou Sedan. On pourrait faire le même
raisonnement pour Metz et considérer comme une seule bataille l'ensemble des
combats de rupture tentés par l'armée française aussi bien autour de Metz qu
'autour de Paris ( Le Bourget, Villiers-sur-Marne, Buzenval ).
6. Ces caractères deviennent encore plus évidents au XXe siècle, par exemple
avec le conflit que fut la guerre russo-japonaise, et par lequel s'ouvre ce
siècle. La bataille de Moukden, par exemple, dura du 21 février au 10 mars
1905 et mit en présence quelque 300 000 soldats japonais et une force russe
comparable. Mais c'est bien entendu la guerre de 1914-1918 qui offre les
comparaisons les plus nettes avec la bataille de Normandie. La bataille de
Verdun dura du 21 février au 17 décembre 1916, causant la perte de 542 000
Français et 434 000 Allemands. La bataille de Gorlitz-Tarnow, sur le front
oriental (du 2 mai au 18 septembre 1915), coûta 1 300 000 hommes aux
austro-allemands et 1 750 000 aux Russes. Ces pertes furent bien supérieures
aux pertes allemandes et alliées en Normandie (les cimetières allemands de
Normandie comptent 58 000 tombes, les cimetières américains 14 000, les
cimetières britanniques près de 19 000, les canadiens près de 5000).
7. Si, maintenant, on veut considérer l'ensemble des opérations de Normandie
comme "une seule" bataille (unité d'action,de lieu, et - presque - de
temps), il serait légitime de la comparer à une autre opération, presque
contemporaine, tout aussi rapide et tout aussi décisive : la campagne de
France, du 10 mai au 25 juin 1940, qui vit les Allemands, au prix de 27 000
tués, 111.000 blessés et 18 000 disparus, anéantir totalement l'armée
française (2 millions de prisonniers).
Conclusion provisoire. Par rapport aux guerres précédentes, de l'ère
pré-industrielle comme de l'ère industrielle, du point de vue absolu comme
du point de vue relatif, qu'on scinde les combats ou qu'on les considère en
bloc, qu'on compare les moyens employés, qu'on regarde les pertes ou les
conséquences stratégiques, la bataille de Normandie (limitée au 6 juin ou
étendue jusqu'à la réduction de la poche de Falaise), n'est exceptionnelle
que par les moyens logistiques mis en oeuvre dans le domaine aéro-naval.
Verdun, Gorlitz, la Marne I et la Marne II (1914 et 1918) vues du côté
allemand, furent des batailles tout aussi massives (et même, dans le cas des
deux batailles de la Marne, "les" batailles par où l'Allemagne perdit).
Point 2. Le dessein idéologique. N'y allons pas par quatre chemins : la
valorisation de la contribution des Anglo-Américains à la défaite de l'
Allemagne est destinée à reléguer dans l'ombre deux autres facteurs qui
contribuèrent puissamment à la défaite de l'Allemagne. L'un, décisif, est le
rôle de l'armée soviétique ; l'autre, moins important mais lourd de
conséquences, est le rôle des maquis dans l'Europe occupée, et,
particulièrement, celui des maquis communistes.
1. Le rôle de l'armée soviétique. Ce rôle est un rôle essentiel, un rôle
décisif. Il se manifeste à plusieurs niveaux et dans plusieurs batailles.
1.1. Rôle au niveau des effectifs. Au début de l'opération Barbarossa (juin
1941), les Allemands engagent contre l'URSS 150 divisions d'infanterie et 30
divisions blindées, plus 15 divisions finlandaises, 20 divisions roumaines,
10 divisions hongroises et 10 italiennes. Du côté occidental, 60 divisions
allemandes occupaient l'Europe de la Norvège à la France, 7 stationnaient
dans les Balkans, 2 opéraient en Libye. Dès le début, c'est donc 72 % des
forces allemandes qui sont engagées contre l'URSS, et, par la suite, avec l'
intensification des combats, ce pourcentage varia peu. En juillet 1943, la
Wehrmacht comptait 206 divisions (5 millions d'hommes) sur le front russe
pour un total de 320 divisions. Sur ce front, la Luftwaffe avait 3000
avions. Cela faisait 64 % des hommes.
1.2. Rôle au niveau des échecs et des pertes de l'armée allemande. L'armée
allemande, dans son offensive contre l'URSS, fut arrêtée au nord, au centre
et au sud. Au nord à Leningrad, au centre à Moscou, au sud à Stalingrad. En
avril 1942, après 10 mois d'offensive, l'armée allemande avait perdu 900 000
hommes, 74 000 véhicules, 2340 chars. La bataille de Stalingrad, issue
finale d'une campagne où les Allemands (et leurs alliés) engagèrent plus d'
un million d'hommes, 700 blindés, 1000 canons, vit l'encerclement et la
capitulation de 284 000 hommes à Stalingrad. La bataille de Moscou
(octobre-décembre 1941) coûta aux Allemands 162 000 tués, 33 000 disparus,
572 000 blessés, soit 24 % de l'effectif (chiffre comparable à celui des
pertes de l'armée austro-hongroise lors de sa première offensive contre la
Serbie, ce qui avait été considéré comme un désastre). A la fin de leur
offensive de l'été-automne 1943 (Koniev - Malinovski - Tolboukhine), les
Soviétiques avaient détruit ou démantelé 100 divisions de l'Axe (allemande,
italiennes, hongroises, roumaines), soit près de 2,5 millions d'hommes.
2. Rôle des résistances. Dans presque tous les pays occupés, se dressèrent
des résistants qui, s'ils n'affrontèrent pas toujours la Wehrmacht en
bataille rangée (sauf en Yougoslavie), contribuèrent néanmoins à immobiliser
d'importantes forces de l'Axe. Ce fut bien sûr le cas en URSS, mais aussi en
Italie. Or, en nombre de pays, les partisans étaient communistes : en
France, en Yougoslavie, en Tchécoslovaquie, en Grèce, en Italie , où les
communistes étaient 70 %, répartis entre les groupes Garibaldi et le groupes
Justice et Liberté. En France, lors des débarquements de Normandie et de
Provence, la Résistance contribua fortement à paralyser l'effort militaire
allemand.
3. La bataille de Normandie elle-même. Selon les alliés, Caen devait tomber
le premier jour du débarquement. Or la ville ne fut conquise qu'un mois plus
tard, à l'issue de violents combats. Ce ne fut qu'au bout de deux mois que
les alliés en finirent avec la Normandie, alors qu'ils disposaient de la
maîtrise totale du ciel (qui leur servit en maints lieux, notamment à
Falaise). Les Allemands avaient contre eux la dispersion de leurs forces
dans les pays occupés, qui rendait malaisé le transfert des troupes, les
actions de la Résistance et les mauvaises nouvelles du front russe et des
bombardements sur leur pays. Or, ils ne se battirent pas moins avec beaucoup
d'opiniâtreté, et à l'Est et à l'Ouest. Si, par exemple, certaines troupes
cantonnées dans le Pas-de-Calais avaient pu se déplacer plus rapidement en
Normandie, les pertes alliées auraient été bien plus lourdes, et la campagne
en aurait été très retardée (cela n'est pas une vue de l'esprit car, lorsqu'
ils en eurent plus tard l'occasion, les Allemands, même avec des forces
réduites, posèrent aux alliés de rudes problèmes, comme à Arnheim et à
Bastogne).
4. Perception, en France, de la guerre sur le front russe. Curieusement,
alors que les Soviétiques furent nos alliés, il règne encore, dans le grand
public (pas chez les historiens, il est vrai) une impression mitigée à leur
égard. Tout d'abord, leur apport humain est minimisé par les conditions
géographiques et climatiques de leur pays. On impute beaucoup la défaite
allemande à l'hiver russe (ou à l'été avec sa poussière), ou à l'immensité
des plaines. Lorsqu'il s'agit des hommes, on fait valoir leur nombre et le
mépris des chefs soviétiques pour la vie humaine (légende des Russes se
précipitant vague après vague sur les mitrailleuses allemandes jusqu'à
épuisement des bandes). Et, lorsque le nombre n'est pas en cause, on invoque
le fanatisme (qualifié, sous d'autres cieux, de patriotisme). Pour les
armements, on s'extasie sur la sophistication des chars Tigre ou Panther par
rapport aux T-34, sur les supériorités des Messerschmitt par rapport aux
Stormovik. Pratiquement, la victoire des Soviétiques ne s'explique que par
des qualités "inférieures" : obéissance aveugle, capacité à souffrir, mépris
de la mort, endurance, résistance physique, fanatisme. On insiste peu sur
les qualités « supérieures ».
5. Causes « supérieures » des victoires soviétiques. Les Soviétiques
vainquirent d'abord par un énorme effort industriel, réalisé en temps de
guerre, malgré des pertes énormes dans la population active et la perte de
tout l'ouest du pays. Les usines, les mines, les aciéries tournèrent à plein
régime derrière l'Oural, et cela témoigne d'un remarquable effort d'
organisation au bénéfice du régime. Ensuite, les Soviétiques élaborèrent d'
excellents armements (avions, chars, canons, fusils d'assaut,
lance-roquettes à tubes multiples) peut-être moins sophistiqués que ceux des
Allemands... mais fonctionnant en toute saison. Enfin, si les Allemands se
montrèrent supérieurs au niveau tactique (de la compagnie au régiment),
supérieurs aussi au niveau des sous-officiers et officiers subalternes, les
Soviétiques l'emportèrent de loin au niveau stratégique, aussi bien pour la
guerre d'ensemble que pour chacun des théâtres d'opérations. Il ne faut pas
minimiser, enfin, l'action d'un service d'espionnage hors de pair (Richard
Sorge, L'Orchestre rouge, Philby).
Conclusion. La volonté de mettre en avant la victoire américaine est
corrélative d'une volonté non moins manifeste de passer sous silence le rôle
de l'Union soviétique. Si la France et les pays de l'ouest de l'Europe
furent libérés, ce fut autant par l'Armée rouge que par l'armée américaine.
Lorsqu'on rabote une porte pour la faire cadrer dans l'ouverture, peu
importe que le coup de rabot décisif vienne du haut ou du bas, l'essentiel
est que la pièce entre dans son logement. Dans l'usure de la Wehrmacht, les
Soviétiques donnèrent les coups de rabot, les Américains les coups de lime.
Par ailleurs, les exploits de la Résistance - communiste, et, plus
largement, populaire - ne faisaient que souligner les défaillances des
élites. Défaillances d'abord professionnelles, en ce que les spécialistes de
la guerre (les militaires et politiques, recrutés parmi les classes
privilégiées) avaient vu leur science échouer devant la machine de guerre
allemande. Défaillances sociales ensuite, en ce que ces mêmes classes
privilégiées, que ce fût comme individus ou comme corps constitués, ne
témoignèrent pas (sauf exceptions : de Gaulle, Leclerc, de la Rocque) d'une
résistance farouche face à l'occupant. Pour faire oublier ces manques - et
comme on ne pouvait se leurrer sur le rôle réel des armées de Lattre ou
Leclerc - il fallait que la force allemande fût vaincue par une force de
même nature, commandée par des classes supérieures, et, autant que possible,
par une force "convenable" : l'armée américaine remplissait ce rôle à
merveille. D'où l'agacement, d'où les réticences à laisser les seconds rôles
jouer à l'avant-scène : subordination des réseaux à Londres, refus de
renforcer les maquis, refus de voir les communistes (Rol-Tanguy) jouer un
rôle dans la libération de Paris (et d'ailleurs), fébrilité à désarmer les
F.T.P. ou à intégrer les F.F.I. dans l'armée régulière. Mais, en mai 1945,
tous les Français - qui avaient suivi le film en direct - savaient bien qui
avait tenu le rôle principal. Soixante ans plus tard, il n'est pas inutile
de le rappeler...
Je vous saurais gré de vos remarques, compléments, précisions et critiques.
Bien à vous
Philippe Arnaud
Correspondant AMD 37.

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2) les preuves , les raisons
------------------
Dossier : La concentration dans les médias en France (OFM)
Accueil
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bilderberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%
3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-20,GGLD:fr> > Dossiers
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/rubrique.php3%3Fid_rubrique%3D25&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bilderberg
.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-20,GGLD:
fr> > La concentration dans les médias
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/rubrique.php3%3Fid_rubrique%3D104&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bilderber
g.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-20,GGLD
:fr> Le grand nombre de titres de presse écrite, de chaînes de télévision, d
'éditeurs de livres masque l'ampleur de la concentration dans les médias et
ses effets dévastateurs. La concentration au sein de chaque média
(concentration dans la télévision, la presse.) n'est qu'un aspect de la
concentration car les groupes les plus puissants sont multimedia. Ils ont
des positions fortes à la fois dans la télévision, la presse, l'édition, .
et sont intégrés à des groupes industriels (Lagardère, Bouygues,
Dassault, .).
1. La télévision, un média très concentré
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien1&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
TF1 en position dominante
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien4&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
Dans la télévision payante, l'alliance Vivendi-Lagardère
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien5&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
Quelles relations entre le pôle TF1-M6 et le pôle Vivendi-Lagardère ?
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien6&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
Une concentration inacceptable
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien7&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
2. La concentration dans la presse
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien2&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
Le paysage de la presse
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien8&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
Quelques tendances lourdes
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien9&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
3. La concentration dans l'édition
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien3&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bil
derberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-2
0,GGLD:fr>
Les multinationales dans l'édition
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien10&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bi
lderberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-
20,GGLD:fr>
La domination du groupe Lagardère
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien11&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bi
lderberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-
20,GGLD:fr>
Marketing et pression médiatique contre le pluralisme
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien12&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bi
lderberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-
20,GGLD:fr>
Il n'existe aucune législation antitrust spécifique
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D113%23lien13&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bi
lderberg.org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-
20,GGLD:fr>

Le grand nombre de titres de presse écrite, de chaînes de télévision, d'
éditeurs de livres masque l'ampleur de la concentration dans les médias et
ses effets dévastateurs.
La concentration au sein de chaque média (concentration dans la télévision,
la presse.) n'est qu'un aspect de la concentration car les groupes les plus
puissants sont multimedia. Ils ont des positions fortes à la fois dans la
télévision, la presse, l'édition, . et sont intégrés à des groupes
industriels (Lagardère, Bouygues, Dassault, .). La concentration est aussi
amplifiée par les alliances entre les groupes de médias : des convergences d
'intérêts naissent à travers des entreprises dont le capital est détenu
conjointement par les groupes alliés (alliance Vivendi-Lagardère, alliance
TF1-M6, .).
L'ampleur de cette concentration met en cause l'indépendance des hommes
politiques vis-à-vis des médias, le pluralisme et la qualité de l'
information et rend donc nécessaire, et urgente, l'adoption d'une loi
limitant réellement la concentration dans les médias.
1. La télévision, un média très concentré

TF1 en position dominante
L'entreprise TF1 a réalisé en 2002 un chiffre d'affaires de 2,6 milliards d'
euros et capté plus de la moitié des recettes de la publicité à la
télévision (54% en 2002 selon Secodip). La chaîne TF1 qui réalise près du
tiers de l'audience totale de l'ensemble des chaînes de télévision en France
(32,7% fin 2002 selon Médiamétrie) ne représente que 58% du chiffre d'
affaires de TF1.
Les chaînes de télé qui appartiennent à TF1
L'entreprise TF1 n'est pas seulement la chaîne gratuite TF1, c'est aussi le
premier actionnaire du bouquet numérique TPS qui diffuse plus de 200 chaînes
avec un million d'abonnés. L'entreprise TF1 possède également les chaînes de
télévision LCI, Odyssée, Eurosport, TPS Star, Cinétoile, Cinéstar, Télétoon,
Infosport, sans compter des participations dans Série Club, TF6, TV Breizh,
etc., .
TF1, ce n'est pas seulement la télévision
TF1, c'est aussi le cinéma, à travers des participations dans des sociétés
de production de films (49% de Téléma, 50% de Film Par Film et bien sur TF1
Film Production) et la distribution de films (à travers TFM, filiale commune
de TF1 et de Miramax du groupe Disney). TF1, c'est également l'édition et la
distribution de cassettes vidéo, de DVD, de CD musicaux. TF1 est le premier
éditeur vidéo français (à travers TF1 Vidéo) (Les Echos, 14.05.2003). Sans
oublier les produits dérivés, jeux de société, presse magazine (Tfou Mag,
Star Academy). et les investissements dans la presse écrite quotidienne
gratuite. La participation de TF1 dans Métro-France (34%), les projets de
gratuits spécialisés dans le sport, dans la télévision, en cours de
réalisation marquent le choix stratégique de TF1 de s'implanter dans la
presse écrite quotidienne.
TF1 au sein du groupe Bouygues
Le groupe Bouygues contrôle TF1 avec 41,3% du capital. Si, au sein de
Bouygues, TF1 ne représente que 12% du chiffre d'affaires du groupe, en
revanche l'activité média peut être utilisée pour favoriser les autres
activités du groupe (construction, téléphone). Comme l'affirmait Francis
Bouygues au moment de la privatisation de TF1 : « il y a des intérêts
secondaires découlant de la possession d'un tel outil » (cité par P. Péan,
C. Nick dans TF1, Un Pouvoir).
Les groupes Pinault et Arnault, actionnaires de Bouygues
Qui possède le groupe Bouygues ? Si la famille Bouygues est le premier
actionnaire du groupe, le groupe Pinault (FNAC, Printemps, Le Point, Radio
BFM.) détient 8% du capital et le groupe Arnault (La Tribune, Investir,
LVMH.) près de 5%. Ainsi deux groupes, eux-mêmes impliqués dans les médias,
détiennent une part significative du groupe qui détient TF1.
TF1 et son allié M6
Le réseau Bouygues-TF1 ne s'arrête pas là, il s'étend à travers les
alliances de TF1. La plus connue de ses alliances est la participation de
TF1 au capital de la chaîne de télévision TV Breizh aux cotés de Berlusconi
et de Murdoch. Mais l'alliance la plus importante en termes de chiffre d'
affaires concerne les relations de TF1 avec M6.
M6 est contrôlée par la multinationale allemande Bertelsmann qui, à travers
le groupe RTL, est le premier actionnaire du groupe M6 (et contrôle M6
depuis le retrait de Suez). TF1 et M6 possèdent en commun deux chaînes de
télévision Série Club (50%-50%) et TF6 (50%-50%) et surtout le bouquet TPS
(dont M6 détient 34% et TF1 66%).
Les deux chaînes privées accessibles sans abonnement au plan national, TF1
et M6, sont ainsi reliées par des intérêts communs importants. TPS à lui
seul représente 11% du chiffre d'affaires de TF1 et plus encore de celui de
M6. Les groupes TF1 et M6 sont certes concurrents dans la recherche d'
audience, clé des recettes publicitaires, mais sont aussi alliés. Or l'
ensemble TF1 et M6 représentait 46% de l'audience totale de la télévision en
2002 (TF1 32,7%, M6 13,2% selon Médiamétrie). La domination est encore plus
forte dans le domaine des recettes publicitaires : 76,8% du marché de la
publicité à la télévision leur revient (en 2002 : 53,9% pour TF1 et 22,9%
pour M6 selon Secodip).
Dans la télévision payante, l'alliance Vivendi-Lagardère
Le groupe Canal Plus, propriété de Vivendi
Vivendi a vendu une partie très importante de ses activités médias (édition,
presse), et rien n'assure qu'elle restera, à terme, présente dans la
télévision. Néanmoins, aujourd'hui, la télévision payante est dominée par
Vivendi qui contrôle 100% du groupe Canal Plus. Le groupe Canal Plus
contrôle la chaîne à péage Canal Plus et ses 4,8 millions d'abonnés, une
vingtaine de chaînes thématiques (MultiThématiques dont Canal Plus détient
63,9% du capital), StudioCanal qui tient une place importante dans la
production et la distribution de films et de programmes de télévision (ce
qui est d'ailleurs une obligation légale de Canal Plus). C'est aussi la
plate-forme CanalSatellite avec 2 millions d'abonnés qui diffuse quelque 230
chaînes de télévision et de services interactifs. Si l'on inclut
NCNuméricable, c'est 8 millions d'abonnés que compte le groupe Canal Plus
fin 2003. Le chiffre d'affaires de la télévision à péage du groupe Canal
Plus a été de 2,7 milliards d'euros en 2002 (1,5 milliard pour la chaîne
Canal Plus). Toutefois, l'audience de Canal Plus n'étant que de 3,5% de l'
audience totale de la télévision, le pouvoir que donne la détention de Canal
Plus est beaucoup plus faible que celui du groupe Bouygues qui contrôle TF1
dont l'audience est dix fois plus forte.
L'alliance Vivendi-Lagardère dans la télévision
Dans la télévision Vivendi est allié avec le groupe Lagardère. Vivendi et
Lagardère possèdent en commun CanalSatellite (34% Lagardère et 66% Canal
Plus) et MultiThématiques (27,4% Lagardère et 72,6% Canal Plus). Le contrôle
conjoint de CanalSatellite crée des intérêts communs importants entre
Vivendi et Lagardère, d'une part parce qu'il y a plus de 2 millions d'
abonnés à CanalSatellite et un chiffre d'affaires en 2002 de 782 millions d'
euros (bien plus que TPS), et d'autre part parce qu'en contrôlant l'entrée
dans ce bouquet satellite, les deux alliés détiennent le pouvoir de fixer la
rémunération de chacune des chaînes diffusées et les conditions d'accès à
ces chaînes par les téléspectateurs. Le contrôle conjoint par Vivendi et
Lagardère du capital de MultiThématiques, qui regroupe des chaînes de
télévision autour de huit marques (Planète, Planète Future, Planète
Thalassa, Canal Jimmy, Season, CinéCinéma, AlloCinéInfo et EuroChannel) est
une autre source d'intérêts communs entre Vivendi et Lagardère.
Les chaînes de télévision contrôlées par Lagardère
Lagardère contrôle en propre cinq chaînes de télévision : deux chaînes
musicales (MCM et Mezzo), deux chaînes jeunesse (Canal J et Tiji), Match TV
et la chaîne météo. Le groupe Lagardère produit et distribue aussi des
programmes pour la télévision (premier producteur de fiction prime time en
France en 2002).
Quelles relations entre le pôle TF1-M6 et le pôle Vivendi-Lagardère ?
La télévision privée comporte donc deux pôles, d'un coté l'alliance TF1-M6
(Bouygues-Bertelsmann) et de l'autre l'alliance Lagardère-Vivendi. Quelles
sont les relations entre ces deux réseaux ? Vivendi et le groupe Bertelsmann
ont longtemps été alliés. Ainsi l'un des dirigeants de Bertelsmann siégeait
au conseil d'administration de Vivendi jusqu'à ce que Bertelsmann rachète la
part de Vivendi dans France-Loisirs (édition) qu'ils détenaient
conjointement. Jusqu'en janvier 2004, le groupe Canal Plus et RTL Groupe
étaient présents dans le capital de Sportfive (droits sportifs), . Aujourd'
hui, ce sont surtout les relations entre le groupe Lagardère et le pôle en
principe concurrent (TF1-M6), qui sont inquiétantes. Lagardère et M6
participent l'un et l'autre au capital de la chaîne de télévision Téva.
Certains administrateurs du groupe Lagardère sont administrateurs du groupe
Bouygues. Arnaud Lagardère lui-même est administrateur de LVMH qui
appartient au groupe Arnault, lequel est actionnaire de Bouygues ! L'
actualité récente montre que Lagardère se rapproche de Bouygues, puisqu'il
vient d'entrer dans le capital de TV Breizh au coté de TF1, Berlusconi et
Murdoch. Et si, comme cela est régulièrement évoqué, CanalSatellite et TPS
étaient regroupés pour améliorer la rentabilité de l'ensemble, ou encore si
Lagardère mettait la main sur Canal Plus, la télévision privée ne serait
plus qu'un ensemble d'interconnexions capitalistiques formant un seul
réseau.
Une concentration inacceptable
La télévision privée est dans les mains de trois groupes industriels
multinationaux (Bouygues, Lagardère, Vivendi) et un géant mondial de la
communication (Bertelsmann) qui sont aussi présents, et souvent aux
premières places, dans les autres médias (presse écrite, radio, cinéma,
musique). A l'affrontement, ces groupes préfèrent des stratégies d'alliance,
les concurrents deviennent ainsi des partenaires, que l'on ménage et qui
vous ménagent, même si chaque groupe cherche à accroître l'audience de ses
chaînes ou à attirer plus de publicité. Cette concentration pose des
problèmes politiques sérieux : danger pour la pluralité et donc la qualité
de l'information, dépendance du pouvoir politique vis-à-vis du pouvoir
télévisuel, capacité, pour les groupes qui la contrôlent, d'utiliser le
pouvoir que donne la télévision au bénéfice de leurs autres activités
(défense, bâtiment, téléphone, .). La législation anti-concentration est
manifestement insuffisante puisqu'elle n'a, dans les faits, entravé ni la
constitution d'alliances entre les majors de la télévision privée, ni les
liaisons dangereuses entre les activités industrielles et le contrôle de la
télévision. Non seulement la législation anti-trust est insuffisante, mais
les quelques protections existantes sont attaquées de toutes parts. Ainsi le
projet de « loi sur les communications électroniques et les services de
communication audio-visuelle » prévoit de lever, pour la télévision
numérique terrestre, l'interdiction de cumuler les fréquences nationales et
locales. Dans un contexte où il serait essentiel de renforcer les moyens de
la télévision publique, de nombreuses mesures tendent à affaiblir la
télévision publique : menaces sur le budget, partenariat imposé avec TF1
dans la Chaîne Internationale d'Information.
2. La concentration dans la presse
Le paysage de la presse
Trois leaders français multi-secteurs, deux groupes étrangers
Alors qu'il a longtemps été un monde de petits entrepreneurs, voire d'
artisans, le secteur de la presse écrite connaît une accélération de la
concentration depuis deux ou trois ans. Le regroupement entre Le Figaro et L
'Express, d'une part, et entre Le Monde et PVC, d'autre part, aboutit à ce
que les cinq premiers groupes représentent plus de la moitié du chiffre d'
affaires des 25 premiers groupes. La récente absorption du groupe Excelsior
par Emap semble confirmer cette tendance :
L'arrivée de Dassault sur le marché de la presse aboutit à rassembler dans
le même groupe, après que l'avionneur ait pris le contrôle de la Socpresse
(il en détient aujourd'hui 80%) trois hebdomadaires (L'Express, Figaro
Magazine et Valeurs Actuelles) et plusieurs quotidiens nationaux ou
régionaux ;
L'absorption du groupe PVC (Télérama) par Le Monde permet à la nouvelle
entité d'être elle aussi présente sur plusieurs marchés (quotidiens,
magazines télé, culture, etc.) et les échanges de participation entre Le
Monde et le groupe Nouvel Observateur semblent augurer d'un renforcement
potentiel de ce pôle ;
L'absorption du groupe Excelsior Publications (Sciences et Vie, Biba, Vingt
ans, etc.) par l'anglais Emap permet à ce groupe de rattraper une partie de
l'écart avec les leaders (surtout Hachette-Filipacchi Média et Socpresse).
Trois groupes français, Hachette-Filipachi Media, Dassault-Socpresse et Le
Monde PVC se détachent donc du paysage de la presse écrite. Ils ont en
commun de tendre à être présents sur la plupart des différents segments de
marché du secteur : quotidiens nationaux, magazines économiques et
financiers, féminins, presse de divertissement, hebdomadaires de télévision,
magazines culturels. Derrière ce trio de tête apparaissent des groupes d'
origine non hexagonale :
Prisma Presse-Berstelsman et Emap sont puissants dans tous les segments de
la presse magazine, tout en évitant une présence sur les marchés de la
presse quotidienne ou d'opinion, jugés trop « politique ». Un groupe
réalisant 150 milions d'euros de chiffre d'affaires, n'est plus aujourd'hui
que de taille moyenne. Il devient une proie pour des groupes ayant franchi
le cap des 500 millions. Ce risque est encore plus grand si l'on prend en
compte les 13 groupes de presse se situant en dessous de 100 millions d'
euros de chiffre d'affaires, parmi lesquels on trouve Libération ou le
Point, propriété de François Pinault. Dans le paysage tel qu'il se met en
place, l'existence d'un journal, quotidien ou hebdo, isolé risque de devenir
précaire.
Les groupes spécialisés
A un troisième niveau apparaissent des groupes " spécialisés " qui se
contentent de dominer leur secteur :
Le groupe Amaury, présent sur le marché de la presse quotidienne, qui vient
de constituer son propre réseau de diffusion (notons que Lagardère est
présent au capital de ce groupe) ;
DI Groupe (Arnault, La Tribune) et le groupe Pearson (Les Echos) restent
cantonnés, pour l'essentiel, dans l'économie et la finance ;
Le groupe Marie Claire se contente des féminins (mais Lagardère est présent
au capital de ce groupe) ;
Plusieurs groupes régionaux restent circonscrits à leur région (Ouest
France, Sud-Ouest, etc.).
Vers des mega-groupes de communication ?
Certains groupes tentent de couvrir tous les champs de la communication :
Hachette est présent dans la télévision, la presse magazine, l'édition et
la distribution de livres comme de journaux ;
Du temps de Jean-Marie Messier, la même tentation était perceptible chez
Vivendi à travers la stratégie dite des contenus ;
En prenant une participation dans le quotidien gratuit Métro, en lançant
certains produits dans les kiosques ou en librairie (TF1 Editions) et en
préparant des gratuits spécialisés (sports, télé), le groupe TF1 tend à
devenir multisectoriel ; De la même manière, le groupe M6 réalise une partie
croissante de son chiffre d'affaires dans des produits dérivés parmi
lesquels peuvent figurer des produits d'édition ou de presse.
Quelques tendances lourdes
Multiplication des alliances
Au-delà de la concentration, comme dans la télévision, on voit apparaître
des coopérations, voire des alliances entre groupes dans des domaines précis
:
L'alliance (par échange de participations) entre les groupes Le Monde et le
Nouvel Observateur est censée préparer la succession de Claude Perdriel, le
fondateur du groupe ;
Le groupe Lagardère prend des positions tous azimuts. Il est présent tant
dans le groupe Amaury que Marie-Claire. Il participe au pôle de presse
gratuite qui vient de se constituer avec Socpresse et Amaury. Enfin, il
renforce ses positions dans la presse quotidienne régionale à travers
Version Fémina ;
Un pôle Socpresse-groupe Amaury vient de se constituer pour lancer des
quotidiens gratuits puisque le lancement de projets concurrents aux gratuits
paraît la seule stratégie possible pour concurrencer l'offensive de Métro et
de 20 Minutes ;
Des offres publicitaires globales (c'est-à-dire une proposition faite aux
annonceurs de passer simultanément dans plusieurs organes de presse
moyennant un tarif avantageux, avec jusqu'à 50% ou 60% de remise) se
multiplient pour permettre aux éditeurs d'afficher une audience
concurrentielle avec les médias audiovisuels. En regroupant Le Monde, Le
Figaro, L'Express, Le Nouvel Observateur, on peut prétendre toucher
plusieurs millions de lecteurs. L'offre groupée démultiplie la puissance
commerciale : l'annonceur obtient un tarif attractif pour toucher plus de
cadres. Plusieurs regroupements de cette nature se sont mis en place (Cadre
Emploi par exemple), ce qui constitue un obstacle redoutable pour les
magazines agissant seuls ou de faible diffusion, qui n'ont pas accès à ces
regroupements. Ces processus de globalisation de l'offre publicitaire ne
peuvent qu'accentuer, à moyen terme, la concentration.
Crise de la presse quotidienne
La presse quotidienne vit une crise qui se prolonge depuis une quinzaine d'
années : la plus grande partie des quotidiens nationaux (excepté Aujourd'
hui-Le Parisien et Les Echos) et régionaux subit une érosion plus ou moins
lente du lectorat. Leur audience chez les jeunes devient résiduelle, ce qui
fait craindre une marginalisation, surtout de la presse quotidienne
régionale. Face à ces difficultés, les groupes semblent adopter des
stratégies essentiellement défensives :
Lancement de gratuits pour concurrencer les gratuits existant (exemple de
La Provence à Marseille, d'un projet du Parisien à Paris, .) ;
Négociation de positions dominantes dans les projets de télévision locale,
pour continuer à bénéficier de la manne publicitaire locale ;
Adossement à des magazines jugés plus rentables pour contrebalancer la
perte structurelle liée au quotidien (Le Monde) ;
Ajustements par le bas (restructurations, suppressions d'emplois,
diminution de pagination (France-Soir, Libération, L'Humanité).
Vers des journaux 100% publicitaires ?
L'apparition récente de journaux gratuits ne fait que poursuivre à son terme
une évolution déjà sensible depuis une vingtaine d'années dans la presse
magazine tendant à faire transformer l'économie du secteur.
Traditionnellement la presse vit d'un double flux de recettes, celle des
lecteurs-acheteurs et celle des annonceurs, acheteurs d'espace publicitaire.
C'est l'audience, c'est-à-dire la certitude d'un annonceur de toucher x
lecteurs, cadres ou femmes, ou décideurs, ou « fous » d'informatique, etc.,
qui contribue à fixer le tarif de la publicité. Depuis les années 80, les
gestionnaires des hebdomadaires ont conduit des stratégies visant à
fidéliser des centaines de milliers d'abonnés par tous les moyens :
abonnements à tarifs cassés, cadeaux d'abonnements, etc. A la limite, ces
journaux " achètent " ainsi des lecteurs et font financer le journal par la
publicité. Dans la presse féminine, la part des recettes provenant de l'
achat d'espace publicitaire, qui, selon la loi, ne devrait pas représenter
plus de 50% de la recette d'un numéro de magazine, tend à devenir
essentielle grâce à différents artifices. Au fur et à mesure de l'explosion
publicitaire, en particulier depuis les années 80, le poids des lecteurs
tend à devenir résiduel dans l'économie des magazines. Avec la création des
gratuits, le processus est conduit à son terme : pourquoi dépenser de l'
argent pour conquérir des lecteurs et ne pas directement leur offrir le
journal, ce qui est une façon de garantir à l'annonceur une diffusion ?
Demain, la même logique conduite pour concurrencer les quotidiens pourrait
bien être mise en ouvre dans d'autres segments du marché, notamment de la
presse magazine. Il va sans dire, et c'est ce que craignent un certain
nombre de journalistes et même de patrons de presse, que ce processus
rendrait les publications de plus en plus dépendantes des annonceurs, c'
est-à-dire des 100 ou 150 groupes français les plus importants.
3. La concentration dans l'édition
Les multinationales dans l'édition
La concentration dans l'édition s'accélère au profit des groupes
multinationaux. Après le contrôle de Flammarion par le groupe italien
Rizzoli, la reprise par le groupe Lagardère de 40% d'Editis (ex
Vivendi-Universal Publishing), les éditions du Seuil viennent d'être
absorbées par le groupe La Martinière (devenu La Martinière-Le Seuil). D'
autres concentrations sont attendues, à travers en particulier la vente de
la partie d'Editis non reprise par Lagardère (Cette opération a été
finalisée depuis la mise en ligne de ce document, pour plus d'informations
sur ce nouveau mouvement de concentration, cliquer ici
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D180&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bilderberg.
org/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-20,GGLD:f
r>). Les multinationales contrôlent au moins 60% de l'édition française
(Lagardère, Bertelsmann, Atlas, Rizzoli, Reed-Elsevier, Média
Participations, Wolters-Kluwer, .). Dans les mains des multinationales, le
livre est une marchandise, l'édition n'est qu'un contenu intégré dans la
communication. Les conditions de création d'une ouvre intellectuelle et les
possibilités de la faire connaître s'en trouvent altérées.
La domination du groupe Lagardère
La domination de Lagardère sur l'édition française se lit dans la liste des
maisons d'édition qu'il contrôle : Hachette, Fayard, Grasset, Hatier, Hazan,
Le Masque, Marabout, Pluriel, Stock, Le Livre de Poche, . et bien d'autres
(dont depuis peu Larousse, Armand Colin, Dalloz et Dunod). Sans oublier le
pouvoir que détient Lagardère sur les éditeurs dont il distribue les livres
ou avec lesquels il passe des alliances (ainsi Lagardère qui distribue les
livres d'Albin Michel est aussi coactionnaire du Livre de poche avec Albin
Michel). La domination de Lagardère apparaît dans le chiffre d'affaires qu'
il représente dans l'édition : 1,3 milliards d'euros après le rachat de 40%
d'Editis. La puissance du groupe tient aussi à son poids dans la presse et
dans la commercialisation du livre. Le groupe n'est pas seulement le premier
éditeur de livres, c'est aussi le deuxième libraire de France (réseau Relay,
magasins Virgin), le premier éditeur de presse magazine (Paris-Match,
Elle.), un intervenant important dans la presse généraliste (le Journal du
Dimanche, La Provence, Nice-Matin.), la radio (Europe1, Europe 2, RFM, .) et
la télévision (Canal J, MCM, CanalSatellite.). Le groupe Lagardère dispose
donc d'un fantastique réseau de promotion de ses livres par les médias qu'il
contrôle ou qu'il peut influencer par les budgets publicitaires du groupe,
sans compter les articles favorables de tous ceux qui dans les médias sont
auteurs ou conseils du groupe, ou qui espèrent le devenir (sans compter non
plus les échanges de bons procédés avec les médias alliés).
Marketing et pression médiatique contre le pluralisme
Pour une multinationale, le livre est une marchandise produite dans le seul
but de générer des profits. Pour faire face aux exigences de rentabilité du
groupe, les filiales adoptent de plus en plus les méthodes marketing
habituelles dans l'industrie, ce qui les conduit à refuser des manuscrits
qui ne sont pas jugés assez rentables sur le court terme (quelle qu'en soit
la qualité) et à sélectionner les manuscrits en privilégiant des critères
sans rapport avec le contenu intellectuel ou culturel du livre :
médiatisation de l'auteur, sujet permettant de lancer une polémique dans les
médias, . Sous l'effet de la concentration, le succès n'est plus le résultat
de décisions d'acteurs autonomes et nombreux (critiques, libraires,
lecteurs.), mais de plus en plus le produit de la capacité des groupes d'
édition à influencer ceux quiparlent du livre, qui présentent le livre, qui
le font connaître. La concentration, à travers la pression du marketing et
la puissance de diffusion qu'elle permet, conduit à l'uniformisation des
livres, les mêmes règles marketing conduisant au choix des mêmes thèmes,
pour les mêmes cibles, avec les mêmes techniques marketing de construction d
'un livre. La concentration porte en elle un risque de censure
particulièrement dans le domaine économique et politique. Un livre politique
majeur pour le débat démocratique peut ne pas être publié soit parce que sa
rentabilité de court terme est jugée trop faible, soit parce que son contenu
est considéré comme « sensible » par les groupes dominants, qu'il s'agisse
de la critique de ces groupes ou de celle des hommes ou des entreprises avec
lesquels ils sont en relation.
Il n'existe aucune législation antitrust spécifique
En dépit des dangers de la concentration dans l'édition, pour l'expression
plurielle des idées, il n'existe aucune législation antitrust spécifique.
Seul s'applique le droit commun, comme si le livre était un produit
industriel ordinaire. La décision de Bruxelles d'accepter la reprise par
Lagardère de 40% d'Editis illustre le fait que le droit commun ne s'oppose,
au mieux, qu'à la constitution d'un monopole privé, mais accepte la
concentration. On ne peut donc pas compter sur la législation actuelle pour
résoudre les problèmes qui résultent de la concentration dans l'édition.
L'OFM ouvre un large débat pour aboutir à une législation qui limite
véritablement la concentration dans les médias
<http://216.239.39.104/translate_c?hl=fr&u=http://www.observatoire-medias.in
fo/article.php3%3Fid_article%3D36&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.bilderberg.o
rg/2003.htm%2523Patricia%26hl%3Dfr%26lr%3D%26rls%3DGGLD,GGLD:2005-20,GGLD:fr



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cicis
la constituttion et le marché libre et sans controle

les delocalisations c'est quoi exactement
--------------
a) paradis fiscaux pour pas payer d'impots aux états
b) exploitation de nouveaux esclaves
c) colonialisme
c1) direct : implentation de structure
exemple maroc vivendi et pologne
c2) indirect : imposer sa culture

donc moins d'impot payé par les entreprises
donc moins de revenus de l'Etat
donc reduction du budget
donc éclatements des services publics
- privatisation ou reduction des fonctionnaires, etc..
- mise sur le marche de la concurrence .
et surtout diminution notables des services publics
justice, hoptiaux, recette fiscal, education etc... etc...

bref moins de revenus des entreprises donc des caisses de l'etat
qui paye la difference ?
le contribuable donc augmenttion des impots direct ou indirecte
exemple simple : une journee ferié supprimer , etc.. etc..

calcul de risque : a court terme
a) l'etat a plus de fond
b) les consommateurs ont plus de fond
le systeme economique s'ecroule.

SOLUTION : prendre l'argent la ou il est
IMPOSITION des transactions boursieres
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News
cicis wrote:
SOLUTION : prendre l'argent la ou il est
IMPOSITION des transactions boursieres


Oué le plus dur c'est de relance le troll quand il a pas pris :-)

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cicis
Europe ou pas constitution !!!!!
la question est plutot de VOUS SAUVER VOUS
================================== = Il reste moins de 10 ans pour sauver la planète. ================================== OUI ou NON pour la constitution
je dirai peu importe
"EuX" ne pensent qu'a faire de l'argent, a court terme.

aller voir ce site :
http://terresacree.org/etaplane.htm
http://perso.chello.fr/users/g/glecq/planete/indexIE.htm

je vous laisse lire
http://terresacree.org/chirac.htm <-- M Chirac
qu'en est de la France ?
qu'en est il pour l'Europe ?

les 11 fleaux de la planete :
- le rechauffement de la planete
- reduction de la biodversité
- faim dans le monde
- deforestation
- pollution atmospherique
- eau douce
- martyre d'animaux
- pollution chimique
- urbanisation anarchique
- surexploitation des mers
- manipulation genetique

A L'AIDE !
AU SECOURS !
MADAY MADAY MADAY !

"Réveillez-vous bonnes gens"

J'arrete mon debat ici.
Avatar
Eric Lemaitre
Bonjour,

Je pense exprimer l'avis de l'ensemble de ce forum en te disant qu'avec
tous tes SPAMs hors sujet, tu commences à nous les briser MENU ! Il y a
plein d'autres forums en "alt.fr.*" qui conviendraient pour ça, comme
"alt.fr.soc.politique" par exemple, mais PAS ce forum là.

Encore UN SEUL post identique de ta part sur la constitution dans ce
forum, et je vote oui rien que pour t'emmerder, et je suggère aux autres
indécis qu'ils en fassent autant.

En clair le vote pour cette constitution je sais pas, mais en tout cas
je vote OUI pour que tu la boucles, ou alors poste dans le sujet de ce
forum, ou dans ceux appropriés...

Cordialement.

Eric LEMAITRE
CNAM IT Engineer, MSCS
(RHCE, RHCX, SCJP, SCJD, SCWCD, SCBCD, Net+)

--

cicis wrote:
la constituttion et le marché libre et sans controle

les delocalisations c'est quoi exactement
--------------
a) paradis fiscaux pour pas payer d'impots aux états
b) exploitation de nouveaux esclaves
c) colonialisme
c1) direct : implentation de structure
exemple maroc vivendi et pologne
c2) indirect : imposer sa culture

donc moins d'impot payé par les entreprises
donc moins de revenus de l'Etat
donc reduction du budget
donc éclatements des services publics
- privatisation ou reduction des fonctionnaires, etc..
- mise sur le marche de la concurrence .
et surtout diminution notables des services publics
justice, hoptiaux, recette fiscal, education etc... etc...

bref moins de revenus des entreprises donc des caisses de l'etat
qui paye la difference ?
le contribuable donc augmenttion des impots direct ou indirecte
exemple simple : une journee ferié supprimer , etc.. etc..

calcul de risque : a court terme
a) l'etat a plus de fond
b) les consommateurs ont plus de fond
le systeme economique s'ecroule.

SOLUTION : prendre l'argent la ou il est
IMPOSITION des transactions boursieres





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News
bsch wrote:
Le douzième ce sera peut-être toi ?
A égalité avec CO2, etc ....


Ptete meme que CO² et lui ne font qu'un !!!!

Qu'un, que dis-je, 10 100 si tu comptes la
ribambelle de pseudos, ceux qu'on connait
et les autres :-)

Avatar
cicis
"bsch" a écrit dans le message de
news:
cicis prétend nous faire croire (news:42935786$1$2741$
newsreader-07.noos.net) :

les 11 fleaux de la planete :


....

Le douzième ce sera peut-être toi ?
A égalité avec CO2, etc ....
connard je t'emmerde



Avatar
stephane
Ce newsgroup etait bien actif avant que des connards le spament avec
leurs conneries qui n'ont rien a faire avec le matériel informatique.
Il y a maintenant de moins en moins de monde du aux pratiques de
certaines personnes.
Merci de respecter le sujet du newsgroup.



"bsch" a écrit dans le message de
news:

cicis prétend nous faire croire (news:42935786$1$2741$
newsreader-07.noos.net) :


les 11 fleaux de la planete :


....

Le douzième ce sera peut-être toi ?
A égalité avec CO2, etc ....


connard je t'emmerde






Avatar
Eric
"stephane" a écrit dans le message de
news:42942896$0$20252$
Ce newsgroup etait bien actif avant que des connards le spament avec
leurs conneries qui n'ont rien a faire avec le matériel informatique.
Il y a maintenant de moins en moins de monde du aux pratiques de
certaines personnes.
Merci de respecter le sujet du newsgroup.


tu n'a pas tout a fait tort.. mais que fera tu pour vivre dans 30 ans quand
on aura pourri la planete...et que tu n'aura plus ton news-groupe favori
pour insulter les gens...?

Lit deja le site et tu vera que internet devient trés relatif par rapport a
ce qu'il y a ecrit sur ces sites...

je viens de lire et effectivement... ca relativise..

Bonne lecture.
Eric

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