Je cherche si il existe des cartes audio numériques utilisables sur un
portable et suffisemment performantes pour pouvoir adresser via midi un
synthé soft par un clavier de commande extérieur sans avoir de temps de
latence (que ça soit vraiment jouable en temps réel).
Le Mon, 11 Apr 2005 07:17:12 +0200, Gerald a écrit :
Sinon, sur les solutions de génération de son externes, incluant l'échantillonnage, tu nous dis quoi ?
Au fait, qui se rappelle du nom de la fort connue carte sampler de digidesign? Il y avait même des CD de samples à ce format (samples aux format SDII, et programmes pour la carte).
Le Mon, 11 Apr 2005 07:17:12 +0200, Gerald a écrit :
Sinon, sur les solutions de génération de son externes, incluant
l'échantillonnage, tu nous dis quoi ?
Au fait, qui se rappelle du nom de la fort connue carte sampler de
digidesign? Il y avait même des CD de samples à ce format (samples aux
format SDII, et programmes pour la carte).
Le Mon, 11 Apr 2005 07:17:12 +0200, Gerald a écrit :
Sinon, sur les solutions de génération de son externes, incluant l'échantillonnage, tu nous dis quoi ?
Au fait, qui se rappelle du nom de la fort connue carte sampler de digidesign? Il y avait même des CD de samples à ce format (samples aux format SDII, et programmes pour la carte).
Le Mirage était aussi 8 bits qu'il est possible :) Comme les AKAI S612 et S700, d'ailleurs... Le S900 a été le premier sampler 12 bits (très) répandu. Les samplers Roland S330, S550, W30 étaient 12 bits également, mais le son est "intéressant". C'est vrai, ça a un certain grain (le 8 bits aussi, mais quel souffle!). D'ailleurs le fameux U-20 était 12 bits aussi...
Salut Emmanuel, J'imagine que tu le sais mais si tu veux éviter le souffle en 8bits, il te faut utiliser une fréquence d'échantillonnage en adéquation avec le bit depth. Il faut donc descendre en dessous de 44kHz (32 ou 22 par exemple). C’est là ou on se pose la question de savoir qui a été le frein du développement des sampleurs le « bit depth » ou le « sample rate ». Puisque de mémoire aucun sampleur hardware vintage ne fait du 8bits/44 kHz ou du 32 bits/8kHz. A mon sens il s’agit de la profondeur de bit car l’ajout d’un bit (par exemple le passage de 7 à 8 bits) doublait le nombre de câbles nécessaires au traitement de l’information.
Emmanuel Florac a écrit :
Le Mirage était aussi 8 bits qu'il est possible :) Comme les AKAI S612 et
S700, d'ailleurs... Le S900 a été le premier sampler 12 bits (très)
répandu. Les samplers Roland S330, S550, W30 étaient 12 bits
également, mais le son est "intéressant". C'est vrai, ça a un certain
grain (le 8 bits aussi, mais quel souffle!). D'ailleurs le fameux U-20
était 12 bits aussi...
Salut Emmanuel,
J'imagine que tu le sais mais si tu veux éviter le souffle en 8bits, il
te faut utiliser une fréquence d'échantillonnage en adéquation avec le
bit depth. Il faut donc descendre en dessous de 44kHz (32 ou 22 par
exemple). C’est là ou on se pose la question de savoir qui a été le
frein du développement des sampleurs le « bit depth » ou le « sample
rate ». Puisque de mémoire aucun sampleur hardware vintage ne fait du
8bits/44 kHz ou du 32 bits/8kHz. A mon sens il s’agit de la profondeur
de bit car l’ajout d’un bit (par exemple le passage de 7 à 8 bits)
doublait le nombre de câbles nécessaires au traitement de l’information.
Le Mirage était aussi 8 bits qu'il est possible :) Comme les AKAI S612 et S700, d'ailleurs... Le S900 a été le premier sampler 12 bits (très) répandu. Les samplers Roland S330, S550, W30 étaient 12 bits également, mais le son est "intéressant". C'est vrai, ça a un certain grain (le 8 bits aussi, mais quel souffle!). D'ailleurs le fameux U-20 était 12 bits aussi...
Salut Emmanuel, J'imagine que tu le sais mais si tu veux éviter le souffle en 8bits, il te faut utiliser une fréquence d'échantillonnage en adéquation avec le bit depth. Il faut donc descendre en dessous de 44kHz (32 ou 22 par exemple). C’est là ou on se pose la question de savoir qui a été le frein du développement des sampleurs le « bit depth » ou le « sample rate ». Puisque de mémoire aucun sampleur hardware vintage ne fait du 8bits/44 kHz ou du 32 bits/8kHz. A mon sens il s’agit de la profondeur de bit car l’ajout d’un bit (par exemple le passage de 7 à 8 bits) doublait le nombre de câbles nécessaires au traitement de l’information.
Emmanuel Florac
Le Mon, 11 Apr 2005 09:21:05 +0200, redgiantstarNO$PAM a écrit :
SampleCell
Ah ben il y a un dino qui suit, c'est bien :)
-- Si non confectus non reficiat.
Le Mon, 11 Apr 2005 09:21:05 +0200, redgiantstarNO$PAM a écrit :
Le Mon, 11 Apr 2005 09:21:05 +0200, redgiantstarNO$PAM a écrit :
SampleCell
Ah ben il y a un dino qui suit, c'est bien :)
-- Si non confectus non reficiat.
Emmanuel Florac
Le Mon, 11 Apr 2005 14:28:21 +0200, redgiantstarNO$PAM a écrit :
Salut Emmanuel, J'imagine que tu le sais mais si tu veux éviter le souffle en 8bits, il te faut utiliser une fréquence d'échantillonnage en adéquation avec le bit depth. Il faut donc descendre en dessous de 44kHz (32 ou 22 par exemple).
C'est un peu plus compliqué que ça; le bit-depth code le niveau et la fréquence d'échantillonga la bande passante. En 8 bits on a beau faire, le son le plus fort (2^8) n'est que 256 fois plus fort que le son le plus faible (2^0). Soit une dynamique utile de l'ordre de 24 dB. En pratique les bons samplers 8 bits (PAS le Mirage...) faisaient un peu mieux, grâce à des filtres pour couper le souffle. Sinon effectivement en baissant la fréquence d'échantillonage on réduit mécaniquement le souffle en diminuant la quantité d'information à coder et en coupant les aigus, mais c'est un peu comme de dire "si le son n'est pas bon, tu n'as qu'à baisser, ça s'entendra moins" :)
C'est là ou on se pose la question de savoir qui a été le frein du développement des sampleurs le « bit depth » ou le « sample rate ».
Les deux à la fois je pense. Il y avait des problèmes multiples : la fiabilité des oscillateurs, la mémoire nécessaire, la bande passante du hardware de l'époque...
Puisque de mémoire aucun sampleur hardware vintage ne fait du 8bits/44 kHz ou du 32 bits/8kHz.
Biiiip, tout faux :) Le Fairlight CMI III fait du 8 bits jusqu'à 50 Khz, et peut-être même 100 Khz dans ses ultimes évolutions!
A mon sens il s'agit de la profondeur de bit car l'ajout d'un bit (par exemple le passage de 7 à 8 bits) doublait le nombre de câbles nécessaires au traitement de l'information.
Non pas du tout, de 7 à 8 bits il ne faut qu'un seul câble supplémentaire, par définition. Par contre la mémoire, oui, ça pose problème. Et puis pour traiter du 16 bits rapidement, il faut des microprocesseurs 16 bits, de la mémoire 16 bits, tout ça coûtait cher à l'époque où les standards informatiques grand public étaient en 8 bits du sol au plafond.
-- Dix grammes d'abstraction valent des tonnes de bricolage. Loi de Booker.
Le Mon, 11 Apr 2005 14:28:21 +0200, redgiantstarNO$PAM a écrit :
Salut Emmanuel,
J'imagine que tu le sais mais si tu veux éviter le souffle en 8bits, il
te faut utiliser une fréquence d'échantillonnage en adéquation avec le
bit depth. Il faut donc descendre en dessous de 44kHz (32 ou 22 par
exemple).
C'est un peu plus compliqué que ça; le bit-depth code le niveau et la
fréquence d'échantillonga la bande passante. En 8 bits on a beau faire,
le son le plus fort (2^8) n'est que 256 fois plus fort que le son le plus
faible (2^0). Soit une dynamique utile de l'ordre de 24 dB. En pratique
les bons samplers 8 bits (PAS le Mirage...) faisaient un peu mieux, grâce
à des filtres pour couper le souffle.
Sinon effectivement en baissant la fréquence d'échantillonage on réduit
mécaniquement le souffle en diminuant la quantité d'information à coder
et en coupant les aigus, mais c'est un peu comme de dire "si le son n'est
pas bon, tu n'as qu'à baisser, ça s'entendra moins" :)
C'est là ou on se pose la question de savoir qui a été le
frein du développement des sampleurs le « bit depth » ou le « sample
rate ».
Les deux à la fois je pense. Il y avait des problèmes multiples : la
fiabilité des oscillateurs, la mémoire nécessaire, la bande passante du
hardware de l'époque...
Puisque de mémoire aucun sampleur hardware vintage ne fait du
8bits/44 kHz ou du 32 bits/8kHz.
Biiiip, tout faux :) Le Fairlight CMI III fait du 8 bits jusqu'à 50 Khz,
et peut-être même 100 Khz dans ses ultimes évolutions!
A mon sens il s'agit de la profondeur
de bit car l'ajout d'un bit (par exemple le passage de 7 à 8 bits)
doublait le nombre de câbles nécessaires au traitement de
l'information.
Non pas du tout, de 7 à 8 bits il ne faut qu'un seul câble
supplémentaire, par définition. Par contre la mémoire, oui, ça pose
problème. Et puis pour traiter du 16 bits rapidement, il faut des
microprocesseurs 16 bits, de la mémoire 16 bits, tout ça coûtait cher
à l'époque où les standards informatiques grand public étaient en 8
bits du sol au plafond.
--
Dix grammes d'abstraction valent des tonnes de bricolage.
Loi de Booker.
Le Mon, 11 Apr 2005 14:28:21 +0200, redgiantstarNO$PAM a écrit :
Salut Emmanuel, J'imagine que tu le sais mais si tu veux éviter le souffle en 8bits, il te faut utiliser une fréquence d'échantillonnage en adéquation avec le bit depth. Il faut donc descendre en dessous de 44kHz (32 ou 22 par exemple).
C'est un peu plus compliqué que ça; le bit-depth code le niveau et la fréquence d'échantillonga la bande passante. En 8 bits on a beau faire, le son le plus fort (2^8) n'est que 256 fois plus fort que le son le plus faible (2^0). Soit une dynamique utile de l'ordre de 24 dB. En pratique les bons samplers 8 bits (PAS le Mirage...) faisaient un peu mieux, grâce à des filtres pour couper le souffle. Sinon effectivement en baissant la fréquence d'échantillonage on réduit mécaniquement le souffle en diminuant la quantité d'information à coder et en coupant les aigus, mais c'est un peu comme de dire "si le son n'est pas bon, tu n'as qu'à baisser, ça s'entendra moins" :)
C'est là ou on se pose la question de savoir qui a été le frein du développement des sampleurs le « bit depth » ou le « sample rate ».
Les deux à la fois je pense. Il y avait des problèmes multiples : la fiabilité des oscillateurs, la mémoire nécessaire, la bande passante du hardware de l'époque...
Puisque de mémoire aucun sampleur hardware vintage ne fait du 8bits/44 kHz ou du 32 bits/8kHz.
Biiiip, tout faux :) Le Fairlight CMI III fait du 8 bits jusqu'à 50 Khz, et peut-être même 100 Khz dans ses ultimes évolutions!
A mon sens il s'agit de la profondeur de bit car l'ajout d'un bit (par exemple le passage de 7 à 8 bits) doublait le nombre de câbles nécessaires au traitement de l'information.
Non pas du tout, de 7 à 8 bits il ne faut qu'un seul câble supplémentaire, par définition. Par contre la mémoire, oui, ça pose problème. Et puis pour traiter du 16 bits rapidement, il faut des microprocesseurs 16 bits, de la mémoire 16 bits, tout ça coûtait cher à l'époque où les standards informatiques grand public étaient en 8 bits du sol au plafond.
-- Dix grammes d'abstraction valent des tonnes de bricolage. Loi de Booker.
Mitucci
Le 09/04/2005, Mitucci a supposé :
Je cherche si il existe des cartes audio numériques utilisables sur un portable et suffisemment performantes pour pouvoir adresser via midi un synthé soft par un clavier de commande extérieur sans avoir de temps de latence (que ça soit vraiment jouable en temps réel).
Je me répond. Je viens d'acheter la M-Audio Audiophile Firewire. Latence imperceptible avec les drivers ASIO. C'est nickel.
-- La ligne par l'image http://www.laligne.org
Le 09/04/2005, Mitucci a supposé :
Je cherche si il existe des cartes audio numériques utilisables sur un
portable et suffisemment performantes pour pouvoir adresser via midi un
synthé soft par un clavier de commande extérieur sans avoir de temps de
latence (que ça soit vraiment jouable en temps réel).
Je me répond. Je viens d'acheter la M-Audio Audiophile Firewire.
Latence imperceptible avec les drivers ASIO. C'est nickel.
Je cherche si il existe des cartes audio numériques utilisables sur un portable et suffisemment performantes pour pouvoir adresser via midi un synthé soft par un clavier de commande extérieur sans avoir de temps de latence (que ça soit vraiment jouable en temps réel).
Je me répond. Je viens d'acheter la M-Audio Audiophile Firewire. Latence imperceptible avec les drivers ASIO. C'est nickel.
-- La ligne par l'image http://www.laligne.org
Alain Naigeon
"Mitucci" a écrit dans le message news:
Le 09/04/2005, Mitucci a supposé :
Hé hé, bonjour Mitucci :-)
> Je cherche si il existe des cartes audio numériques utilisables sur un > portable et suffisemment performantes pour pouvoir adresser via midi un > synthé soft par un clavier de commande extérieur sans avoir de temps de > latence (que ça soit vraiment jouable en temps réel).
Je me répond. Je viens d'acheter la M-Audio Audiophile Firewire. Latence imperceptible avec les drivers ASIO. C'est nickel.
-- La ligne par l'image http://www.laligne.org
Tant mieux, et l'info peut toujours servir à d'autres. Ca valait le coup d'attendre ton site, il est beau !
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English midi - facsimiles - ligatures - mensuration http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/ Alain Naigeon - - Strasbourg, France
"Mitucci" <pasdemail@ehoui.fr> a écrit dans le message news:
mn.85697d540f66a7f8.17935@ehoui.fr...
Le 09/04/2005, Mitucci a supposé :
Hé hé, bonjour Mitucci :-)
> Je cherche si il existe des cartes audio numériques utilisables sur un
> portable et suffisemment performantes pour pouvoir adresser via midi un
> synthé soft par un clavier de commande extérieur sans avoir de temps de
> latence (que ça soit vraiment jouable en temps réel).
Je me répond. Je viens d'acheter la M-Audio Audiophile Firewire.
Latence imperceptible avec les drivers ASIO. C'est nickel.
--
La ligne par l'image
http://www.laligne.org
Tant mieux, et l'info peut toujours servir à d'autres.
Ca valait le coup d'attendre ton site, il est beau !
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English
midi - facsimiles - ligatures - mensuration
http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/
Alain Naigeon - anaigeon@free.fr - Strasbourg, France
> Je cherche si il existe des cartes audio numériques utilisables sur un > portable et suffisemment performantes pour pouvoir adresser via midi un > synthé soft par un clavier de commande extérieur sans avoir de temps de > latence (que ça soit vraiment jouable en temps réel).
Je me répond. Je viens d'acheter la M-Audio Audiophile Firewire. Latence imperceptible avec les drivers ASIO. C'est nickel.
-- La ligne par l'image http://www.laligne.org
Tant mieux, et l'info peut toujours servir à d'autres. Ca valait le coup d'attendre ton site, il est beau !
--
Français *==> "Musique renaissance" <==* English midi - facsimiles - ligatures - mensuration http://anaigeon.free.fr | http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/ Alain Naigeon - - Strasbourg, France
jaret lafoudre
Gerald a écrit :
Antérieurement à 1998 on n'utilisait pas l'audio en temps réel (les machines n'étaient pas assez puissantes) et la mode était aux expandeurs gérés par MIDI (échantillonneurs et synthés externes).
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le faisait avec Cubase Audio...
Gerald a écrit :
Antérieurement à 1998 on n'utilisait pas l'audio en temps réel
(les machines n'étaient pas assez puissantes) et la mode était aux
expandeurs gérés par MIDI (échantillonneurs et synthés externes).
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le
faisait avec Cubase Audio...
Antérieurement à 1998 on n'utilisait pas l'audio en temps réel (les machines n'étaient pas assez puissantes) et la mode était aux expandeurs gérés par MIDI (échantillonneurs et synthés externes).
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le faisait avec Cubase Audio...
Gerald
jaret lafoudre wrote:
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le faisait avec Cubase Audio...
Je taillais un peu à la serpe : mais soyons honnêtes tous les deux, en 1992 (et j'avais un Falcon au boulot ! en plus du mac !) dans les studios, l'enregistrement numérique se faisait principalement sur Mitsu 32 et sur Sony 24, et depuis très peu on pouvait aussi faire des choses sur le DMR8 Yamaha (en 20 bits ! c'était fabuleux !). Certains fêlés utilisaient l'Infernal Machine de l'ami Dean, d'autres le Synclavier ou le Fairlight (pas que pour leur bonheur !), mais l'Atari restait du domaine (très valeureux) de l'expérimental grand public... On lui aurait d'ailleurs souvent préféré l'analogique d'un vieil Otari 8 pistes - 2 pouces si on avait eu le choix...
Juste pour situer le problème pour les jeunes, diras-tu à quelle vitesse tournait le processeur du Falcon à l'époque ? (je ne me souviens plus). En 1992, le premier mac Power PC (le 6100) devait tourner à quelque chose comme 66 MHz (qu'on trouvait fabuleux !) signant un tournant vers les processeurs RISC que le monde Wintel attend toujours avec impatience (Longhorn-Itanium) en 2005 pour autant que je sache :-)
-- Gérald
jaret lafoudre <jahrettlafouddre@yahoo.fr> wrote:
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le
faisait avec Cubase Audio...
Je taillais un peu à la serpe : mais soyons honnêtes tous les deux, en
1992 (et j'avais un Falcon au boulot ! en plus du mac !) dans les
studios, l'enregistrement numérique se faisait principalement sur Mitsu
32 et sur Sony 24, et depuis très peu on pouvait aussi faire des choses
sur le DMR8 Yamaha (en 20 bits ! c'était fabuleux !). Certains fêlés
utilisaient l'Infernal Machine de l'ami Dean, d'autres le Synclavier ou
le Fairlight (pas que pour leur bonheur !), mais l'Atari restait du
domaine (très valeureux) de l'expérimental grand public... On lui aurait
d'ailleurs souvent préféré l'analogique d'un vieil Otari 8 pistes - 2
pouces si on avait eu le choix...
Juste pour situer le problème pour les jeunes, diras-tu à quelle vitesse
tournait le processeur du Falcon à l'époque ? (je ne me souviens plus).
En 1992, le premier mac Power PC (le 6100) devait tourner à quelque
chose comme 66 MHz (qu'on trouvait fabuleux !) signant un tournant vers
les processeurs RISC que le monde Wintel attend toujours avec impatience
(Longhorn-Itanium) en 2005 pour autant que je sache :-)
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le faisait avec Cubase Audio...
Je taillais un peu à la serpe : mais soyons honnêtes tous les deux, en 1992 (et j'avais un Falcon au boulot ! en plus du mac !) dans les studios, l'enregistrement numérique se faisait principalement sur Mitsu 32 et sur Sony 24, et depuis très peu on pouvait aussi faire des choses sur le DMR8 Yamaha (en 20 bits ! c'était fabuleux !). Certains fêlés utilisaient l'Infernal Machine de l'ami Dean, d'autres le Synclavier ou le Fairlight (pas que pour leur bonheur !), mais l'Atari restait du domaine (très valeureux) de l'expérimental grand public... On lui aurait d'ailleurs souvent préféré l'analogique d'un vieil Otari 8 pistes - 2 pouces si on avait eu le choix...
Juste pour situer le problème pour les jeunes, diras-tu à quelle vitesse tournait le processeur du Falcon à l'époque ? (je ne me souviens plus). En 1992, le premier mac Power PC (le 6100) devait tourner à quelque chose comme 66 MHz (qu'on trouvait fabuleux !) signant un tournant vers les processeurs RISC que le monde Wintel attend toujours avec impatience (Longhorn-Itanium) en 2005 pour autant que je sache :-)
-- Gérald
jaret lafoudre
Gerald a écrit :
jaret lafoudre wrote:
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le faisait avec Cubase Audio...
Je taillais un peu à la serpe : mais soyons honnêtes tous les deux, en 1992 (et j'avais un Falcon au boulot ! en plus du mac !) dans les studios, l'enregistrement numérique se faisait principalement sur Mitsu 32 et sur Sony 24, et depuis très peu on pouvait aussi faire des choses sur le DMR8 Yamaha (en 20 bits ! c'était fabuleux !). Certains fêlés utilisaient l'Infernal Machine de l'ami Dean, d'autres le Synclavier ou le Fairlight (pas que pour leur bonheur !), mais l'Atari restait du domaine (très valeureux) de l'expérimental grand public... On lui aurait d'ailleurs souvent préféré l'analogique d'un vieil Otari 8 pistes - 2 pouces si on avait eu le choix...
Juste pour situer le problème pour les jeunes, diras-tu à quelle vitesse tournait le processeur du Falcon à l'époque ? (je ne me souviens plus).
Le Falcon avait 2 processeur, un ptit 68030 à 16Mhz et surtout un DSP 56001 à 32Mhz, une vrai bombe pour l'audio a l'epoque, surtout qu'une version de Cubase Audio dédié est sortit quasiment a son lancement. Helas, la machine est esté plutot confidentielle (5000 exemplaires vendus en france, mais a cette époque Atari avait d'autre priorité...)
En 1992, le premier mac Power PC (le 6100) devait tourner à quelque chose comme 66 MHz (qu'on trouvait fabuleux !)
Le 6100 est sortit 2 ans plus tard que le falcon, en mars 1994. En 92 on devait encore en etre au quadra 68040 a 20Mhz maxi (le Quadra 840AV lancé fin 93 n'avais qu'un 68040 à 40 Mhz)
Gerald a écrit :
jaret lafoudre <jahrettlafouddre@yahoo.fr> wrote:
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le
faisait avec Cubase Audio...
Je taillais un peu à la serpe : mais soyons honnêtes tous les deux, en
1992 (et j'avais un Falcon au boulot ! en plus du mac !) dans les
studios, l'enregistrement numérique se faisait principalement sur Mitsu
32 et sur Sony 24, et depuis très peu on pouvait aussi faire des choses
sur le DMR8 Yamaha (en 20 bits ! c'était fabuleux !). Certains fêlés
utilisaient l'Infernal Machine de l'ami Dean, d'autres le Synclavier ou
le Fairlight (pas que pour leur bonheur !), mais l'Atari restait du
domaine (très valeureux) de l'expérimental grand public... On lui aurait
d'ailleurs souvent préféré l'analogique d'un vieil Otari 8 pistes - 2
pouces si on avait eu le choix...
Juste pour situer le problème pour les jeunes, diras-tu à quelle vitesse
tournait le processeur du Falcon à l'époque ? (je ne me souviens plus).
Le Falcon avait 2 processeur, un ptit 68030 à 16Mhz et surtout un DSP
56001 à 32Mhz, une vrai bombe pour l'audio a l'epoque, surtout qu'une
version de Cubase Audio dédié est sortit quasiment a son lancement.
Helas, la machine est esté plutot confidentielle (5000 exemplaires
vendus en france, mais a cette époque Atari avait d'autre priorité...)
En 1992, le premier mac Power PC (le 6100) devait tourner à quelque
chose comme 66 MHz (qu'on trouvait fabuleux !)
Le 6100 est sortit 2 ans plus tard que le falcon, en mars 1994. En 92 on
devait encore en etre au quadra 68040 a 20Mhz maxi (le Quadra 840AV
lancé fin 93 n'avais qu'un 68040 à 40 Mhz)
Bah, un ptit Atari Falcon de 1992, 8 pistes audio et un DSP, ca le faisait avec Cubase Audio...
Je taillais un peu à la serpe : mais soyons honnêtes tous les deux, en 1992 (et j'avais un Falcon au boulot ! en plus du mac !) dans les studios, l'enregistrement numérique se faisait principalement sur Mitsu 32 et sur Sony 24, et depuis très peu on pouvait aussi faire des choses sur le DMR8 Yamaha (en 20 bits ! c'était fabuleux !). Certains fêlés utilisaient l'Infernal Machine de l'ami Dean, d'autres le Synclavier ou le Fairlight (pas que pour leur bonheur !), mais l'Atari restait du domaine (très valeureux) de l'expérimental grand public... On lui aurait d'ailleurs souvent préféré l'analogique d'un vieil Otari 8 pistes - 2 pouces si on avait eu le choix...
Juste pour situer le problème pour les jeunes, diras-tu à quelle vitesse tournait le processeur du Falcon à l'époque ? (je ne me souviens plus).
Le Falcon avait 2 processeur, un ptit 68030 à 16Mhz et surtout un DSP 56001 à 32Mhz, une vrai bombe pour l'audio a l'epoque, surtout qu'une version de Cubase Audio dédié est sortit quasiment a son lancement. Helas, la machine est esté plutot confidentielle (5000 exemplaires vendus en france, mais a cette époque Atari avait d'autre priorité...)
En 1992, le premier mac Power PC (le 6100) devait tourner à quelque chose comme 66 MHz (qu'on trouvait fabuleux !)
Le 6100 est sortit 2 ans plus tard que le falcon, en mars 1994. En 92 on devait encore en etre au quadra 68040 a 20Mhz maxi (le Quadra 840AV lancé fin 93 n'avais qu'un 68040 à 40 Mhz)