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ça recommence

16 réponses
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Do Re Mi chel La Si Do
Bonsoir

L'exécution d'un script Python me renvoie ce message d'erreur :

Microsoft Visual C++ Runtime Library
Runtime Error!
R6025
- pure virtual function call

Evidemment, l'erreur n'est pas interceptée par Python.
Depuis que Python 2.4 est sorti, c'est la 4e fois que j'ai ce genre de chose
; et à chaque fois, dans un contexte différent.

Une idée de solution ?


@-salutations

Michel Claveau

6 réponses

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Christophe Cavalaria
Do Re Mi chel La Si Do wrote:

Bonsoir !


Je ne suis pas du tout d'accord.

Pour moi, le libre est synonyme de liberté. J'apprécie les logiciels
libres, dont Python, parce qu'ils apportent un degré de liberté
supplémentaire aux utilisateurs.

Donc, pour moi, les logiciels libres n'ont rien à voir avec la dictature
collectiviste dont tu fais l'apologie.

Et, tout utilisateur doit être libre d'utiliser les logiciels qu'il veut,
qu'ils soient des logiciels libres ou des logiciels non libres.


Il se trouve justement que certaines choses mettent en danger notre liberté
d'utiliser les logiciels que l'on choisit. C'est ça qu'il faut combattre.
Commencer par faire disparaitre le communisme/monopole aux commandes des OS
pour PC de bureau et remettre de la concurence dans ce marché est une bonne
première étape. Donc, oui pour la mort de MS si cela doit améliorer l'état
déplorable des choses qu'on à actuellement :o

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William Dode
On 28-12-2005, Do Re Mi chel La Si Do wrote:
Bonsoir !


Je ne suis pas du tout d'accord.

Pour moi, le libre est synonyme de liberté. J'apprécie les logiciels libres,
dont Python, parce qu'ils apportent un degré de liberté supplémentaire aux
utilisateurs.

Donc, pour moi, les logiciels libres n'ont rien à voir avec la dictature
collectiviste dont tu fais l'apologie.


"Dictature collectiviste" ? Le pouvoir de la collectivité tu veux dire ?
Ca s'appelle la démocracie non ? Pourtant le mot dictature risque fort
de te faire gagner un point ;-)
Bha, je veux bien être traité de terroriste si Gandi l'est aussi.


Et, tout utilisateur doit être libre d'utiliser les logiciels qu'il veut,
qu'ils soient des logiciels libres ou des logiciels non libres.


Ce qui n'est pas le cas et risque de l'être de moins en moins si on
n'ouvre pas les yeux.

--
William Dodé - http://flibuste.net

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William Dode
On 28-12-2005, Do Re Mi chel La Si Do wrote:
Bonsoir !


Je ne suis pas du tout d'accord.

Pour moi, le libre est synonyme de liberté. J'apprécie les logiciels libres,
dont Python, parce qu'ils apportent un degré de liberté supplémentaire aux
utilisateurs.


ha aussi, je voulais dire que finalement je suis quand même content de
cette discussion car le message est passé, le logiciel libre est
synonyme de liberté et non pas de fonctionnalité. cqfd.

--
William Dodé - http://flibuste.net

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loufoque

L'exécution d'un script Python me renvoie ce message d'erreur


Il faudrait préciser votre implémentation de Python pour qu'on sache de
quoi on parle.

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jean-michel bain-cornu
J'arrive un peu tard (ya eu un truc qui s'appelle Noël, un vrai
cataclysme ;-), mais si je peux me permettre...
William Dode wrote:
On 28-12-2005, Do Re Mi chel La Si Do wrote:

Bonsoir !


Je ne suis pas du tout d'accord.

Pour moi, le libre est synonyme de liberté. J'apprécie les logiciels libres,
dont Python, parce qu'ils apportent un degré de liberté supplémentaire aux
utilisateurs.

Donc, pour moi, les logiciels libres n'ont rien à voir avec la dictature
collectiviste dont tu fais l'apologie.



"Dictature collectiviste" ? Le pouvoir de la collectivité tu veux dire ?
Ca s'appelle la démocracie non ? Pourtant le mot dictature risque fort
de te faire gagner un point ;-)
Une dictature s'impose par la force, ça paraît donc bizarre d'y associer

l'open source qui n'est imposé à personne. Ou plutôt qui n'impose
directement aucune dépense. Ce que je ressens comme une dictature, c'est
plutôt ce qui m'oblige à dépenser des M€ pour abandonner un système qui
me convient (w2k) pour un qui ne me convient moins (wxp) et m'oblige à
repenser toute les architectures pour un apport réel très mince voire
inexistant.
Le démocratie au départ, c'est plutôt le pouvoir du peuple. Et de nos
jours, c'est le pouvoir d'une majorité. Dans la pratique, ça imposerait
moins de choses qu'une dictature.
Si je poursuis mon raisonnement, l'open source serait plutôt proche de
la démocratie, et le soft propriétaire de la dictature...
Bha, je veux bien être traité de terroriste si Gandi l'est aussi.


Et, tout utilisateur doit être libre d'utiliser les logiciels qu'il veut,
qu'ils soient des logiciels libres ou des logiciels non libres.



Ce qui n'est pas le cas et risque de l'être de moins en moins si on
n'ouvre pas les yeux.



Je trouve que votre discussion perds de vue le fait que le partage d'un
logiciel n'implique aucune perte de bien matériel existant pour le
propriétaire du logiciel, ce qui n'est pas le cas du partage d'un PC par
exemple, ou d'une galette des rois. Ou peut-être est-ce trop implicite.
C'est la même discussion que pour la musique ou les textes : il y a un
auteur, qui a passé du temps certes, mais qui peut parfois se rémunérer
d'une façon déraisonnable, et c'est ce qui pose problème.

A+, et bonne année,
jm


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Méta-MCI
Bonjour


Ce que tu dis est très vrai.

Mais il ne faut pas oublier que les logiciels libres peuvent être payants.
"Logiciel libre" n'est pas synonyme de "logiciel gratuit" ; même si, en
pratique c'est assez souvent la cas.
Donc, en corollaire, reprocher le prix d'un logiciel, ne signifie pas
forcément soutenir le logiciel libre. En fait, c'est un autre débat.

Concernant le problème des mises à jour plus ou moins obligatoires, je
partage ton point de vue : c'est insupportablement pénible.
Mais, cela s'applique à la plupart des mises à jour. C'est tout aussi
pénible, qu'il s'agisse de windows, de Boa, de WxPython, de CherryPy,
d'Office, etc.
Si, encore, les mises à jour pouvaient se faire en douceur, en mélangeant
les versions (c'est la cas avec Paradox, ou les dernières versions DOS
peuvent travailler simultanément aux dernières version windows, en même
temps, sur les mêmes fichiers). Mais non, la plupart du temps, on est
obligé de faire les mises à jour globalement, par parcs entiers.

Quand à ta réflexion sur les rémunérations parfois déraisonnables de
certains auteurs, je partage également ton point de vue ; même si j'ai un
très bon ami, qui est en désaccord avec moi sur ce point. Il faut dire qu'il
écrit des livres... (d'informatique).

Bonne année aussi.

Michel Claveau
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