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Causerie libre

17 réponses
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.
Bonsoir

Apolo, anti ceci , anti cela etc ..
Loi 13 novembre 2014 qui se détache de la loi sur la presse
=> comparution immédiate OK
je comprends à peu près



Mister Larousse me dit
Apologie : genre littéraire visant à prendre la défense d'une PERSONNE
ou d'une idée
...c'est donc le travail d'un avocat qui "apologuerait" donc à tour de bras

dans la presse je lis
- apologie et menace d'action terroriste
- apologie du terrorisme

Ca correspond à une définition juridique certifiée ?
ou c'est à l'humeur du juge ?



Le jugement concernant les morts victimes et assaillants
dans lequel on devrait trouver la qualification des actes a-t-il été
rendu ?
Où le trouver ?





Pour ne pas créer de problêmes sur le terrain
l'expression libre verbale devenant de plus en plus compliquée
à maitriser
est-il autorisé de demander à ses interlocuteurs leur confession
afin de ne pas poursuivre la conversation
et ne pas ainsi risquer de s'attirer des représailles judiciaires
vu la sensibilité du réglage de la détente judiciaire en ce moment
pour le moindre écart ou association malencontreuse de mots



V

Fallait pas tant financer le renseignement intérieur à des fins
politiques au détriment du renseignement extérieur
On n'en serait peut-être pas là... hein monsieur Louis !..

7 réponses

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.
Le 16/01/2015 19:41, Arthur a écrit :


"." <"yahoo"@ a écrit dans le message de groupe de
discussion : 54b94fac$0$2332$
Le 16/01/2015 15:42, Arthur a écrit :
Le 16/01/2015 14:53, . a écrit :
Le 16/01/2015 09:01, Arthur a écrit :
.../...





<http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000023712838&dateTexte 111204>






ca définit ce qu'est le terrorisme

mais pas l'apologie




(1)APOLOGIE n. f. XVe siècle. Emprunté, par l'intermédiaire du latin
chrétien, du grec apologia, « défense ».
Discours ou écrit ayant pour but la défense de quelqu'un ou la
justification d'une action, d'un ouvrage, d'une doctrine. Platon et
Xénophon ont écrit chacun une « Apologie de Socrate ».




L'apologie de
faits qualifiés crimes ou délits est passible de poursuites.


Ca on le sait vu le rabachage médiatique ....:-(((



Donc vous posez des questions pour lesquelles vous avez déjà la réponse ?



????
devriez changer de lecteur de news

Je n'ai pas la réponse à la définition JURIDIQUE de
** apologie **

Dans vos cours de droit en face du mot" apologie "
vous lisez quoi
- 1 comme définition
- 2 comme référence de texte validant cette définition






Je demande juste la définition légale et commentée de l'apologie dans
les textes judiciaires comme vous devez en avoir une pour crime,
délit, etc ..



Les textes judiciaires ne définissent pas tous les mots de la langue
française.



Alors c'est à la tête du client de la part du juge quand plusieurs sens
figurent dans le Larousse et sans l'abréviation ( Jur. )
?




apologie : [ ...........]
C'est pas compliqué pourtant



Pour vous, si, comprendre des mots simples ça à l'air assez compliqué...


Ce n'est pas la compréhension qui foire
c'est la définition légale retenue par la justice



C'est vous le juriste , pas moi




Je ne suis pas juriste.
...?... Dans l'affaire Fourvières avec l'autre myope nocturne
insatisfait vous étiez bien acteur du droit , non ?



V

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Christian Navis
Le 16/01/2015, . a affirmé :

Je n'ai pas la réponse à la définition JURIDIQUE de
** apologie **

Dans vos cours de droit en face du mot" apologie "
vous lisez quoi
- 1 comme définition
- 2 comme référence de texte validant cette définition



Remarque liminaire : si la loi et le réglement sont des sources
normatives de droit, la jurisprudence et la doctrine sont des sources
interprétatives élaborées et utilisées par les professionnels lorsque
la norme n'est pas assez explicite.
Ceci précisé...
Vous trouverez réponse à vos questions dans le dictionnaire de droit
criminel de l'éminent pénaliste Jean-Paul Doucet, prof de fac
honoraire,
patron de la rubrique droit criminel à la Gazette du Palais (la "bible"
des avocats) et ce qui est plus rare chez les pointures de son niveau,
excellent vulgarisateur auprès du grand public.

Ses écrits m'ont rappelé qu'avant les délits d'opinion, ressuscités
par Mitran et étendus par ses successeurs, la jurisprudence et la
doctrine analysaient l'apologie de crimes comme une incitation
indirecte
à en commettre d'autres, par la banalisation de l'acte ou la
justification des mobiles, en fournissant par avance des raisons d'agir
et des excuses aux futurs criminels.
La plupart des criminologues s'accordent à dire que, souvent, le
passage
à l'acte est déclenché par ce genre de propos.
Et les psys ajoutent : ils ont pour effet immédiat de briser les digues
du surmoi, et de renforcer l'effet de groupe lorsque le projet
s'élabore
en bande organisée.
Incitation indirecte tout est là :

La référence était alors l'art 24 de loi de 1881 sur la presse.
Dans le lien que je donne, il y a une brochette d'importantes décisions
de la chambe criminelle de la Cour de Cassation qui explicite
l'apologie
comme une légitimation et/ou une incitation.
En particulier un arrêt de 1978 condamnant "Libération" pour avoir
sur un ton mi-figue mi raisin raconté que dépouiller des leurs bijoux
des pleins aus as, c'était bien fait pour leurs gueules et qu'ils
espéraient que les voyous ne se feraient jamais coincer.
http://ledroitcriminel.free.fr/dictionnaire/lettre_a/lettre_a_an.htm

--
La "prédiction" de Houellebecq s'est réalisée avant 2022...
3 jours après la sortie de son roman, avec la manif des Charlots.
L'union sordide de l'UMPS et des islamistes dits "modérés".
Contre les patriotes Français, stigmatisés et ostracisés.
http://christian.navis.over-blog.com/2015/01/manuel-de-rhetorique-a-usage-des-perroquets.html
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Le 17/01/2015 09:57, Christian Navis a écrit :
Le 16/01/2015, . a affirmé :

Je n'ai pas la réponse à la définition JURIDIQUE de
** apologie **

Dans vos cours de droit en face du mot" apologie "
vous lisez quoi
- 1 comme définition
- 2 comme référence de texte validant cette définition



Remarque liminaire : si la loi et le réglement sont des sources
normatives de droit, la jurisprudence et la doctrine sont des sources
interprétatives élaborées et utilisées par les professionnels lorsque
la norme n'est pas assez explicite.
Ceci précisé...
Vous trouverez réponse à vos questions dans le dictionnaire de droit
criminel de l'éminent pénaliste Jean-Paul Doucet, prof de fac honoraire,
patron de la rubrique droit criminel à la Gazette du Palais (la "bible"
des avocats) et ce qui est plus rare chez les pointures de son niveau,
excellent vulgarisateur auprès du grand public.



Merci
J'ai pratiqué la Gazette du Palais pour des recherches historiques
orientées généalogie
C'est curieux ya toujours un ou une qui n'en a pas l'air
d'avoir l'air faussement curieux sortant d'on ne sait où qui vient
sournoisement questionner en salle de lecture quand on sort ce type de
lecture
et jamais pour l'Etat-Civil ....

Ses écrits m'ont rappelé qu'avant les délits d'opinion, ressuscités
par Mitran et étendus par ses successeurs, la jurisprudence et la
doctrine analysaient l'apologie de crimes comme une incitation indirecte
à en commettre d'autres, par la banalisation de l'acte ou la
justification des mobiles, en fournissant par avance des raisons d'agir
et des excuses aux futurs criminels.
La plupart des criminologues s'accordent à dire que, souvent, le passage
à l'acte est déclenché par ce genre de propos.
Et les psys ajoutent : ils ont pour effet immédiat de briser les digues
du surmoi, et de renforcer l'effet de groupe lorsque le projet s'élabore
en bande organisée.
Incitation indirecte tout est là :

La référence était alors l'art 24 de loi de 1881 sur la presse.
Dans le lien que je donne, il y a une brochette d'importantes décisions
de la chambe criminelle de la Cour de Cassation qui explicite l'apologie
comme une légitimation et/ou une incitation.


En particulier un arrêt de 1978 condamnant "Libération" pour avoir
sur un ton mi-figue mi raisin raconté que dépouiller des leurs bijoux
des pleins aus as, c'était bien fait pour leurs gueules et qu'ils
espéraient que les voyous ne se feraient jamais coincer.
http://ledroitcriminel.free.fr/dictionnaire/lettre_a/lettre_a_an.htm




Faut que je fasse gaffe
j'ai eu la même réaction en salle d'attente près du comptoir d'un
assureur où la réceptionniste
(une mature fardée la bijouterie au poitrail et les doigts
perlouzés multi carats façon coup de poing américain , bien sur elle )
se plaignait au juste ton à qui voulait bien l'entendre qu'elle avait
été agressée
pour ses biens dans le parking souterrain en se rendant à son travail
( BFPSG) ( FPTLD )

Vu le reliquat en vitrine je me suis demandé ce qu'on avait bien pu lui
faucher





V
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Le 17/01/2015 09:57, Christian Navis a écrit :

Ceci précisé...
Vous trouverez réponse à vos questions dans le dictionnaire de droit
criminel de l'éminent pénaliste Jean-Paul Doucet, prof de fac honoraire,
patron de la rubrique droit criminel à la Gazette du Palais (la "bible"
des avocats) et ce qui est plus rare chez les pointures de son niveau,
excellent vulgarisateur auprès du grand public.



J'ai trouvé
et j'ai aussi débordé en lecture
Tres instructif, maintenant j'ose à peine sortir mes mimines de mes
poches pour taper sur le clavier tant le délit ignoré semble envelopper
l'atmosphère ambiante du bureau

Arsene Lupin n'est plus un de mes héros
Je vire mes bricolages ( l'innovation ..mais allez faire comprendre la
matérialité à un juge ) vite fait à la déchetterie
Je signale de suite les engueulades du voisinage
Sur le portail de rue je complète
propriété privée avec interdiction de m'adresser la parole
et de citer quiconque
( j'aurais moins envie d'apologuer en coup de sang en retour )

et je vais conseiller à mon alignement gauche au p'ti noir matinal
qui apologue comme pas possible après lecture du canard
de la mettre en veilleuse dans ce lieu public

Faut être moralement costaud pour lire le CP et le CPP



V


Avatar
Arthur
"." <"yahoo"@ a écrit dans le message de groupe de
discussion : 54b96d52$0$12754$
Le 16/01/2015 19:41, Arthur a écrit :


"." <"yahoo"@ a écrit dans le message de groupe de
discussion : 54b94fac$0$2332$
Le 16/01/2015 15:42, Arthur a écrit :
Le 16/01/2015 14:53, . a écrit :
Le 16/01/2015 09:01, Arthur a écrit :
.../...





<http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000023712838&dateTexte 111204>






ca définit ce qu'est le terrorisme

mais pas l'apologie




(1)APOLOGIE n. f. XVe siècle. Emprunté, par l'intermédiaire du latin
chrétien, du grec apologia, « défense ».
Discours ou écrit ayant pour but la défense de quelqu'un ou la
justification d'une action, d'un ouvrage, d'une doctrine. Platon et
Xénophon ont écrit chacun une « Apologie de Socrate ».




L'apologie de
faits qualifiés crimes ou délits est passible de poursuites.


Ca on le sait vu le rabachage médiatique ....:-(((



Donc vous posez des questions pour lesquelles vous avez déjà la réponse ?



????
devriez changer de lecteur de news



Pourquoi donc ?


Je n'ai pas la réponse à la définition JURIDIQUE de
** apologie **

Dans vos cours de droit en face du mot" apologie "
vous lisez quoi
- 1 comme définition
- 2 comme référence de texte validant cette définition




Vous confondez droit et dictionnaire de la langue française.

--
Arthur
Avatar
.
Le 17/01/2015 12:53, Arthur a écrit :






Vous confondez droit et dictionnaire de la langue française.




.../...



C'est cela oui ..
Circulez svp
ya plus rien à voir


V
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Arthur
"." <"yahoo"@ a écrit dans le message de groupe de
discussion : 54ba75e8$0$2096$
Le 17/01/2015 12:53, Arthur a écrit :








Vous confondez droit et dictionnaire de la langue française.




.../...



C'est cela oui ..
Circulez svp
ya plus rien à voir


V



"ya plus rien à voir" ... faute d'arguments ?

--
Arthur
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