> Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
> Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
> Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il suffit
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de temps
en
temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore quelques
années. Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs de
casser,
critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite et
acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont plus
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de manière
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez bon/fort
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti pris.
Et
quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop en
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
caricature
de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et sylvestres (à
hurler
de rire malgré la répétition et l'acharnement), il ne reste plus grand
chose
de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la méchanceté gratuite et
les
messages volontairement orientés restent. On casse de la vedette pas trop
aimé de la maison, on règle ses comptes avec sa direction tout en
réclamamnt
l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on fait passer des messages
récurrents
sur la société, on ressort les avis ressortants de la discussion au
bistrot
du coin de la veille au soir, .... Malheureusement, les guignols
aujourd'hui
me font penser à la triste fin du "bébête show".
Stef
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il suffit
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de temps
en
temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore quelques
années. Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs de
casser,
critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite et
acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont plus
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de manière
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez bon/fort
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti pris.
Et
quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop en
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
caricature
de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et sylvestres (à
hurler
de rire malgré la répétition et l'acharnement), il ne reste plus grand
chose
de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la méchanceté gratuite et
les
messages volontairement orientés restent. On casse de la vedette pas trop
aimé de la maison, on règle ses comptes avec sa direction tout en
réclamamnt
l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on fait passer des messages
récurrents
sur la société, on ressort les avis ressortants de la discussion au
bistrot
du coin de la veille au soir, .... Malheureusement, les guignols
aujourd'hui
me font penser à la triste fin du "bébête show".
Stef
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il suffit
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de temps
en
temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore quelques
années. Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs de
casser,
critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite et
acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont plus
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de manière
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez bon/fort
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti pris.
Et
quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop en
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
caricature
de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et sylvestres (à
hurler
de rire malgré la répétition et l'acharnement), il ne reste plus grand
chose
de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la méchanceté gratuite et
les
messages volontairement orientés restent. On casse de la vedette pas trop
aimé de la maison, on règle ses comptes avec sa direction tout en
réclamamnt
l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on fait passer des messages
récurrents
sur la société, on ressort les avis ressortants de la discussion au
bistrot
du coin de la veille au soir, .... Malheureusement, les guignols
aujourd'hui
me font penser à la triste fin du "bébête show".
Stef
> Le premier degré, c'est faire le facho.
> Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
> Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on
> le fascisme.
>
> Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurs
> chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
> Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
>
> Deuxième ou troisième degré ?
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de
temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore
années.
Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs de casser,
critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite et
acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti
Et
quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et sylvestres
de rire malgré la répétition et l'acharnement),
il ne reste plus grand chose
de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la méchanceté
messages volontairement orientés restent. On casse de la vedette pas
aimé de la maison, on règle ses comptes avec sa direction tout en
l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on fait passer des messages
sur la société, on ressort les avis ressortants de la discussion au
du coin de la veille au soir, .... Malheureusement, les guignols
me font penser à la triste fin du "bébête show".
Stef
PS :" Reviens, JPP reviens ! " => Ben pourquoi ?
> Le premier degré, c'est faire le facho.
> Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
> Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on
> le fascisme.
>
> Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurs
> chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
> Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
>
> Deuxième ou troisième degré ?
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de
temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore
années.
Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs de casser,
critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite et
acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti
Et
quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et sylvestres
de rire malgré la répétition et l'acharnement),
il ne reste plus grand chose
de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la méchanceté
messages volontairement orientés restent. On casse de la vedette pas
aimé de la maison, on règle ses comptes avec sa direction tout en
l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on fait passer des messages
sur la société, on ressort les avis ressortants de la discussion au
du coin de la veille au soir, .... Malheureusement, les guignols
me font penser à la triste fin du "bébête show".
Stef
PS :" Reviens, JPP reviens ! " => Ben pourquoi ?
> Le premier degré, c'est faire le facho.
> Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
> Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on
> le fascisme.
>
> Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurs
> chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
> Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
>
> Deuxième ou troisième degré ?
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de
temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore
années.
Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs de casser,
critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite et
acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti
Et
quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et sylvestres
de rire malgré la répétition et l'acharnement),
il ne reste plus grand chose
de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la méchanceté
messages volontairement orientés restent. On casse de la vedette pas
aimé de la maison, on règle ses comptes avec sa direction tout en
l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on fait passer des messages
sur la société, on ressort les avis ressortants de la discussion au
du coin de la veille au soir, .... Malheureusement, les guignols
me font penser à la triste fin du "bébête show".
Stef
PS :" Reviens, JPP reviens ! " => Ben pourquoi ?
Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des meilleurs
chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des meilleurs
chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des meilleurs
chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurschansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il suffit
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de temps
en temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore
quelques années. Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs
de casser, critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite
et acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont plus
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de manière
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez bon/fort
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti pris.
Et quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop en
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
caricature de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et
sylvestres (à hurler de rire malgré la répétition et l'acharnement), il ne
reste plus grand chose de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la
méchanceté gratuite et les messages volontairement orientés restent. On
casse de la vedette pas trop aimé de la maison, on règle ses comptes avec
sa direction tout en réclamamnt l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on
fait passer des messages récurrents sur la société, on ressort les avis
ressortants de la discussion au bistrot du coin de la veille au soir, ....
Malheureusement, les guignols aujourd'hui me font penser à la triste fin
du "bébête show".
Stef
PS :" Reviens, JPP reviens ! " => Ben pourquoi ?
Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurs
chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il suffit
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de temps
en temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore
quelques années. Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs
de casser, critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite
et acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont plus
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de manière
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez bon/fort
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti pris.
Et quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop en
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
caricature de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et
sylvestres (à hurler de rire malgré la répétition et l'acharnement), il ne
reste plus grand chose de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la
méchanceté gratuite et les messages volontairement orientés restent. On
casse de la vedette pas trop aimé de la maison, on règle ses comptes avec
sa direction tout en réclamamnt l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on
fait passer des messages récurrents sur la société, on ressort les avis
ressortants de la discussion au bistrot du coin de la veille au soir, ....
Malheureusement, les guignols aujourd'hui me font penser à la triste fin
du "bébête show".
Stef
PS :" Reviens, JPP reviens ! " => Ben pourquoi ?
Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurschansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
Ni l'un ni l'autre, juste un symptome de chute et de décadence. Il suffit
pour cela de lire les chiffres d'audimat, voir de jeter un oeuil de temps
en temps aux restes fossiles de ce qui était si génial il y a encore
quelques années. Les guignols ne sont plus qu'un moyens pour leurs auteurs
de casser, critiquer, démolir (et le plus souvent avec méchanceté gratuite
et acharnement) un peu tout ce qui bouge. Politiquement, ils ne sont plus
capables que de caricaturer ouvertement le pouvoir en place de manière
sytématique, tout en reprochant aux socialos de ne pas être assez bon/fort
et pas assez présent, ce qui est bien souvent à la limite du parti pris.
Et quand ils changent un peu de ligne, c'est toujours avec autant de
méchanceté, très loin de l'époque ou cela était fait avec un peu
d'affection, ce qui permettait à la pauvre "victime" de ne pas trop en
souffrir dans sa vie professionelle de tous les jours. A part la
caricature de l'impérialisme américain avec les satyres de bush et
sylvestres (à hurler de rire malgré la répétition et l'acharnement), il ne
reste plus grand chose de "satyrique" ou "d'humour caricatural", seul la
méchanceté gratuite et les messages volontairement orientés restent. On
casse de la vedette pas trop aimé de la maison, on règle ses comptes avec
sa direction tout en réclamamnt l'impunité totale (facile !!!!!!!!!), on
fait passer des messages récurrents sur la société, on ressort les avis
ressortants de la discussion au bistrot du coin de la veille au soir, ....
Malheureusement, les guignols aujourd'hui me font penser à la triste fin
du "bébête show".
Stef
PS :" Reviens, JPP reviens ! " => Ben pourquoi ?
On 8 Nov 2004 06:21:20 -0800, (President
Helmut) wrote:Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurs chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
lavages de cerveaux.
On 8 Nov 2004 06:21:20 -0800, president_helmut@yahoo.fr (President
Helmut) wrote:
Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurs chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
lavages de cerveaux.
On 8 Nov 2004 06:21:20 -0800, (President
Helmut) wrote:Le premier degré, c'est faire le facho.
Le deuxième degré, c'est critiquer le fascisme.
Le troisième degré, c'est faire le facho en faisant croire qu'on critique
le fascisme.
Exemples: Dans Groland, Francis Kuntz présente sa compilation des
meilleurs chansons sous l'occupation "tendre une main à l'Allemagne".
Dans les Guignols, Evelyne Thomas préfigure la montée du nazisme.
Deuxième ou troisième degré ?
lavages de cerveaux.
> Le guignols sont en baisse, c'est vrai.
Provisoire ?
Mais pas Groland.
Je trouve la bande à Moustique totalement géniale.
> Le guignols sont en baisse, c'est vrai.
Provisoire ?
Mais pas Groland.
Je trouve la bande à Moustique totalement géniale.
> Le guignols sont en baisse, c'est vrai.
Provisoire ?
Mais pas Groland.
Je trouve la bande à Moustique totalement géniale.
> Le guignols sont en baisse, c'est vrai.
> Provisoire ?
Va savoir. Si ça redevient bon, je redeviens le premier fan :)
> Mais pas Groland.
> Je trouve la bande à Moustique totalement géniale.
"L'information : c'est vous qui la vivez, c'est nous qui en vivons."
Stef
> Le guignols sont en baisse, c'est vrai.
> Provisoire ?
Va savoir. Si ça redevient bon, je redeviens le premier fan :)
> Mais pas Groland.
> Je trouve la bande à Moustique totalement géniale.
"L'information : c'est vous qui la vivez, c'est nous qui en vivons."
Stef
> Le guignols sont en baisse, c'est vrai.
> Provisoire ?
Va savoir. Si ça redevient bon, je redeviens le premier fan :)
> Mais pas Groland.
> Je trouve la bande à Moustique totalement géniale.
"L'information : c'est vous qui la vivez, c'est nous qui en vivons."
Stef