Tu as raison, je n'en ai vraiment aucune idée, mais ça m'intéresse
énormément. Est-ce qu'il existe des vidéos montrant des professionnels
de la gravure au travail ?
Je n'y connais rien. Est-ce que cela a quelque chose à voir avec le
fait de générer des fichiers .tex, .texi et .count ? Quoi qu'il en soit,
il est certain que le format de sortie EPS est prévu, mais je ne sais
pas s'il est « en groupements par couches ».
Tu as raison, je n'en ai vraiment aucune idée, mais ça m'intéresse
énormément. Est-ce qu'il existe des vidéos montrant des professionnels
de la gravure au travail ?
Je n'y connais rien. Est-ce que cela a quelque chose à voir avec le
fait de générer des fichiers .tex, .texi et .count ? Quoi qu'il en soit,
il est certain que le format de sortie EPS est prévu, mais je ne sais
pas s'il est « en groupements par couches ».
Tu as raison, je n'en ai vraiment aucune idée, mais ça m'intéresse
énormément. Est-ce qu'il existe des vidéos montrant des professionnels
de la gravure au travail ?
Je n'y connais rien. Est-ce que cela a quelque chose à voir avec le
fait de générer des fichiers .tex, .texi et .count ? Quoi qu'il en soit,
il est certain que le format de sortie EPS est prévu, mais je ne sais
pas s'il est « en groupements par couches ».
On ne peut simplement pas le savoir en ne regardant que cette vidéo.
Comment fais-tu avec tes autres logiciels en saisie rapide ?
Dans le fichier texte, les durées sont notées avec des chiffres et
des points (4 = noire, 8. = croche pointée, 2.. = blanche doublement
pointée), et si on a une série de triples croches on ne note la
durée qu'une seule fois.
On ne peut simplement pas le savoir en ne regardant que cette vidéo.
Comment fais-tu avec tes autres logiciels en saisie rapide ?
Dans le fichier texte, les durées sont notées avec des chiffres et
des points (4 = noire, 8. = croche pointée, 2.. = blanche doublement
pointée), et si on a une série de triples croches on ne note la
durée qu'une seule fois.
On ne peut simplement pas le savoir en ne regardant que cette vidéo.
Comment fais-tu avec tes autres logiciels en saisie rapide ?
Dans le fichier texte, les durées sont notées avec des chiffres et
des points (4 = noire, 8. = croche pointée, 2.. = blanche doublement
pointée), et si on a une série de triples croches on ne note la
durée qu'une seule fois.
On ne peut simplement pas le savoir en ne regardant que cette vidéo.
On peut le déduire à la fois de ce qui est présenté comme
fonctionnalités, mais également de ce qui n'est PAS présenté ! ;-)
Comment fais-tu avec tes autres logiciels en saisie rapide ?
Dans le fichier texte, les durées sont notées avec des chiffres et
des points (4 = noire, 8. = croche pointée, 2.. = blanche doublement
pointée), et si on a une série de triples croches on ne note la
durée qu'une seule fois.
Pareil (donc bénéfice du doute). Dans les logiciels commerciaux, les
équivalents sont, en principe standardisés sur ceux de Finale pour
des raisons historiques. Dans certains logiciels c'est directement
paramétrable, quand ce ne l'est pas on peut de toutes façons se
débrouiller avec QuicKeys ou autre. Après, il faudrait voir la
réactivité, la facilité des annulations etc.
Sans que cela constitue un critère discriminant :
1/ je n'ai pas connaissances de gens *vivant* de la gravure de
partition (rémunérés pour cela par des *éditeurs* de musique)
utilisant LilyPond
2/ LilyPond ne propose pas d'exemples de partitions du commerce,
provenant d'éditeurs connus et disponibles dans les librairies
musicales, réalisées avec ce logiciel.
Ça ne veut PAS dire plein de choses : ni que c'est un mauvais
logiciel, ni que les résultats en seraient médiocres... Seulement
que, pour l'instant, il ne semble pas répondre à des critères
commerciaux auxquels d'autres, parfois fort chers, répondent et
permettent d'être ainsi rentabilisés.
Purement factuel.
On ne peut simplement pas le savoir en ne regardant que cette vidéo.
On peut le déduire à la fois de ce qui est présenté comme
fonctionnalités, mais également de ce qui n'est PAS présenté ! ;-)
Comment fais-tu avec tes autres logiciels en saisie rapide ?
Dans le fichier texte, les durées sont notées avec des chiffres et
des points (4 = noire, 8. = croche pointée, 2.. = blanche doublement
pointée), et si on a une série de triples croches on ne note la
durée qu'une seule fois.
Pareil (donc bénéfice du doute). Dans les logiciels commerciaux, les
équivalents sont, en principe standardisés sur ceux de Finale pour
des raisons historiques. Dans certains logiciels c'est directement
paramétrable, quand ce ne l'est pas on peut de toutes façons se
débrouiller avec QuicKeys ou autre. Après, il faudrait voir la
réactivité, la facilité des annulations etc.
Sans que cela constitue un critère discriminant :
1/ je n'ai pas connaissances de gens *vivant* de la gravure de
partition (rémunérés pour cela par des *éditeurs* de musique)
utilisant LilyPond
2/ LilyPond ne propose pas d'exemples de partitions du commerce,
provenant d'éditeurs connus et disponibles dans les librairies
musicales, réalisées avec ce logiciel.
Ça ne veut PAS dire plein de choses : ni que c'est un mauvais
logiciel, ni que les résultats en seraient médiocres... Seulement
que, pour l'instant, il ne semble pas répondre à des critères
commerciaux auxquels d'autres, parfois fort chers, répondent et
permettent d'être ainsi rentabilisés.
Purement factuel.
On ne peut simplement pas le savoir en ne regardant que cette vidéo.
On peut le déduire à la fois de ce qui est présenté comme
fonctionnalités, mais également de ce qui n'est PAS présenté ! ;-)
Comment fais-tu avec tes autres logiciels en saisie rapide ?
Dans le fichier texte, les durées sont notées avec des chiffres et
des points (4 = noire, 8. = croche pointée, 2.. = blanche doublement
pointée), et si on a une série de triples croches on ne note la
durée qu'une seule fois.
Pareil (donc bénéfice du doute). Dans les logiciels commerciaux, les
équivalents sont, en principe standardisés sur ceux de Finale pour
des raisons historiques. Dans certains logiciels c'est directement
paramétrable, quand ce ne l'est pas on peut de toutes façons se
débrouiller avec QuicKeys ou autre. Après, il faudrait voir la
réactivité, la facilité des annulations etc.
Sans que cela constitue un critère discriminant :
1/ je n'ai pas connaissances de gens *vivant* de la gravure de
partition (rémunérés pour cela par des *éditeurs* de musique)
utilisant LilyPond
2/ LilyPond ne propose pas d'exemples de partitions du commerce,
provenant d'éditeurs connus et disponibles dans les librairies
musicales, réalisées avec ce logiciel.
Ça ne veut PAS dire plein de choses : ni que c'est un mauvais
logiciel, ni que les résultats en seraient médiocres... Seulement
que, pour l'instant, il ne semble pas répondre à des critères
commerciaux auxquels d'autres, parfois fort chers, répondent et
permettent d'être ainsi rentabilisés.
Purement factuel.
Tu as raison, je n'en ai vraiment aucune idée, mais ça m'intéresse
énormément. Est-ce qu'il existe des vidéos montrant des professionnels
de la gravure au travail ?
Pas à ma connaissance. Aux temps historiques, on avait été approchés
par des gens nous demandant une "formation" sur ce domaine. Avec de
manière parfaitement claire l'envie de nous concurrencer, à quoi nous
n'étions pas vraiment enthousiastes (ah ben pourquoi ?)
Notre "savoir-faire" était le résultat de très nombreuses heures de
recherche, d'essais et d'erreurs, de galères et de nuits blanches...
Qu'on ait souhaité se le conserver pendant qu'on tentait d'en vivre
et alors que le marché "mutait" pouvait se comprendre, d'où l'absence
de vidéos : secrets de fabrication, etc.
Mais arrive un moment où, quand on passe la main, on peut avoir envie
de garder une trace, comme ici ceux à qui nous avions alors succédé
https://www.youtube.com/watch?v=Q65Jzfr7YpE
[...]
Ce n'est pas spécifique : c'est l'ensemble des "métiers du livre" qui
a muté radicalement en une trentaine d'années, avec perte de deux
aspects essentiels : qualité et tradition. Cela sera-t-il un jour
regretté ?
Tu as raison, je n'en ai vraiment aucune idée, mais ça m'intéresse
énormément. Est-ce qu'il existe des vidéos montrant des professionnels
de la gravure au travail ?
Pas à ma connaissance. Aux temps historiques, on avait été approchés
par des gens nous demandant une "formation" sur ce domaine. Avec de
manière parfaitement claire l'envie de nous concurrencer, à quoi nous
n'étions pas vraiment enthousiastes (ah ben pourquoi ?)
Notre "savoir-faire" était le résultat de très nombreuses heures de
recherche, d'essais et d'erreurs, de galères et de nuits blanches...
Qu'on ait souhaité se le conserver pendant qu'on tentait d'en vivre
et alors que le marché "mutait" pouvait se comprendre, d'où l'absence
de vidéos : secrets de fabrication, etc.
Mais arrive un moment où, quand on passe la main, on peut avoir envie
de garder une trace, comme ici ceux à qui nous avions alors succédé
https://www.youtube.com/watch?v=Q65Jzfr7YpE
[...]
Ce n'est pas spécifique : c'est l'ensemble des "métiers du livre" qui
a muté radicalement en une trentaine d'années, avec perte de deux
aspects essentiels : qualité et tradition. Cela sera-t-il un jour
regretté ?
Tu as raison, je n'en ai vraiment aucune idée, mais ça m'intéresse
énormément. Est-ce qu'il existe des vidéos montrant des professionnels
de la gravure au travail ?
Pas à ma connaissance. Aux temps historiques, on avait été approchés
par des gens nous demandant une "formation" sur ce domaine. Avec de
manière parfaitement claire l'envie de nous concurrencer, à quoi nous
n'étions pas vraiment enthousiastes (ah ben pourquoi ?)
Notre "savoir-faire" était le résultat de très nombreuses heures de
recherche, d'essais et d'erreurs, de galères et de nuits blanches...
Qu'on ait souhaité se le conserver pendant qu'on tentait d'en vivre
et alors que le marché "mutait" pouvait se comprendre, d'où l'absence
de vidéos : secrets de fabrication, etc.
Mais arrive un moment où, quand on passe la main, on peut avoir envie
de garder une trace, comme ici ceux à qui nous avions alors succédé
https://www.youtube.com/watch?v=Q65Jzfr7YpE
[...]
Ce n'est pas spécifique : c'est l'ensemble des "métiers du livre" qui
a muté radicalement en une trentaine d'années, avec perte de deux
aspects essentiels : qualité et tradition. Cela sera-t-il un jour
regretté ?
Cela dit, il *pourrait* exister une autre explication au fait que
les professionnels ne l'utilisent pas, et c'est ce dont je parlais
dans un précédent article : vu que personne n'est payé pour faire
vivre LilyPond, il n'y a aucun budget pour en faire la publicité,
et du coup les professionnels ne savent peut-être même pas qu'il
existe.
Cela dit, il *pourrait* exister une autre explication au fait que
les professionnels ne l'utilisent pas, et c'est ce dont je parlais
dans un précédent article : vu que personne n'est payé pour faire
vivre LilyPond, il n'y a aucun budget pour en faire la publicité,
et du coup les professionnels ne savent peut-être même pas qu'il
existe.
Cela dit, il *pourrait* exister une autre explication au fait que
les professionnels ne l'utilisent pas, et c'est ce dont je parlais
dans un précédent article : vu que personne n'est payé pour faire
vivre LilyPond, il n'y a aucun budget pour en faire la publicité,
et du coup les professionnels ne savent peut-être même pas qu'il
existe.
Oui ! J'avais déjà vu d'autres vidéos de Henle Verlag, comme celle-là :
https://www.youtube.com/watch?v=BvyoKdW-Big
J'ai toujours des sentiments partagés lorsque j'essaye de comparer
« ce qu'on faisait avant » et « ce qu'on fait maintenant », quel que
soit le domaine.
Même en ce qui concerne la qualité, il y a des pertes
d'un côté mais presque toujours contrebalancées par des gains d'un
autre.
Quant à la tradition... eh bien on fabrique aujourd'hui la
tradition de demain !
Oui ! J'avais déjà vu d'autres vidéos de Henle Verlag, comme celle-là :
https://www.youtube.com/watch?v=BvyoKdW-Big
J'ai toujours des sentiments partagés lorsque j'essaye de comparer
« ce qu'on faisait avant » et « ce qu'on fait maintenant », quel que
soit le domaine.
Même en ce qui concerne la qualité, il y a des pertes
d'un côté mais presque toujours contrebalancées par des gains d'un
autre.
Quant à la tradition... eh bien on fabrique aujourd'hui la
tradition de demain !
Oui ! J'avais déjà vu d'autres vidéos de Henle Verlag, comme celle-là :
https://www.youtube.com/watch?v=BvyoKdW-Big
J'ai toujours des sentiments partagés lorsque j'essaye de comparer
« ce qu'on faisait avant » et « ce qu'on fait maintenant », quel que
soit le domaine.
Même en ce qui concerne la qualité, il y a des pertes
d'un côté mais presque toujours contrebalancées par des gains d'un
autre.
Quant à la tradition... eh bien on fabrique aujourd'hui la
tradition de demain !
Même en ce qui concerne la qualité, il y a des pertes
d'un côté mais presque toujours contrebalancées par des gains d'un
autre.
Si ce ne sont que des gains financiers, pardonne-moi...
Quant à la tradition... eh bien on fabrique aujourd'hui la
tradition de demain !
En fait non : la tradition c'est quand on s'inscrit dans une
histoire.
On peut alors, effectivement choisir de la prolonger. Ou
s'y cramponner et on n'est qu'un passéiste.
"Fabriquer" (créer) la tradition de demain en se fichant de ce qui a
existé avant est effectivement très à la mode, mais ça ne marche pas.
Ce ne sont que des coups de menton et des postures avec la danse des
dollars en arrière-plan dans la tête.
La base de la tradition, c'est l'humilité. Bien loin d'une volonté de
fabriquer la tradition de demain (on dirait le slogan d'un marchand
d'huisseries en aluminium !) ;-)
Même en ce qui concerne la qualité, il y a des pertes
d'un côté mais presque toujours contrebalancées par des gains d'un
autre.
Si ce ne sont que des gains financiers, pardonne-moi...
Quant à la tradition... eh bien on fabrique aujourd'hui la
tradition de demain !
En fait non : la tradition c'est quand on s'inscrit dans une
histoire.
On peut alors, effectivement choisir de la prolonger. Ou
s'y cramponner et on n'est qu'un passéiste.
"Fabriquer" (créer) la tradition de demain en se fichant de ce qui a
existé avant est effectivement très à la mode, mais ça ne marche pas.
Ce ne sont que des coups de menton et des postures avec la danse des
dollars en arrière-plan dans la tête.
La base de la tradition, c'est l'humilité. Bien loin d'une volonté de
fabriquer la tradition de demain (on dirait le slogan d'un marchand
d'huisseries en aluminium !) ;-)
Même en ce qui concerne la qualité, il y a des pertes
d'un côté mais presque toujours contrebalancées par des gains d'un
autre.
Si ce ne sont que des gains financiers, pardonne-moi...
Quant à la tradition... eh bien on fabrique aujourd'hui la
tradition de demain !
En fait non : la tradition c'est quand on s'inscrit dans une
histoire.
On peut alors, effectivement choisir de la prolonger. Ou
s'y cramponner et on n'est qu'un passéiste.
"Fabriquer" (créer) la tradition de demain en se fichant de ce qui a
existé avant est effectivement très à la mode, mais ça ne marche pas.
Ce ne sont que des coups de menton et des postures avec la danse des
dollars en arrière-plan dans la tête.
La base de la tradition, c'est l'humilité. Bien loin d'une volonté de
fabriquer la tradition de demain (on dirait le slogan d'un marchand
d'huisseries en aluminium !) ;-)
Le 4 mars 2020 à 14:10, Olivier Miakinen a écrit :Cela dit, il *pourrait* exister une autre explication au fait que
les professionnels ne l'utilisent pas, et c'est ce dont je parlais
dans un précédent article : vu que personne n'est payé pour faire
vivre LilyPond, il n'y a aucun budget pour en faire la publicité,
et du coup les professionnels ne savent peut-être même pas qu'il
existe.
Non, le marché "professionnel" de la gravure est tellement limité
que, pendant longtemps, ça a justifié pleinement des coûts très
élevés pour les vraiment bons logiciels (très peu d'acheteurs)
(Finale valait alors plus de 10 000 F notre trésorerie s'en souvient
! et Berlioz valait un bras ET la peau des khouilles !). S'il avait
existé une solution performante et gratuite, on se serait évidemment
jeté dessus et on aurait su gérer les inconvénients, crois-moi ! On
faisait des trucs avec QuicKeys que tu n'imagines même pas !
[...]
Concernant Henle Verlag, je sais qu'aux débuts de leur passage au
numérique, ils utilisaient un logiciel (en interne) qui fonctionnait
en "ligne de commande" [...] S'agissait-il de LilyPond ?
Le 4 mars 2020 à 14:10, Olivier Miakinen a écrit :
Cela dit, il *pourrait* exister une autre explication au fait que
les professionnels ne l'utilisent pas, et c'est ce dont je parlais
dans un précédent article : vu que personne n'est payé pour faire
vivre LilyPond, il n'y a aucun budget pour en faire la publicité,
et du coup les professionnels ne savent peut-être même pas qu'il
existe.
Non, le marché "professionnel" de la gravure est tellement limité
que, pendant longtemps, ça a justifié pleinement des coûts très
élevés pour les vraiment bons logiciels (très peu d'acheteurs)
(Finale valait alors plus de 10 000 F notre trésorerie s'en souvient
! et Berlioz valait un bras ET la peau des khouilles !). S'il avait
existé une solution performante et gratuite, on se serait évidemment
jeté dessus et on aurait su gérer les inconvénients, crois-moi ! On
faisait des trucs avec QuicKeys que tu n'imagines même pas !
[...]
Concernant Henle Verlag, je sais qu'aux débuts de leur passage au
numérique, ils utilisaient un logiciel (en interne) qui fonctionnait
en "ligne de commande" [...] S'agissait-il de LilyPond ?
Le 4 mars 2020 à 14:10, Olivier Miakinen a écrit :Cela dit, il *pourrait* exister une autre explication au fait que
les professionnels ne l'utilisent pas, et c'est ce dont je parlais
dans un précédent article : vu que personne n'est payé pour faire
vivre LilyPond, il n'y a aucun budget pour en faire la publicité,
et du coup les professionnels ne savent peut-être même pas qu'il
existe.
Non, le marché "professionnel" de la gravure est tellement limité
que, pendant longtemps, ça a justifié pleinement des coûts très
élevés pour les vraiment bons logiciels (très peu d'acheteurs)
(Finale valait alors plus de 10 000 F notre trésorerie s'en souvient
! et Berlioz valait un bras ET la peau des khouilles !). S'il avait
existé une solution performante et gratuite, on se serait évidemment
jeté dessus et on aurait su gérer les inconvénients, crois-moi ! On
faisait des trucs avec QuicKeys que tu n'imagines même pas !
[...]
Concernant Henle Verlag, je sais qu'aux débuts de leur passage au
numérique, ils utilisaient un logiciel (en interne) qui fonctionnait
en "ligne de commande" [...] S'agissait-il de LilyPond ?
Toi qui es un professionnel de la gravure, tu trouves vraiment que les
partitions auxquelles tu contribues en 2020 avec l'outil informatique
sont forcément de moins bonne qualité que celles qui étaient faites
avant ?
Toi qui es un professionnel de la gravure, tu trouves vraiment que les
partitions auxquelles tu contribues en 2020 avec l'outil informatique
sont forcément de moins bonne qualité que celles qui étaient faites
avant ?
Toi qui es un professionnel de la gravure, tu trouves vraiment que les
partitions auxquelles tu contribues en 2020 avec l'outil informatique
sont forcément de moins bonne qualité que celles qui étaient faites
avant ?
Toi qui es un professionnel de la gravure, tu trouves vraiment que les
partitions auxquelles tu contribues en 2020 avec l'outil informatique
sont forcément de moins bonne qualité que celles qui étaient faites
avant ?
En gros oui, et c'est obligé :
le prix de la page "achetée" a été divisé par dix !
[...]>
spécificité de la typographie française en matière musicale
(tradition) pendant exact de la typographie française en matière de
langue écrite (une espace insécable avant les signes de ponctuation
doubles, par exemple, au contraire des anglo-saxons).
En musique :
une liaison ne se pose pas à la hussarde et approximativement
au-dessus des notes mais doit pointer vers le CENTRE de la boule de
la note de départ et de la note d'arrivée,
et doit décrire une
trajectoire harmonieuse en courbe de Bézier, sans entrer en conflit,
évidemment ou avec gestion du conflit par un masque blanc. Ah, ça
prend du temps (et il faut le savoir) !
[...]
Tiens, savais-tu que le format "standard" des partitions du commerce
(23x30,5cm, devenu en général 23x31cm) est en partie destiné à rendre
plus difficiles les duplications sur photocopieur A4 ? Arf !
Toi qui es un professionnel de la gravure, tu trouves vraiment que les
partitions auxquelles tu contribues en 2020 avec l'outil informatique
sont forcément de moins bonne qualité que celles qui étaient faites
avant ?
En gros oui, et c'est obligé :
le prix de la page "achetée" a été divisé par dix !
[...]>
spécificité de la typographie française en matière musicale
(tradition) pendant exact de la typographie française en matière de
langue écrite (une espace insécable avant les signes de ponctuation
doubles, par exemple, au contraire des anglo-saxons).
En musique :
une liaison ne se pose pas à la hussarde et approximativement
au-dessus des notes mais doit pointer vers le CENTRE de la boule de
la note de départ et de la note d'arrivée,
et doit décrire une
trajectoire harmonieuse en courbe de Bézier, sans entrer en conflit,
évidemment ou avec gestion du conflit par un masque blanc. Ah, ça
prend du temps (et il faut le savoir) !
[...]
Tiens, savais-tu que le format "standard" des partitions du commerce
(23x30,5cm, devenu en général 23x31cm) est en partie destiné à rendre
plus difficiles les duplications sur photocopieur A4 ? Arf !
Toi qui es un professionnel de la gravure, tu trouves vraiment que les
partitions auxquelles tu contribues en 2020 avec l'outil informatique
sont forcément de moins bonne qualité que celles qui étaient faites
avant ?
En gros oui, et c'est obligé :
le prix de la page "achetée" a été divisé par dix !
[...]>
spécificité de la typographie française en matière musicale
(tradition) pendant exact de la typographie française en matière de
langue écrite (une espace insécable avant les signes de ponctuation
doubles, par exemple, au contraire des anglo-saxons).
En musique :
une liaison ne se pose pas à la hussarde et approximativement
au-dessus des notes mais doit pointer vers le CENTRE de la boule de
la note de départ et de la note d'arrivée,
et doit décrire une
trajectoire harmonieuse en courbe de Bézier, sans entrer en conflit,
évidemment ou avec gestion du conflit par un masque blanc. Ah, ça
prend du temps (et il faut le savoir) !
[...]
Tiens, savais-tu que le format "standard" des partitions du commerce
(23x30,5cm, devenu en général 23x31cm) est en partie destiné à rendre
plus difficiles les duplications sur photocopieur A4 ? Arf !